International Simca Meeting : Cap à l’Ouest avec 400 Simca à Melgven (29)

Publié le par Morgan

International Simca Meeting : Cap à l’Ouest avec 400 Simca à Melgven (29)

C’est du 29 mai au 1er juin que le Club Simca France avait donné rendez-vous aux passionnés de la marque au château de Keranevel à Melgven, dans le Finistère, pour l’International Simca Meeting 2025. L’occasion de sortir la 1301 était trop belle : je vous emmène !

Elles ont été près de 400 Simca, Talbot et dérivés à répondre à cet appel. Se dirigeant vers la Bretagne, elles furent accueillies chaleureusement par le Club Simca France et son équipe de bénévoles. Soigneusement classées par modèle dans le parc du château de Keranevel, les voitures furent aussi bien traitées que leurs propriétaires : cadre superbe, bourse de pièces détachées et documents, buvette et food-trucks.

Arrivées d’un peu partout (République Tchèque, Pays-Bas, Belgique, Italie ou bien encore Angleterre), les Simca ont été plus nombreuses que jamais pour cette grande migration bretonne !

Simca, populaires mais toujours chics :

Simca 5, 6 et 8 :

On commence avec une ambiance congés payés et la présence de plusieurs Simca 5, tant en version Coupé Tôlé et Découvrable.

Viennent ensuite les Simca 6, version modernisée de la Simca 5 avec notamment une originale version modernisée dans les années 1950 avec notamment un coffre ouvert via l’extérieur (l’accès normal se faisant par l’arrière des sièges avant) et des feux arrière d’Aronde utilitaire.

Les Simca 8 n’étaient pas en reste à l’International Simca Meeting avec une berline 1200 et un très beau cabriolet 1100 d’après-guerre.

Simca Aronde et Vedette :

On notait aussi la présence des fameuses Simca 9 Aronde qui ont fait la renommée de la marque, et ce sur les deux générations 1951/1953 (calandre podium) et 1954/1955 (calandre arc de cercle).

Arrivaient ensuite les fameuses Aronde 1300, la ligne Océane apparue pour l’année-modèle 1956, présente ici en de nombreuses versions, y compris une utilitaire Châtelaine de 1956.

Les fameuses Aronde P60 étaient bien sûr représentées à cet International Simca Meeting, notamment avec des versions d’entrée de gamme de 1959 qui, en attendant l’arrivée de l’Etoile 6 pour 1960, avait assuré l’intérim avec l’ancienne carrosserie des Aronde 1300. Là aussi de nombreuses versions comme un rare Grand-Large 1959, une Etoile 6 1960 avec l’option Grand Air (toit ouvrant souple Webasto) ou encore l’utilitaire chic Ranch, alliant grand volume de chargement et finition haut de gamme.

Un nombre impressionnant de Simca Vedette pour cet International Simca Meeting du Club Simca France, on en voit assez peu d’habitude : Versailles, Régence, Beaulieu et Chambord, sans oublier les Ariane à moteur 4 cylindres.

Dans cette catégorie, mention spéciale pour une Versailles 1956 dans son jus qui affichait une superbe patine !

Les Simca des 60’s :

On poursuit avec les Simca 1000, ce succès de la marque dans les années 1960, notamment sur le marché de la seconde voiture mais aussi des sportives. Encore une fois un nombre de véhicules important malgré le fait que le Simca Racing Team tienne son propre rassemblement en même temps que l’International Simca Meeting, une situation qui dure malheureusement depuis plusieurs années et qui empêche les propriétaires des autos concernées de participer aux deux évènements.

Alors on apprécie d’autant plus de pouvoir admirer des versions groupe F très poussées avec des éléments de carrosserie en fibre, une base moteur de Poissy 1 442 cm³ réalésé à près de 1 600 cm³, passé en injection et accouplé à une boîte à crabots. Ces 2 autos ont des préparations similaires excepté les culasses. La plus sage ayant gardé sa culasse Simca simplement retravaillé, la plus énervée ayant troqué sa culasse contre celle d’une Golf 2 GTi 16S. Résultat ? 182 ch au banc pour la « petite » et probablement plus de 200 ch pour la plus lourdement modifiée !

