Peugeot 305, sacré succès au numéro oublié

Publié le par Benjamin

Peugeot 305, sacré succès au numéro oublié

Non, on ne s’est pas trompé d’une centaine. Il n’y a pas de raison qu’on ne parle que de la 205. On va justement vous parler d’une auto méconnue, qu’on voit assez peu en collection et qui, finalement, a aussi été la première auto de la série des 05, dès la fin des années 70. Cette auto, c’est la Peugeot 305, un vrai succès, resté très discret !

Le casse-tête du renouvellement

Au milieu des années 70, Peugeot a enfin une gamme quasi-complète. Tandis que la 404 fait de la résistance, la 504 reste le fer de lance, avec la nouvelle 604 qui a de grandes ambitions (qui seront vite déçues). Plus bas, on a lancé la petite 104 et la 304 reste le cœur de gamme avec son placement dans le segment des 6cv. Bref, on a fait le tour de la Série 04 et il faut déjà penser au coup suivant.

La première visée, c’est la plus ancienne : la 304. C’est aussi une auto très stratégique, une petite berline aux forts volumes de vente. Dès le début des années 70 on a commencé le travail avec le Projet J qui doit remplacer la 304 ET la 404. On est d’abord parti sur quelque chose de plus haut de gamme que la 304, en faisant appel à Pininfarina et au bureau interne, comme d’habitude. Berline tricorps, coupé et même une berline bicorps sont étudiées.

Peugeot Projet J- Peugeot 305

Mais on a visé trop haut. Avec le choc pétrolier puis le rachat de Citroën, Peugeot se met dans le rouge et doit rationnaliser au possible. Du coup on va faire du neuf avec du vieux. Ainsi, la base technique de la 304 va être réutilisée sur la nouvelle auto. On modifie quand même certains points, histoire de vraiment renouveler le châssis qui date quand même du début des années 60 : la 304 l’avait déjà emprunté à la 204. Ainsi l’empattement prend 3 cm et on abandonne le train avant McPherson. Par contre, côté moteur, les XR5 et XL5 sont bien reconduits.

Eclate Peugeot 305- Peugeot 305

Côté style, on veut évidemment se démarquer. Néanmoins, les volumes à habiller sont les mêmes que ceux de la 304. De fait, les formes globales s’en rapprochent mais les lignes sont plus travaillées et plus tendues. On garde une autre similitude avec la 304. Cette dernière reprenait un regard qui était celui de la Peugeot haut de gamme de l’époque : la 504. On va faire de même avec la future berline qui reprend des phares rectangulaires qui font penser à ceux de la 604.

Sinon, qui a signé la ligne ? La légende veut que ce soit Pininfarina mais en réalité c’est surtout le style de Peugeot qui réalise le dessin.

Côté nom, enfin, on ne peut plus utiliser de 04, à moins de vouloir passer sur du plus haut de gamme. La première 04 est arrivée en 1960, la nouvelle auto sera la première 05, 17 ans plus tard.

La Peugeot 305 débarque

C’est au millésime 1978 que la Peugeot 305 démarre sa carrière, à partir de Novembre 1977. L’offre est alors relativement réduite. On commence avec la GL et la GR qui se partagent le 1,3 litres de 65ch et qui se différencient notamment avec des joncs chromés sur les vitrages des secondes. Le haut de gamme est assuré par la SR dont le 1,5 litres sort 74ch.

L’accueil est plutôt bon. Les performances sont correctes, les autos atteignent les 150 km/h même si le moteur se révèle bruyant à ces régimes. Le confort est bon et la ligne est bien acceptée, suffisamment pour qu’on ne lui reproche ni d’être une grosse 304 ni une petite 604. En 1978, pour la première année pleine de fabrication, on sort 169.534 autos de l’usine de Sochaux.

L’auto n’est pas que française et se décline. Ainsi en 1978 une version intermédiaire, la GLS, embarque le 1,5 pour les marchés européens, France exceptée !

L’année suivante la Peugeot 305 reçoit des motorisations diesel : GRD en France et GLD à l’export, toutes deux motorisées par le moteur XID, déjà vu sur la 304 et qui développe 49ch. En fin d’année 1979, la 305 est la troisième auto la plus vendue en France derrière deux Renault : la R5 qui enchaîne les distinctions mais, et c’est plus problématique, derrière la Renault 18 qui vient de débarquer et sera sa principale concurrente.

