Epoqu’Auto 2019, constant dans l’excellence !

Publié le par Benjamin

Epoqu’Auto 2019, constant dans l’excellence !

C’était le salon Epoqu’Auto 2019 ce week-end. Et franchement il ne doit pas y avoir beaucoup de passionnés qui soient passé et en soient repartis déçus. Le salon lyonnais a encore une fois montré son excellente organisation, une superbe variété d’autos et de stands, une ambiance conviviale. Bref c’est un salon au top qu’on vous emmène visiter.

Les superbes expositions du salon Epoqu’Auto 2019

Maserati, sport et luxe à l’Italienne

Par Fabien

C’est le plateau « Prestige » d’Epoqu’Auto 2019. Et cette fois encore, il est Italien. Née en 1914, la SAOAM (Societa Anonima Officine Alfieri Maserati) se tourne d’abord vers la compétition avant de se lancer réellement avec des modèles plus civilisés en 1926.

En mémoire à ces heures de gloire, 4 modèles emblématiques sont exposés. Tout d’abord, une Tipo 2000, version client de la Tipo 26B et une 8CM de 1933 victorieuse en 1934 du Grand Prix de Dieppe. Vient ensuite une 6CM de 1937 qui remporta le Grand Prix de République Tchèque à Brno, cette année là, et suite à son rachat et quelques modifications, elle sera surnommée « Mandirola Speciale » et s’illustrera dans les courses des années 40 et 50. Enfin, il y a la Maserati 300S qui fut pilotée par d’illustres pilotes dont « pétoulet », Maurice Trintignant, qui finit 6e du Grand Prix de Cuba 1960.

Forte de sa notoriété, en 1946, la firme se lance dans les modèles sportifs routiers. Elle quittera la piste en 1957 après le dernier titre mondial de Fangio au volant d’une 250F.

À Epoqu’Auto 2019, une quinzaine de modèles de cette époque jusqu’aux années 2000 étaient présentés. De la 3500 GTi Superleggera de 1962, une Mexico 4200, Bora, Khamsin, Biturbo et les autres…

Une auto particulièrement remarquable : Maserati A6G 2000 convertible de 1954, carrosserie « nez long », signée Pietro Frua. Ce modèle a été produit à 60 exemplaires seulement entre 1954 et 1957. Parmi les 12 cabriolets, 9 « long nez » seulement sont sortis d’usine. A sa sortie, cette voiture détenait la palme du « 2 litres le plus cher du marché ». Elle constitue l’un des fleurons de l’exposition cette année.

Citroën, on n’a pas tous les jours 100 ans

Par Fabien

En cette année de centenaire, Citroën a de nouveau sorti ses belles du conservatoire. Outre celles présentés dans le hall d’entrée du salon Epoqu’Auto, Citroën présentait un stand retraçant l’histoire de la marque et un autre focalisé sur ses plus grand succès en sport automobile.

Les 100 ans, encore une fois

C’est donc dans le hall d’accueil du salon que Citroën a exposé des pièces fortes en histoire. Du Tub que l’on ne confondra définitivement plus avec son descendant le HY (on en dit plus ici), à la TPV, prototype qui deviendra 2cv, en passant pas la SM Présidentielle carrossée par Chapron… On y a également retrouvé la MEP Daphné croisée récemment à Verna (plus d’infos par là).

Le Sport et Citroën

100 ans de vie, c’est aussi 100 ans de sport. Et Citroën a été plutôt éclectique, en allant sur circuit, en rallye ou encore en rallye raid. On commence par la reproduction de la Petite Rosalie qui a roulé 300000 km sur circuit à la vitesse de 93 km/h, record qu’elle a détenu 30 ans. Suit une reproduction du « Scarabée d’Or », première automobile à traverser le Sahara en 1922.

Suivent ensuite une 15/6 de Rallye préparée par Eppendhal, des DS modifiées course dont le coupé DS TAP, des 2cv et SM célèbres, pour arriver aux plus modernes sportives aux carrières brisées comme la BX 4TC au physique ingrat pour arriver aux bêtes de Rallye et Rallye-Raid des années 90 et notamment la Saxo Kit Car de Sebastien Loeb et la ZX Rallye-Raid avec Laquelle Pierre Lartigues et Michel Perrin firent un triplé au Paris-Dakar, encore africain.