Dans ce lot de superbes autos, j’ai retenu une très belle Simca 1000 Rallye 2 1973, couleur Vert Acide, restaurée avec grand soin et qui a d’ailleurs remporté le concours d’état organisé lors de l’International Simca Meeting : je vous laisse admirer !

Dernier projet porté par Mr Pigozzi lui-même, la gamme 1300/1500 rencontre de plus en plus d’adeptes au sein des rassemblements, et c’est une excellente nouvelle. Là aussi les restaurations sont d’un excellent niveau, y compris sur des versions basiques devenues rares de nos jours comme une belle 1500 Break LS de 1966 Bleu Montreux.

Bien sûr les 1301/1501 n’étaient pas en reste, on note que ces modèles ont la particularité d’avoir une cote plus soutenue en version break qu’en berline, le hayon à lunette arrière descendante par manivelle n’en finit pas de faire tourner les têtes !

La 1100 reste le plus grand succès commercial de Simca, et sa présence ne cesse de s’amplifier de rassemblement en rassemblement. Les versions sportives Ti et Spécial sont très bien représentées à l’International Simca Meeting, mais on commence à voir de très beaux modèles avec des finitions plus simples comme les GL, GLS ou ES. On note au passage la variété offerte par les nuancier Simca de la fin des années 1960 et du début des années 1970, on ne peut que les regretter lorsque l’on s’attarde sur la tristesse du parc automobile actuel en la matière…

Lors de l’International Simca Meeting on trouvait un exemplaire sortant du lot avec cette Talbot 1100 VF1 Bleu Baltique ayant été très bien restaurée, ce qui est assez rare pour un utilitaire. On peut noter que bien qu’étant une des dernières 1100 produite puisque datant de 1984 et badgée Talbot, cette voiture conserve le tableau de bord des 1100 de première série à compteur rectangulaire, et pour cause : la marque n’a jamais pris le soin de faire évoluer le tableau de bord des versions utilitaires en conduite à droite !

Simca des 70’s :

Quoi de plus seventies que les Simca-Chrysler ? Bien représenté à Melgven pour l’International Simca Meeting avec des modèles allant de la 160 à la 2 Litres Automatic en passant par les 180. Ces voitures, excellentes routières, sont particulièrement appréciées dans les pays de l’Est où elles avaient été exportées à l’époque, notamment en République Tchèque.

Les 1307/1308 et 1309, voiture de l’année 1976, avait aussi fait le déplacement à l’International Simca Meeting avec différentes versions présentes, des plus simples au mieux équipées.

Les Talbot :

La plus connue d’entre elle est à coup sûr l’Horizon, bien que née sous la marque Simca, la voiture de l’année 1979 est un autre succès de la marque, les amateurs redécouvrent aujourd’hui ses qualités, notamment sa modernité de conception pour l’époque la rendant encore aujourd’hui très agréable sur long trajet. Les versions haut de gamme ou série limitées telles que les S, SX, Jubilé ou Ultra sont privilégiées par les collectionneurs.

Ici je tire mon chapeau au propriétaire d’une incroyable Horizon GLD 1984, version spécifique au marché belge, ici en coloris Bleu Cascade métallisé. Construite sur la base d’une GL mais équipée du moteur diesel 1,9l XUD de 65 ch, ce modèle a bénéficié d’une restauration extrêmement poussée malgré sa faible valeur sur le marché de la collection : plus belle que neuve avec des enjoliveurs de roues accessoires Talbot d’époque absolument introuvables !

