Matra Bagheera et Courrèges, au volant de deux cinquantenaires rafraîchissantes

Publié le par Benjamin

Matra Bagheera et Courrèges, au volant de deux cinquantenaires rafraîchissantes

Non, la France n’est pas que le pays du saucisson, de la baguette et du rouge qui tâche plus ou moins, ancrée dans ses traditions et forcée de produire des voitures qui sont des familiales de petite taille. Oui, les populaires françaises ont été nombreuses et ce sont elles qui représentent la majorité des voitures présentes dans les différents événements dédiés aux voitures anciennes. Pourtant, on a aussi lancé des coupés et des cabriolets, souvent réussis mais rarement mis en avant, même quand ces autos innovaient. C’est clairement le cas de ce coupé qui fête ses 50 ans cette année, la Matra Bagheera. Et pour bien célébrer tout ça, on en a réuni deux pour un joli tour en montagne.

Nos Matra Bagheera du jour

Et oui, nos belles. Comme pour célébrer les 60 ans de l’Alfa Romeo Coupé Bertone, on a réuni deux autos. Un exercice jamais si facile, surtout pour avoir deux modèles différents. En l’occurrence ça tombe plutôt bien puisqu’on a deux beaux morceau à mettre sur la route. Deux autos qui semblent identiques, à la couleur près, mais justement, pour l’une d’elles, la couleur va être l’élément déterminant (vous nous voyez venir n’est-ce pas ?).

Je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps puisque vous avez certainement deviné de quoi je veux parler. La Matra Bagheera blanche est en effet une Courrèges. Certes, ce n’est pas avec elle que commence l’histoire du coupé mais c’en est la première évolution et cette voiture c’est un vrai délire ! André Courrèges, créateur de mode, amateur de lignes tendues et de blanc a été missionné pour donner son interprétation de la Matra Bagheera. Ce n’est pas le seul créateur à avoir réalisé ce genre d’exercice, d’accord, mais le résultat final, c’est quelque chose qu’on voit peut.

Quand ce genre de collaboration naît entre une marque et un créateur, généralement on a un concept qui va très (trop ?) loin et une voiture de série plus prudente et souvent décevante. Et bien pour la Matra Bagheera Courrèges, ce n’est pas vrai ! Le créateur est allé très loin et Matra a tout produit. Quand je parle d’aller loin, vous pensez déjà que la couleur blanche satinée est originale, que la signature de Courrèges en gros sur la portières est une sacrée audace ou que la sellerie blanche en simili et l’intérieur beige c’est déjà quelque chose. Mais en fait ce n’est que la partie superficielle.

Le grand délire de la Matra Bagheera Courrèges se cache ainsi dans les détails. Les plastiques noirs sur une Bagheera classique sont blancs sur notre série spéciale (mais pas limitée). Ça on s’y attendait presque. Ce à quoi on ne s’attendait pas, c’était de trouver un vérin de hayon devenu gris métal ou une commande de réglage de siège grise au lieu du noir.

Oui, on est allé loin et les détails sont vraiment très nombreux pour différencier une vraie Matra Bagheera Courrèges d’une réplique qui n’en reprendrait que la couleur. Le revers de la médaille, c’est évidemment que ces pièces spécifiques avec un traitement très spécial sont encore moins facile à trouver que les pièces de Matra Bagheera « de base ».

Avec tous ces détails, la Matra Bagheera jaune qui est à côté paraît simple. Après, il faut dire que c’est presque une entrée de gamme. Presque ? Oui, puisque celle-ci est de 1976, date à laquelle on a déjà sorti une version avec un plus gros moteur, la S (qu’on retrouve sur la Courrèges). Celle-ci conserve la mécanique originelle et la définition de base de la voiture. La ligne est pure et finalement, son originalité c’est sa couleur, mais ça ne vaut que dans la circulation actuelle, pas dans celle de l’époque.

Il y a quand même quelques particularités sur cette auto vendue neuve en Allemagne. C’est une série Export ce qui veut dire qu’elle a des phares additionnels blancs et pas jaunes ou encore un double circuit d’ouverture pour les phares pop-ups.

Un autre détail se cache à l’intérieur. C’est un bourrelet placé sur le tableau de bord pour plus de sécurité. Tant qu’on est à l’intérieur, cette fois on ne s’attarde pas sur la sellerie particulière de la Courrèges. L’occasion de voir comment Matra a casé trois sièges dans une auto à moteur central (ok, ils avaient fait une 2+2 avec la 530, encore plus fou). La réalisation est quand même étonnante puisqu’on a conservé le levier de vitesse au plancher.