L’histoire Citroën

Mais Citroën reste avant tout un constructeur généraliste et son histoire se ponctue d’essais techniques ou stylistiques parfois élevés au rang d’innovations.

Bien entendu, comme toute histoire, elle commence au début par la première voiture livrée en « prêt à rouler » : la Type A. Suivent des modèles comme la 5HP, dont le coupé a été surnommé « trèfle » en raison de la position des 3 sièges en décalé. Puis il y la 10CV, le CV ayant remplacé le HP en 1925, pour arriver à celle qui a fait prendre un virage radical à Citroën, la Traction 7CV, ici une 7C de 1934. Nous avons essayé sa version cabriolet et c’est par là.

Ensuite, on passe par différents modèles d’une Traction 15/6 Oléo, à la 2cv dont une version Sahara est présentée, puis du proto M35 sur base Ami 8 équipé du moteur Wankel à piston rotatif à une GS Basalt… Parmi les plus récentes, une CX Prestige Turbo 2 aux performance équivalentes à la SM trônait entourée d’une BX 16 soupapes, d’une AX Sport, d’une XM V6 et des deux fausses jumelles Visa et Axel. Bref, 100 ans résumés en quelques modèles emblématiques.

Delage, luxe et volupté

Par Fabien

Comme une invitation au voyage. Souvenez-vous de ce poème de Baudelaire : « Là tout n’est qu’ordre et beauté / Luxe, Calme et Volupté ». Voilà, vous y êtes. Vous pouvez ouvrir les yeux.

Et l’élément qui symbolise le mieux cet état d’esprit, c’est sûrement cette mascotte en cristal dépoli, réalisée par Lalique et représentant le visage de la victoire. Ce somptueux bouchon de radiateur est ici porté par la dernière D8 « S » carrossée par Letourneur et Marchand, sur base de Coupé-Landaulet, de 1934.

Mais un seul modèle ne résume jamais une marque et son évolution, et ce stand Delage permet, de se faire un belle idée du pourquoi de la renommée de ce constructeur des origines, avec la Type A, en passant par son apogée dans les années 30. Sans oublier le sport, avec notamment une D6 3.0 litres de 1946 qui finit deuxième aux 24h du Mans 1949 dernière une intouchable Ferrari.

La fondation Berliet toujours présente

Par Thierry

La fondation Berliet a de nouveau sortie de gros et beaux poids lourds pour ce salon Epoqu’Auto 2019. Le plus ancien date de 1912, le Berliet CAD. Il servait à la ville de Lyon pour l’arrosage des espaces vert, grâce à sa citerne, de 3700 litres, située à l’arrière. Non loin de là, un camion pompier, le Berliet CBA. D’un superbe rouge rehaussé par des éléments dorés date de 1918. Encore dans une carrosserie très carrée, le Berliet GCM sort des usines de Vénissieux en 1929. Sa benne peut transporter jusqu’a dix tonnes grâce à son moteur quatre cylindres de vingt chevaux.

Après la seconde guerre mondial Berliet a sorti le TDR. Un tracteur propulsé par un moteur quatre cylindres de 7,2 litres. On s’approche de nous, en 1965, avec le Berliet GLR était surtout utilisé sur les chantiers grâce à sa grande benne amovible. Pour finir se tour d’horizon du stand de la fondation Berliet il y a le GBH 280, au couleur Renault, équipé de sa grue.

Youngtimers, les coupés 4 portes à l’honneur

Par Fabien

Comme pour chaque édition, le magazine Youngtimers avait trouvé un thème original à son expo. Cette année, ce sont donc les coupés 4 places qui sont à l’honneur.

Dans cette catégorie, les japonaises sont plutôt pas mal représentées, de la très sportive Honda Integra Type R et son V-Tec de 1,8 litre, à l’atypique Subaru SVX et son profil aux vitres en 2 parties, en passant par la Toyota Supra et autre Mitsubishi 3000 GT.

Mais Les deux Yougtimers qui retiendront l’attention sont une Ferrari 456 GT qui peut emmener ses 4 occupants à près de 300 km/h, et le « coupé-space » de Renault, l’Avantime. Même s’il semble incongru de voir ce monospace sur le stand des coupés, il n’en reste pas moins un représentant de cette catégorie de véhicules, avec ses 2 portes à la cinématique évoluée permettant de les ouvrir, malgré leur taille dans un minimum… d’espace.