On trouvait aussi à cet International Simca Meeting des 1510 et Solara : dernières évolutions des 1307/1308, ces autos peinent encore à trouver leur place en collection malgré leurs bonnes qualités routières. La Solara SX en photo est équipée d’un ordinateur de bord (en 1981 !), de 4 appuie-têtes, de vitres avant électriques, du moteur 1 592 cm³ (dernière évolution du moteur Poissy) en version 88 ch et qui, une fois accouplé à une boîte de vitesses à 5 rapports, ne consomme que 5,5l aux 100 km ! Que demande le peuple ?

Les Tagora, vaisseau amiral de la gamme Talbot des années 1980 étaient aussi présentent, notamment un modèle 2,3l turbo diesel tchèque en très bel état. Là aussi on constate que les versions haut de gamme SX à moteur V6 n’ont plus le monopole des belles restaurations.

Pour terminer cette partie sur la gamme Talbot, on ne pouvait pas oublier les Samba, présentes aussi à l’International Simca Meeting, notamment dans son attachante version cabriolet. Mais une petite GL avait aussi fait le déplacement, en version fermée donc. Si les cabriolets et les versions Rallye et GLS ont depuis quelques années trouvé leur public auprès des collectionneurs, il reste de beaux exemplaires sur le marché dans les versions LS ou GL pour profiter de cette petite auto !

Les hors-séries, produits d’image :

L’image de toute marque automobile populaire passe des versions sportives ou luxueuses qui renforcent son image positive auprès de la clientèle qui sera alors plus prompte à s’afficher au volant de ses modèles de grande diffusion. Dans le genre, l’International Simca Meeting nous a vraiment gaté.

Les Simca Sport :

Henri Théodore Pigozzi, PDG de Simca a compris ça très tôt et s’est empressé de proposer de tels modèles à son catalogue avec notamment les Simca Sport fabriquées par Facel-Métallon. Nous avions à Melgven la chance de pouvoir admirer de nombreux modèles de cette gamme, notamment des Simca 8 Sport Coupé de première et seconde série, des modèles inspirés de la Cisitalia 202 grâce notamment à la complicité des Stabilimenti Farina qui ont fourni à Pigozzi un prototype Fiat en reprenant le dessin.

Le premier exemplaire présent à l’International Simca Meeting est donc un coupé de l’année-modèle 1951, reconnaissable à sa calandre à 5 barrettes, ses feux arrière en ogive avec catadioptres, ses pare-chocs échancrés en leur centre et son pare-brise une seule partie (contre 2 parties l’année précédente).

Le second est lui aussi une Simca 8 Sport Coupé mais en version 1952, avec calandre à 3 aubages et feux arrière plus modernes. Il n’y aura eu que 5 165 exemplaires de Simca 8 Sport fabriqués en 3 ans, toutes carrosseries confondues.

On passe ensuite sur un modèle de transition, dite Simca 9 Sport 1952, produit uniquement entre juillet et octobre 1952. C’est probablement la Simca Sport « de série » la plus rare en dehors des modèles de recarrossés. On distingue cette rareté des 8 Sport grâce à ses enjoliveurs de phares ronds, ses clignotants en bas des ailes avant, sa calandre spécifique, l’espace plus important entre la portière et la roue arrière et sa trappe à essence désormais située côté gauche.

On note que cet exemplaire est équipé de pare-chocs de Simca 8 Sport et non pas de ses pare-chocs spécifiques à buttoirs devenus aujourd’hui introuvables. Mais sa principale différence reste invisible de l’extérieur : ce modèle repose sur la structure monocoque de la Simca 9 Aronde et non plus sur le châssis séparé de la Simca 8. Il ne resterait aujourd’hui qu’environ une dizaine d’exemplaires de cette voiture en état de rouler à travers le monde.

Chronologiquement on trouvait ensuite, sur l’International Simca Meeting, un modèle unique, à savoir la Simca 9 Sport 1954 carrossée par Figoni dans un style hybride rappelant la 8 Sport avec sa face avant et la partie arrière issu d’une 4CV Autobleu avec sa vitre panoramique en plexiglas. La partie avant en aluminium et dessiné par la maison Farina est ici accouplée à la partie arrière en acier dont le dessin revient à Ghia : un élégant bricolage resté unique !