La place centrale n’est pas très large et par contre, et contrairement à la Murena qui prendra la relève, le dossier est fixe sur la Matra Bagheera. Pas de large accoudoir central donc ! De fait, si vous partez en rallye « rapide », évitez d’être à trois dedans, le conducteur ne sera pas forcément très à l’aise avec quelqu’un juste à sa droite.

Intérieur de la Matra Bagheera Export

Enfin, regardons du côté de la mécanique de nos deux autos. Si vous aimez les anciennes à cause de l’accessibilité de leurs mécaniques, passez votre chemin. Le vérin vous aide à ouvrir le large hayon vitré et vous découvrez un coffre, de bonne taille et qui complète bien celui placé tout à l’avant de l’auto. Ensuite, une cloison, et c’est derrière cette cloison que réside le moteur. Avec la Matra Bagheera on se retrouve quasiment dans le cas d’une moderne : on ne voit pas grand chose de la mécanique mais on est devant de nombreux caches.

La mécanique de nos deux autos du jour est donc différente. On commence avec la base, la jaune. La Matra Bagheera est la première auto de la marque à s’équiper d’une mécanique Simca après le moteur Cléon de la Djet puis le V4 Ford de la 530. Ici on a récupéré le 1294cm³ de la 1100 Ti. Au programme : 84ch et 106Nm mais à des régimes un peu poussés (pour un moteur « populaire » s’entend) de respectivement 6000 et 4400 trs/minute. La transmission est également assurée par une boîte Simca.

Matra Bagheera par Bruno pour News dAnciennes 33- Matra Bagheera
Banniere Garage Clement copie- Matra Bagheera

La Matra Bagheera Courrèges est, elle, basée sur une S, sortie en même temps. On garde évidemment le Poissy mais on pioche dans les nombreuses versions de celui-ci. Certes, quand on dit Simca-Chrysler 1308 GT, ça fait sourire et ça fait moins sportif que la 1100 Ti. Néanmoins, c’est une évolution et la cylindrée est poussée à 1442cm³. La puissance maxi grimpe à 90ch à 5800trs/minute et le couple monte à 122,5Nm mais cette fois à 3000 tours. En fait, c’est de l’agrément plus que de la performance qu’on est allé chercher. De fait, la vitesse de pointe n’évolue pas mais on gagne 1,5s sur le 0 à 100 qui, de toute façon, est très éloigné d’un dragster.

Ne crachons pas dans la soupe : au niveau des coupé accessibles de l’époque, la Matra Bagheera est bien lotie. Certes, les moteurs ne sont pas ce qu’il y a de plus fou mais le Cx affiche une valeur de 0,33. Ajoutez à cela un poids réduit, autour de 960kg (à vide) mais bien répartis avec cette architecture originale (pour l’époque) et des trains roulants bien étudiés et cela nous donne une auto dynamique. En tout cas elle était vantée pour son dynamisme. Et justement, c’est le moment d’aller le vérifier.

Au volant DES Matra Bagheera

Elles n’ont pas de main pour le chifoumi. Ce sera donc plouf plouf et c’est la portière de la blanche que j’ouvre en premier. C’est lumineux, c’est beau, bref le traitement intérieur de la Matra Bagheera Courrèges est déjà une invitation tout en étant une évocation de ce qu’était l’excellence française en terme de raffinement automobile. Ne me faites pas dire ce que je ne dis pas, ce n’est pas une Hispano d’avant-guerre mais c’est loin d’être une Simca 1100.

Justement, en tant que propriétaire de Simca 1100, je me sens comme à la maison quand je démarre. Il y a des moteurs 4 cylindres qui ont quelque chose en plus, qui sortent un peu du lot avec leur sonorité. Le Poissy est de ceux-ci et en plus, il le fait sans artifice. Ce n’est pas une ligne inox fabriquée en Slovénie qui lui donne son timbre, non, ce sont plutôt ses culbuteurs à régler tous les 10.000km… et vous avez bien vu l’accessibilité du moteur ! Bref, j’ai démarré le Poissy et je le sais.