Les Crosslé d’Autodiva

Texte Fabien, photo Thierry

Autodiva, le magazine spécialisé dans l’histoire de la course automobile, a décidé cette année d’exposer quelques exemplaires de monoplaces fabriquées par le plus ancien constructeur encore en activité : Crosslé.

Parmi les auto exposées on citera notamment le Crosslé 32F, inscrit en 1977 en Formule Ford et piloté par un débutant à l’époque, Nigel Mansell, qui a même dédicacé l’exemplaire présenté. Cette année là, au volant de cette monoplace, il remporta 27 victoire et le titre.

On notera également ce Crosslé 9S qui a disputé en 1966 le championnat international 2 litres Gr.6 ou ce 55F de 83 qui permit à Eddie Jordan d’obtenir son premier podium. Emblématique, enfin, le 60F de 1984, dessiné à 100% par John Crosslé et qui permit à l’équipe d’Irlande du Nord, d’où la couleur verte, de remporter la Coupe Mondiale par équipe en 1986.

Plein phare sur Gnome Rhône

Par Thierry

Après la marque de moto lyonnaise New Map l’année dernière, cette année c’est la marque parisienne Gnome et Rhône qui est à l’honneur. La marque est lancée en janvier 1915 de le fusion des société Gnome et Rhône, d’où son nom. Initialement l’entreprise fabrique des moteurs d’avion et durant la première guerre mondiale c’est 80% des avions qui en sont équipés. Sur le stand expo à Epoqu’Auto 2019 est exposé un avion Blériot XI avec un moteur sept cylindres en étoile. L’entreprise connait une forte ascension jusqu’à devenir le leader européen dans l’entre deux guerres. Mais les commandes militaires devenant de plus en plus faible, la décision est prise de diversifier l’activité.

C’est vers les deux roues que l’orientation est donnée, avec l’achat de la licence à la société anglaise ABC. Après une amélioration et une fiabilisation des motocyclettes en trois ans ce sont trois mille exemplaires de Type A qui seront vendus.

Fort de ce succès, Gnone et Rhône va produire ces propres deux roues. Les premiers modèles sont des types E, avec un moteur deux temps de 175 cm³ et une type C avec un moteur quatre temps de 500 cm³ à soupapes latérales. En 1928 une évolution est faite avec un réservoir de selle. En 1935, l’appellation « X » apparaît avec les cadres en tôle, sur les 750 X en version civil et XA en version militaire parmi d’autres modèles.

Après la seconde guerre mondiale, la société a des difficultés et ne retrouve pas le niveau de vente. C’est malheureusement le cas de nombreuses marque de moto française. Les derniers modèles produits seront de plus petites cylindrées de 100 à 200 cm³. C’est en 1959, comme les marque Monet Goyon ou New Map que l’entreprise ferme ses portes.

Les Motos Maserati sont aussi à Epoqu’Auto 2019

C’est au début des années 50 que les premières motos Maserati vont voir le jour. Suite au rachat du constructeur de deux roues Italmoto et à la délocalisation de l’usine Italmoto de Bologne dans les usines Maserati de Modène. Les premières motos sont équipés de moteur 50 cm³, puis un 125 et enfin un moteur 175 cm³ quatre temps. À la fin des années les ventes de deux roues Maserati s’essouffle, la décision est prise d’arrêter la production de moto, après un peu plus de onze mille unités vendues.

Sur le stand deux modèles étaient présentés au visiteurs. La première est une Maserati 160T4. Elle est équipée d’un moteur 158 cm³ quatre temps, pour un poids de cent douze kilos et d’une puissance de sept cheveux et demi.

La seconde est une Maserati L125 T2, elle a donc un moteur 125 cm³ deux temps. Elle pèse quatre-vingt kilos et développe 4,8 cheveux. Cette version s’est vendue à moins de mille exemplaire.

Les clubs en nombre à Epoqu’Auto 2019

Une première pour les véhicules utilitaires

Par Thierry

Pour la première fois le salon Epoqu’Auto 2019 expose des véhicules utilitaires en dehors des Berliet. Un large stand propose aux visiteurs des tracteurs et machines agricoles, en plus des poids lourds et des autocars.

Trois tracteurs étaient présent, un Austin de 1935, un Hanomag Type C de 1958 et un Porsche Type T. D’autres machines agricoles étaient visibles.