On note aussi la présence d’une rare Simca Aronde 1300 Week-End de 1956, les Simca-Facel de cette année-là seront les premières à être équipée du moteur Flash Spécial de 57 ch.

Ensuite on trouvait les Simca-Facel des années Aronde 1300 Ligne Océane avec les modèles Océane et Plein Ciel, cette version sera très inspirée par la Ford Thunderbird.

Viennent enfin les différentes versions d’Océane et Plein-Ciel issues de la génération P60, dont des versions 1959 avec leurs atypiques pare-chocs relevés sur les côtés. Les dernières Océane et Plein Ciel seront fabriqués en juillet 1962, refermant une page importante de l’histoire de Simca.

Les Simca Bertone et CG :

Mais l’histoire des Simca hors-séries ne se limite aux modèles produits par Facel-Métallon, dans les années 1960, Simca a fait appel à d’autres prestataires extérieures pour conserver son image soignée : Bertone et CG.

Ces modèles étaient eux aussi présents à Melgven pour l’International Simca Meeting, avec bien sûr les Simca 1000 Coupé, première Simca présentée au catalogue dont la robe est entièrement due à Bertone. Un profil séduisant, un intérieur chic et un succès en France avec 10 124 exemplaires construits, mais un moteur de berline de 944 cm³ qui bien que porté à 52 ch manquait encore de sportivité avec une vitesse maximale de seulement 140 km/h et qui appellera à sa succession… Vendue 2 fois le prix d’une berline Simca 1000 alors que très proche de cette dernière en termes de motorisation, Simca a été contraint de faire évoluer la 1000 Coupé.

Puis viendra ensuite la 1200 S avec son moteur 1 204 cm³ de 80 ch lui permettant d’atteindre 170 km/h. Si le ramage a été revu, le plumage aussi avec une présentation beaucoup plus agressive et virile avec notamment l’ajout de longue-portée dans la calandre ou les 4 feux arrière au lieu de 2 précédemment. La 1200 S se vendra quant à elle à environ 14 700 exemplaires entre 1967 et 1971.

En parallèle, désireux d’aller chercher Renault sur le terrain des Alpine, Simca a aussi entrepris une collaboration avec CG (Chappe et Gessalin). Présents aux côtés d’Alpine a ses débuts, CG a ensuite été écarté par Alpine qui s’est mis à produire ses coques lui-même. Dès lors CG bénéficié des outils et du savoir-faire en matière de véhicule en fibre de verre et polyester.

La saga commence par la CG Spider 1000, un cabriolet 2+2 basé comme son nom l’indique sur la Simca 1000. La version présentée ici est la première évolution des CG, à savoir la version S équipée du moteur 1 118 cm³ de 49 ch. On note qu’ici le moteur a été préparé par Tapie avec notamment un collecteur d’admission spécifique et un carburateur double corps Weber 40 DCOE et que la voiture a aussi reçu des jantes Campagnolo en magnésium. Cette voiture est rare puisque produite à seulement 7 exemplaires à l’époque dans cette version-là. Il y a aura au total 29 CG 1000 de construites, toutes versions confondues (Spider, Coupé et S incluses).

À noter que 2 autres CG plus récents avaient fait le déplacement à Melgven, à savoir des CG 1200 S basées comme leur nom l’indique sur les éléments techniques de la 1200 S : 660 kg mais 80 ch voir 85 ch sur les derniers modèles capables de frôler les 190 km/h, cette version sera la plus produite de l’histoire de la marque CG avec 280 exemplaires.

Les Matra-Simca et Talbot-Matra :

Avec la fin des hors-séries de Bertone et CG, Simca s’est tournée vers un nouveau partenaire, à l’image d’innovante et moderne : Matra. Fort des succès en tant que sponsor lors des 24H du Mans 1972, 1973 et 1974, Simca décida d’utiliser cette alliance pour produire des modèles d’image en petite série.