Première et c’est parti. La Matra Bagheera démarre et je me sens comme un pilote. Un pilote au sens aéronautique du terme face à une instrumentation qui veut absolument la jouer originale et avec une position de conduite qui tient du vaisseau spatial. Rien de péjoratif là-dedans, mais rien de très commun non plus avec une position qui est à la fois très allongée pour ce qui est de l’assise et très… assise pour ce qui est des jambes. Au moins, contrairement à d’autres autos je n’ai pas à évoluer avec les jambes orientées vers la droite et tendues au maximum (oui je parle de l’Alpine A110 là).

C’est en montée que je démarre. La Matra Bagheera Courrèges y est plutôt à l’aise. Ce n’est pas l’Alpe d’Huez mais ça tourne et ça grimpe. Le moteur a du couple, c’est certain. Mais on reste dans des valeurs qui feraient rire le propriétaire de tout coupé équipé d’un 6 cylindres. De fait, le couple est là, bien plus que dans une 1100 de base comme la mienne, mais ça n’empêche pas de jouer du levier de vitesse à chaque virage. Et là, c’est le drame.

Matra Bagheera par Bruno pour News dAnciennes 32- Matra Bagheera

Oui, Matra a pioché la boîte en plus du moteur chez Simca. Et il n’y a pas eu plus de prépa sur l’un que sur l’autre ce qui fait qu’on se retrouve bien avec les fameuses « synchros Porsche ». C’est toujours étrange de se dire qu’une marque qui a un tel passé ait pu développer un système de synchro si fragile. Ou alors c’est vraiment Simca qui a massacré l’idée originelle. Si bien que la Matra Bagheera a un point commun avec ma 1100 : double débrayage obligatoire pour faire 3-2. Et dans une montée de col comme ici, c’est plutôt fréquent. Au moins j’ai l’habitude.

Le confort à bord est bon, très bon même. Nous ne sommes que deux dans l’habitacle et le coup de coude ou l’effleurage de cuisse à l’anglaise ne sont pas au programme, grâce au 3e siège. L’assise est confortable et la voiture l’est aussi. La Matra Bagheera Courrèges n’est pas une auto prévue pour le sprint et ça se confirme une fois arrivé en haut.

Là, c’est le moment de hausser le ton. Le pied droit se fait plus lourd et les accélérations plus longues et franches. Le moteur est plus expressif, sans perdre son timbre particulier et sans hurler pour autant. Les performances sont bonnes mais on vous a déjà dit que la Matra Bagheera ne s’apprécie pas forcément pour son moteur. Et effectivement, c’est le cas. Sur la route des crêtes, c’est bien le châssis qui montre ses bonnes dispositions. Le freinage est bon, et pas seulement en le remettant dans son contexte historique.

Mais surtout, c’est l’équilibre qui est bon. Le confort perçu un peu plus tôt est dû à un tarage de suspension assez souple. Mais la Matra Bagheera ne se vautre pas quand on rentre dans un virage. Au contraire, elle vire quasi à plat et sans faire peur. La disposition centrale du moteur permet un comportement assez neutre qui ne révèle aucun survirage et procure, à l’inverse, le rassurant petit sous-virage qui prévient « euh, t’es optimiste là ». Le moteur a suffisamment de couple pour que le pied droit aide à corriger et, à l’inverse, les freins peuvent également rattraper la situation. La direction ? Irréprochable avec une sensation de pureté et des remontées d’information dosées pile comme il le faut.

Je me gare sur le côté et je descend de la Matra Bagheera Courrèges pour entrer dans la Matra Bagheera. Si ce n’est l’intérieur noir, je retrouve vite mes marques. Même chose après avoir démarré et encore même chose sur les premiers kilomètres au volant. Est-ce que ce serait la même voiture, même avec une mécanique différente ?

Heureusement pour moi, non. Mais pour ça, il faut hausser le rythme. Et là, je découvre un moteur plus communicatif ! Aussi étonnant que ça puisse l’être, je préfère largement le 1300 au 1400. Pourquoi ? Et bien il y a plein de raisons. D’abord parce que la différence de performances est à peine perfectible. Certes, en montée et à rythme classique, on peut éventuellement déceler un peu de couple en moins sur la Matra Bagheera jaune, mais il faut tout autant jouer du levier de vitesse et les synchros sont les mêmes donc le comportement est quasi similaire.