Pour les poids lourds il y avait un tracteur Willeme LT10, un Somua JL17 que nous avions vu à Verna lui aussi, ou un Citroën N10 Belphégor équipé de sa benne. Le Berliet TLR était présenté avec sa remorque, l’ensemble était entièrement restauré, autre Berliet, le GLR de couleur jaune servait autrefois sur les chantier, enfin un Hotchkiss PL 50 au couleur de l’entreprise qui l’utilisait autres fois. Pour les transport de personne il y avait un Renault Galion et un Citroën RU23.

Les véhicules sont tous dans très bon état et son parfaitement restaurés, surtout l’Acadiane et la 203 fourgonnette à l’entrée de l’espace utilitaire.

La marque au losange bien représentée

Par Thierry

Renault était très bien soutenu par ses nombreux clubs. La marque est également venue avec ses propres modèles dont un vraiment insolite. Je vous propose une petite visite guidé de l’espace Renault.

Le premier c’était le stand 4L-R6 ou trônait une 4L roulante et un châssis sans carrosserie en cours de restauration. Juste derrière le stand Bleu 16, dont nous avions participé au rassemblement annuel, exposait deux magnifique R16. En face il y avait une R5 TX et une R7 sur le stand Génération R5. Juste à côté et plus sportif une belle R21 2L Turbo qui participe encore aujourd’hui à des montées historiques. L’espace de la R21 est partagé avec une Renault Rambler. Sur un carré suivant se trouvait une R12 Gordini, une R17, une R15 et une R20. Sur le stand Floride et Caravelle club de France, les 60 ans de la Floride sont bien fêtés avec un gros gâteau. Le club des Amateurs des Anciennes Renault Lyonnais se trouvaient différents modèles, dont une Monasix, une caravelle et une Juvaquatre.

Au centre de tous ces club, Renault était venu exposer ses voitures. Il y avait la 4L plein air avec la e-Plein air, que l’on vous a fait découvrir hier. Il y avait également la Renault R.S.10, première F1 turbocompressée à remporter un grand prix avec Jabouille. Toujours dans la sportivité une R5 Turbo et une Alpine A110 entourent un Riffard-Renault Tank 4cv. Ce véhicule très aérodynamique date de 1956. Cette voiture a été construite pour battre le record de vitesse avec un moteur 750 cm³.

Chez Peugeot, de belles surprises

Par Fabien

Les Clubs 205 étaient venus en force en présentant par exemple rare une 205 Gutman 16s, une 205 Gentry, ou encore une 205 Rallye en boîte Solido échelle 1 ! La 309 GTI 16, qui marqua l’apogée de l’esprit GTI des années 80-90, était également présente. Pour les années 60-70, les clubs dédiés présentaient leurs 604, 204, 304 et 404… Mais pour les 50 ans de la 504 coupé et du cabriolet, le Club 504 a monté autour du modèle un gâteau d’anniversaire un « pneu », et même beaucoup original !

Sur le stand de l’Aventure Peugeot, un modèle hors du commun avait trouvé sa place : un coupé cabriolet 202 de 1948, avec sa ligne issue du style « fuseau Sochaux » signée, comme la 402, par Henri Thomas. Arrêtons-nous, sur la Berline 203 Darl’mat de 1953 présentée par les amis de Darl’mat. L’objectif initial était de réaliser une 203 à performances améliorées, par modifications de la carrosserie et une optimisation moteur. Quant à la 403, difficile de passer à côté grâce au VL de la caserne de sapeurs-pompiers d’Annonay !

Des licornes pour Citroën et DS

Par Fabien

Le CX club de France est on ne peut plus coloré. Trois CX 2400 GTI, 3 couleurs : vert papyrus intérieur cuir noir et lin pour 1977, bleu régate intérieur jersey acier – jersey grande grecque pour 1978, et enfin l’orange mandarine intérieur jersey brun – jersey orange pour 1979.

Le club des amis de la 2cv a mis en place un écorché de la 2cv Sahara fort instructif, alors que la Traction Universelle mettait en avant 2 Traction Spendilux aux calandres atypiques sur une scène de mariage. Question luxe, le SM Club de France annonçait les 50 ans du modèle, avec un peu d’avance puisque officiellement, il est né en 1970.

L’Ami club de France a structuré quelques scénettes rétro autour de l’Ami 8. Suffisamment rares pour être mentionnées, une Axel était également mise en scène, et une GS de 82 était également présentée. Mais ce ne sont que quelques exemples de la richesse de ces clubs dynamiques.