Bien que le réseau ait eu à vendre la Matra 530 entre 1970 et 1973 malgré la présence de son moteur V4 Ford, la véritable collaboration industrielle entre Matra et Simca débutera en 1973 avec la Matra Bagheera avec son style dans l’ère du temps et ses 3 places de front. Deux de ces modèles étaient de la partie à Melgven, à savoir une version S et une des dernières Bagheera produite. Un modèle X de 1979 avec la dernière évolution mécanique (identique à la version S), à savoir un 1 442 cm³ dans sa version 90 ch, capable d’atteindre les 190 km/h. Notez que le modèle X présenté ici est équipé de jantes de Murena.

Les Murena justement, bien que beaucoup plus rares que les Bagheera (10 680 exemplaires contre 47 796 exemplaires), étaient plus nombreuses que les Bagheera avec plusieurs modèles en version 1.6l 92 ch exposant leur ligne typique des années 1980.

Enfin comment parler de l’histoire de Matra et Simca sans évoquer le Rancho dont quelques modèles avaient fait le déplacement pour l’International Simca Meeting 2025, dont deux Rancho de base et une version X. Le Rancho, premier SUV français, est devenu une icône des années 1980 après son passage dans le film La Boum, conduit par Claude Brasseur.

Un superbe International Simca Meeting, tout simplement

Ainsi s’achève ce compte rendu, un grand bravo au Club Simca France et à ses bénévoles pour avoir su recevoir les passionnés de la marque dans d’aussi bonnes conditions : cadre, stationnement organisé, bourses de pièces et documents, restauration avec food-trucks, buvette et boutique du club, balades, rétro camping et animations traditionnelles locales. Ce genre d’évènement illustre la capacité du club à réunir ses adhérents et à donner envie à d’autres personnes d’adhérer pour défendre l’esprit et l’avenir de la marque.

Je note aussi depuis plusieurs années déjà un élargissement des modèles présentés lors de ces rassemblements, plus aucune partie de l’histoire de la marque n’est laissée de côté par le club, il ne manquait cette année que des Simca-Fiat 6CV ou 11CV mais tous les autres modèles étaient bien présents. Longtemps centré sur les seules Aronde, le club prouve aujourd’hui qu’il s’ouvre toujours un peu plus vers les autres modèles de la gamme : avant-guerre, Simca Vedette et Ariane, 1000 et dérivés, 1100, 1300/1500, Simca Chrysler, CG, Matra et Talbot sont désormais tous les bienvenus et offrent un panel de véhicules large à l’image de l’histoire de la marque.

L’état des véhicules présentés est lui aussi en constante amélioration avec de plus en plus de véhicules en excellent état de préservation ou ayant eu droit à des restaurations très soignées. La cohabitation se passe bien entre des véhicules patinés, modifiés ou restaurés. Bref, chez Simca les choses vont dans le bon sens, et le record de participation encore battu lors de cette édition avec près de 400 voitures présentes le prouve ! Notons aussi les environ 800 participants dans les équipages Simca et 4 000 visiteurs extérieurs sur le site durant les 4 jours de l’évènement : Simca mobilise chez ses aficionados et intéresse au-delà.

Propriétaires de Simca, Talbot et dérivés, rejoignez-nous l’année prochaine en Belgique : plus de renseignements disponibles auprès du Club Simca France. D’ici là bonne route à toutes et à tous, on se quitte avec quelques photos supplémentaires …

Talbot Horizon à International Simca Meeting

Morgan

http://webmaster.simca.free.fr/

Passionné par les anciennes, mais surtout par les Simca, Morgan est également bon photographe et sait prendre sa plume à l'occasion. Il a rejoint l'équipe au printemps 2019. Il gère également le site http://webmaster.simca.free.fr/

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