Par contre, dans les enchaînements de virage, c’est différent. Le comportement général de l’auto est identique niveau châssis, mais le moteur est plus hargneux. Celui-ci demande d’aller un peu plus dans les tours et ça tombe bien puisqu’il est plus prompt à y aller ! Les quelques chevaux de puissance sont finalement effacés par ce côté volontaire. Ça pousse et ça reprend bien. En jouant bien du levier de vitesse (en évitant de perdre trop de temps au changement de rapport), la Matra Bagheera devient vraiment plus dynamique même s’il manque une bonne cargaison de chevaux pour dire que c’est vraiment sportif.

Et puis j’avoue qu’au niveau sonore, le Poissy de la Matra Bagheera jaune est aussi plus expressif. Alors est-ce que c’est en fait une impression de dynamisme qui en découle ou bien est-ce que la jaune est vraiment plus dynamique ? La réponse me viendra plus tard d’une discussion dans une ferme auberge typique de la route des crêtes : non, les S sont plus performantes mais le côté « pataud » du moteur leur est en effet reproché par d’autres conducteurs.

Bref, la surprise est bonne et les quelques kilomètres plus pépères qui suivent ne font que confirmer cette impression.

Conclusion :

Ces deux Matra Bagheera sont quand même des autos très originales. Elles sont dans une catégorie bien à part, avec un dynamisme de premier plan et une ligne, un traitement et un intérieur vraiment originaux, surtout que la Courrèges pousse le curseur encore plus loin.

Mais il n’y a pas que la couleur et les détails pour les différencier. Le moteur joue aussi et, assez étonnamment, c’est à l’avantage, à mes yeux, du moteur « plus petit » qui est aussi plus hargneux et plus volontaire. Plus sportif en fait. Finalement, c’est comme lors du comparatif entre les deux coupés Bertone d’il y a quelques mois !

Par contre, autant on ne pouvait rien reprocher au Bialbero, autant on se dit qu’avec une telle base, c’est quand même dommage que Matra n’ait pas poussé plus loin au niveau de la préparation mécanique. Avec 120ch (ou plus hein tant qu’on y est), la bête aurait été parfaite !

Bonus ? Retrouvez notre vidéo « Les 4 Points » sur ces Bagheera :

Les plus de la Matra Bagheera CourrègesLes moins de la Matra Bagheera CourrègesLes plus de la Matra BagheeraLes moins de la Matra Bagheera
Les trois placesLes synchros PorscheLes trois placesLes synchros Porsche
L’originalité du traitementLa rareté des pièces spécifiquesLe caractère moteur…… mais le manque de puissance
Le comportement dynamiqueLe manque de puissanceLe comportement dynamique
image- Matra Bagheera
Fiche techniqueMatra BagheeraMatra Bagheera Courrèges
Années1973-19801976-1978
Mécanique
Architecture4 cylindres en ligne4 cylindres en ligne
Cylindrée1294cm³1442cm³
AlimentationDeux carburateursDeux carburateurs double corps
Soupapes88
Puissance Max84ch à 6000 trs/min90ch à 5800 trs/min
Couple Max106Nm à 4400 trs/min122,5Nm à 3000 trs/min
Boîte de VitesseManuelle 4 rapportsManuelle 4 rapports
TransmissionPropulsionPropulsion
Châssis
Position MoteurTransversale CentraleTransversale Centrale
FreinageDisques AV et ARDisques AV et AR
VoiesAV 1401mm / AR 1443mmAV 1401mm / AR 1443mm
Empattement2370mm2370mm
Dimensions L x l x h3974 x 1734 x 1198 mm3974 x 1734 x 1198 mm
Poids (relevé)1057kg1090kg
Performances
Vmax Mesurée182km/h182km/h
0 à 100 km/h12,7s12,4s
400m d.a18,1s18,0s
1000m d.a33,9s33,7s
Poids/Puissance12,6 kg/ch12,1 kg/ch
Conso Mixte± 8,5 litres / 100km± 8,5 litres / 100km
Conso Sportive± 13 litres / 100 km± 13 litres / 100 km
Prix± 15.000 €± 20.000 €
Cotes : Collector Car Value

Conduire une Matra Bagheera

Pour rouler avec une voiture française, différente, un coupé, mais où on peut monter à trois, la Matra Bagheera est parfaite. Certes, vous aurez sa remplaçante, la Matra Murena (à qui on peut faire en gros les mêmes reproches d’ailleurs) mais la Bagheera… a été plus produite ! Et oui, avec 47.796 exemplaires, c’est presque 5 fois plus que la Murena !