Les Clubs des Grandes Marques Disparues

Par Benjamin

Les grandes marques françaises disparues sont toujours regroupées à Epoqu’Auto 2019. Forcément Delage était un peu plus loin cette année, mais tous les autres étaient là, dans le nouveau hall inauguré cette année, le 7. Hotchkiss, Delahaye, Darmont, Georges Irat, D.B., Hispano Suiza, tous étaient au rendez-vous avec de belles autos exposées. Les autos sont belles, bien astiquées et franchement, on est de mieux en mieux accueilli sur les stands de ces clubs (il y a quelques années, ce n’était pas évident sans être adhérent).

Et tous les autres club ou presque !

Par Thierry

La salon Epoqu’Auto a pour habitude d’être un lieu convivial où les club se réunissent. Les clubs étaient répartis dans tout le salon, et le plus souvent regroupés par nationalité.

Non loin de Peugeot et Citroën, on retrouve les club anciennement liés à PSA. On voyait donc le Club Simca Bertone, le club CG, avec des 1200 S et des Mercadier Barzoï. On retrouvait aussi pas très loin le club NSU, avec Ro80 et son moteur Rotatif. De l’autre côté des Alpes on avait plusieurs club de Fiat 500, avec des voitures originales. Un club Opel exposait des GT. L’amicale Matra 530 proposait au public un modèle complet et un châssis en cours de restauration. Les anglaises n’étaient pas en reste avec plusieurs club, le Triumph Club de France, le Rhône Alpes Spitfire et le Rover Club de France. Plus exotiques, les Datsun et Honda étaient également représentées, sans oublier l’oncle Sam et ses clubs d’Américaine. Enfin le BMW club de France exposait une E21 de course.

Les pros au rendez-vous d’Epoqu’Auto 2019

Toujours autant de vendeurs de pièces

Par Benjamin

Epoqu’Auto 2019 ne déroge pas à la règle. Le salon lyonnais est toujours un magnifique rendez-vous pour voir de belles autos anciennes, mais on oublie pas ce qui va autour. Les vendeurs de pièces sont ainsi présents, et en nombre qui plus est ! Les grands noms du secteur son présents et de Classic Auto Elec à Neo Retro en passant par le Garage Clément et Melun Retro Passion, aucun ne manque à l’appel.

Les officines plus spécialisées sont également présentes et on retrouve une très belle offre, tant spécialisée que généraliste. Bref, le salon a su attirer un grand nombre de ces pros, et pour un événement de cette ampleur, c’est une bonne nouvelle.

La vente Osenat

Par Benjamin

C’est une animation à part entière du salon. L’an dernier l’espace était un peu réduit mais cette année la maison bellifontaine a pu retrouver ses aises avec un vaste espace d’exposition. On y retrouve les deux autos qu’on vous a présenté la semaine dernière, la Jaguar XK120 et la JP4, mais aussi bien d’autres beautés qu’on avait pas encore approché. Il y a beaucoup de monde pour venir voir les autos.

La vente se déroulait le dimanche à partir de 14h. Comme chaque année la foule était dans les gradins et les abords du stand étaient eux aussi fort chargés. On vous en reparlera dès qu’on aura les résultats définitifs.

Les vendeurs d’autos montent en gamme

Par Benjamin

Il y a encore cinq ans, Epoqu’Auto accueillait les pros locaux et quelques figures nationales. Mais les vendeurs d’autos n’étaient pas aussi représentés qu’ils le sont désormais. On retrouve les grands noms et une variété de modèle bienvenue. Des Aston Martin aux deuches, on retrouve beaucoup de belles à Eurexpo. Peu de populaires à petits prix sont cependant proposées, et ça, même en passant du côté des autos des particuliers. Le salon a amorcé une véritable montée en gamme au niveau des vendeurs. Heureusement que les clubs amènent la diversité des autos exposées.

La galerie des artistes

Par Benjamin

Chaque grand salon expose désormais des artistes. Epoqu’Auto 2019 ne dérogeait pas à la règle. Beaucoup de belles choses étaient exposées, dont de nombreux artistes déjà présentés sur News d’Anciennes dans nos morceaux d’art du samedi.