La Matra Bagheera n’est donc pas rare. Du moins elle ne l’était pas puisqu’au final, il y a une grosse différence entre les deux coupés Matra : la seconde était bien mieux traitée contre la rouille ! Et c’est d’ailleurs LE point noir de la Matra Bagheera puisque la carrosserie (plastique et fibre) comme la mécanique sont quasi irréprochable. Ah, si, il faut que l’intérieur soit complet car les pièces spécifiques sont rares. Et pour ce qui est de la Courrèges, là, il faudra encore plus chercher car là c’est de l’ultra-spécifique.

Sinon, la bonne nouvelle, c’est le prix. Les Matra Bagheera sont des autos originales mais qui ne s’arrachent pas à coup de portefeuilles bien remplis, mais c’est le cas de nombreux coupés de cette époque et on ne va pas s’en plaindre ! En pratique ? Comptez aux alentours des 15.000€ pour le Matra Bagheera « normale » et 20.000€ pour une Courrèges. Attention, c’est une cote moyenne et quand elles sont en parfait état, ça peut grimper au-dessus mais ça ne sera pas le double pour autant.

Merci à Jean-Michel et Patrick, les propriétaires de nos deux autos du jour.

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Pierre-Yves Certain

    Comme trop souvent, une trentaine de photos de l’extérieur, et 6 ou 7 de l’intérieur. Sur une voiture aussi originale, c’est vraiment dommage.

    Répondre · · 14 novembre 2023 à 17 h 47 min

    1. Benjamin

      Pour le coup les conditions du reportage ont été hard et on a pas pu faire ce qu’on voulait. Mais les vidéos arrivent !

      Répondre · · 14 novembre 2023 à 17 h 49 min

    2. Mark

      Etant avant tout photographe pour le plaisir, je me garde ce luxe. En d’autre terme si une séance ne me convient pas, ou si je viens à être court de temps, il n’est pas question de gâcher le plaisir pour la quantité.

      Répondre · · 15 novembre 2023 à 8 h 48 min

    3. ANDRE DEWAEL

      Pour approfondir le sujet, je me permets de vous suggérer mon ouvrage « La Matra-Simca Bagheera », dans la collection « De mon père », aux éditions E-T-A-I. (Sophia Editions).

      Répondre · · 15 novembre 2023 à 14 h 39 min

  2. nounours8529

    une jolie ligne cette Matra merci Benjamin pour cet excellent reportage

    Répondre · · 14 novembre 2023 à 18 h 23 min

  3. Jean Mi

    Merci pour ce reportage et pour ces photos magnifiques

    Répondre · · 15 novembre 2023 à 8 h 46 min

  4. adewael

    Excellent article sur un ton enjoué. Pour celui qui veut approfondir le sujet, je me permets de lui conseiller mon ouvrage : « La Matra-Simca Bagheera », dans la collection « De mon père », chez E-T-A-I (Sophia Editions).

    Répondre · · 15 novembre 2023 à 15 h 42 min

    1. Benjamin

      Merci beaucoup pour ces compliments, surtout venant de quelqu’un qui connaît le sujet !

      Répondre · · 15 novembre 2023 à 16 h 33 min

  5. MAUREL alex

    Mon frère avait une Baguerra S bleue en 1979 /1980 . Ce qui était original c’ était les 3 places. Il s’est bien amusé avec cette Matra , il aurait fallu un plus gros moteur.

    Répondre · · 20 novembre 2023 à 8 h 01 min

  6. errolflyn

    Dire que la marque a mené une étude très avancé pour un modèle doté d’un V8, la U8. Il reste un prototype au musée Matra.

    Répondre · · 21 novembre 2023 à 9 h 51 min

  7. Andy Owler

    Matra experimented with a Supercharger of their own design and manufacture and Andre lists the performance in his excellent book. I fitted a 1960’s Wade Supercharger to one of my Bagheera’s and achieved near identical performance in Corse de Cote and Speed events in France and UK. Pictures and details available upon request to: [email protected]

    Répondre · · 23 novembre 2023 à 12 h 34 min

  8. Straton

    Le mot français juste (qui doit être utilisé) pour qualifier ces deux Matra est quinquagénaires (et non cinquantenaires)

    Répondre · · 30 novembre 2023 à 9 h 24 min

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