Les restaurateurs de voitures anciennes d’Epoqu’Auto 2019

Par Benjamin

En plus des vendeurs d’autos, on retrouve de nombreux restaurateurs. Là aussi, les locaux sont présents mais ont été rejoints par de nombreux pros venus de toute la France. La montée en gamme s’observe vite, quand on voit sur un stand plusieurs Facel Vega ou une avalanche de chromes sur des Mercedes par exemple. Mais quelques « petits » font de la résistance et participent au tableau varié d’Epoqu’Auto 2019. Il faut continuer comme ça !

Et tout ce qui tourne autour de l’auto ancienne

Par Benjamin

Si les vendeurs de pièces sont parmi pros les plus représentés, ils sont loin d’être les seuls à avoir fait le déplacement à Epoqu’Auto. Ainsi on retrouve les habituels vendeurs de miniatures, des jouets aux véritables pièces de collection, les spécialistes de la documentation, de l’automobilia, du detailling et des produits d’entretien.

Mais tous les autres pros du secteur sont là. Vendeurs et fabricants d’huile, assureurs, experts, vendeurs de pneus, d’accessoires, de vêtements, on a là un salon plus que complet !

Et puis dans le Hall 7 vous retrouviez le stand News d’Anciennes, partagé avec les amis de Mecanicus. Comme quoi, tout le monde est là !

Le parking collection d’Epoqu’Auto 2019 : plein à craquer

Par Thierry

Un endroit à ne surtout pas oublier, c’est l’extérieur. Une nouvelle fois le parking réservé aux anciennes était plein à craqué. Il y avait de tout et quantité et surtout en qualité. Une Jaguar Type E était garée à côté d’une Citroën Ami 6. La balade sur la parking est super parce qu’on profite pour voir rouler les autos qui arrivent ou qui partent. Il y a aussi des modèle insolite comme une Citroën SM Shadocks. On retrouve aussi une NSU TT que nous avions vu au Classic Car Festival (article à retrouver ici).

Conclusion : Epoqu’Auto 2019 était encore au top

On espère que si vous étiez des notre, vous aviez de bonnes chaussures. Epoqu’Auto 2019 était encore plus grand, plus beau, avec de nouvelles choses et d’autres déjà vues… qu’on a pris plaisir à revoir.

L’an dernier on titrait que l’événement lyonnais était le plus complet de France dans son genre. Il l’est toujours. Et il arrive toujours à s’améliorer ! Et c’est ça qui fait son succès et le fera encore les années prochaines !

On se quitte avec encore plein de photos !

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Fabienne

    Bonjour : Belles photos et beau reportage comme toujours Bravo à toute l’équipe
    Bleu 16

    Répondre · · 11 novembre 2019 à 15 h 21 min

  2. Vincent

    J’étais à Epoquauto :
    Il y a plein de choses que j’ai vu et que vous n’avez pas montré.
    Et il y a plein de choses que vous avez montré et que je n’avais pas vu…

    Répondre · · 11 novembre 2019 à 19 h 06 min

  3. Fabien

    Merci Fabienne pour l’accueil sur le stand et pour ce message.

    Répondre · · 12 novembre 2019 à 7 h 43 min

  4. Grandsub

    Très beau reportage et les photos sont magnifiques.
    Par contre j’ai noté une petite erreur. Sur le stand Renault c’est une Renault 30 TX et non une Renault 20.

    Répondre · · 12 novembre 2019 à 9 h 49 min

  5. Lion Peugeot

    Bravo et merci car j’y ai passé la journée du vendredi, de 10h à 17h30 et je m’aperçois que je n’ai pas tout vu. En tout cas, c’est un très beau salon sur lequel je vais depuis 4 ans et que apprécie plus que Rétromobile où je vais depuis environ 30 ans.

    Répondre · · 12 novembre 2019 à 22 h 32 min

  6. Jean Pierre Olayat

    Beau reportage mais vous avez raté l’Amilcar C6 (moteur bloc borgne et caisse usine origine) sur le stand Vintage Revival Je vous aurais aussi offert le verre de l’amitié ….

    Répondre · · 14 novembre 2019 à 11 h 58 min

  7. crespinmichelCrespin titus

    Bonsoir ! de bien belles voitures et motos , merci pour le partage ! Je ferai mon possible pour assister au prochain !!! encore bravo aux organisateurs

    Répondre · · 14 novembre 2019 à 22 h 09 min

  8. Jean

    Tres beau salon encore une fois, dommage par contre pour le placement des clubs, et des stands toujours aussi
    « Bordélique  » ,on loupe plein de choses!!!

    Répondre · · 17 novembre 2019 à 13 h 28 min

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