D’ailleurs, cette concurrence est acharnée. Dès 1980 les ventes reculent (201.459 autos produites contre 245.716 en 1979). On propose pourtant une nouvelle version. Si la berline bicorps ou le coupé ont bien été étudiés, ils ont été abandonnés. Ne reste que le break présenté au salon de Genève et commercialisé en août.

Toutes les Peugeot 305 du millésime 1980 voient leur monogramme passer sur un fond noir tandis que le sigle 305 passe de l’avant du capot à l’arrière. On ajoute également quelques équipements : enrouleurs sur les ceintures, essuie-glace à intermittence et même des phares à iode sur la SR.

Nouveaux monogrammes des Peugeot 305
Nouveaux monogrammes des Peugeot 305

La SR ne reste d’ailleurs pas plus longtemps le haut de gamme. La Peugeot 305 S débarque en Mai 1980, toujours avec le 1472cm³ mais gavé par un carbu double corps qui permet d’atteindre 89ch et d’envoyer l’auto à 162 km/h de pointe ! Forcément l’équipement progresse aussi avec des vitres avant électriques, un verrouillage centralisé tandis que l’auto peut être équipée de jantes alliage en option. La 305 amorce un premier pas vers le sport.

Le reste de la gamme est d’ailleurs remanié en Juillet 1980 pour le millésime 1981. La Peugeot 305 de base est toujours motorisée par un 1,3 litres mais perd son GL. La GR passe au moteur 1,5 litres. Le diesel est désormais disponible en finition GLD et SRD.

La GL ne sera pas partie très longtemps. Elle réapparaît en Juillet 1981 avec un moteur 1,5 litres. En parallèle on supprime la S, remplacée par une série Team, avec un becquet arrière et limitée à 3000 exemplaires. Pour écouler les stocks ? Peut-être car les grandes manœuvres arrivent.

Peugeot 305 Team Sandertoonen- Peugeot 305

La Peugeot 305 passe la seconde

En 1981 la 305 est passée sous la barre des 200.000 exemplaires produits. On lance alors la refonte qui va donner la Série 2, proposée à partir d’Octobre 1982, vrai départ du millésime 1983.

Au niveau du style, un nouveau capot apparaît ainsi que de nouveaux phares et une nouvelle calandre. Les jantes passent à 4 écrous et l’intérieur, de la planche de bord aux sièges est redessiné.

Peugeot 305 S2 SR- Peugeot 305

Techniquement, cette Série 2 marque surtout l’apparition des moteurs XU sous le capot des Peugeot 305. Ainsi le XID est remplacé par le XUD9 de 1905 cm³ de 65ch qui peut être accolé à une boîte 5 en option. Le train avant est également amélioré avec la réintroduction du système triangulé.

La gamme se compose de la Peugeot 305 de base, passée au XK5 de 1127 cm³ de 1127ch, de la GL qui conserve son 1,5 litres et de la SR avec le même moteur, complétées par les diesels GLD et SRD.

Malgré cela, la Peugeot 305 est loin d’être sortie d’affaire. La concurrence de la Renault 18 est toujours présente, elle évolue aussi en parallèle, la Ford Sierra débarque et surtout, au sein même de PSA, on sort la Citroën BX !

On ne s’avoue pas vaincu et on sort la nouvelle Peugeot 305 GT en février 1983. Avec son moteur XU5S de 1580 cm³ elle sort 94ch et atteint les 170 km/h. Elle est bien équipée et peut recevoir des jantes alu.

Sauf qu’encore une fois, on ajoute un épine dans le pied de la 305, le même mois : c’est la sortie de la Peugeot 205 qui vient s’intercaler entre la 104 et la 305 ! Même avec l’arrivée de l’allumage électronique sur tous les moteurs essence en Juillet, les ventes ne repartent pas. Comme en 82, les chiffres de production flirtent avec les 200.000 sans les atteindre. Mais c’est le début de la fin.

En Juillet 1984 le nouveau millésime propose la version Automatic.

Peugeot 305 Automatic- Peugeot 305

Mais surtout on note l’arrivée de la GTX. Clairement, elle aurait pu s’appeler GTI tant elle reprend les codes de la 205 du même nom… mais son moteur XU9 fait l’impasse sur l’injection, ce qui ne l’empêche pas d’annoncer 105 ch ! Avec une boîte 5 elle atteint les 182 km/h en pointe. Les suspensions sont raffermies, le freinage amélioré et la hauteur de caisse descend de 8mm.

Visuellement, l’intérieur est celui de la GTI, jusqu’au volant qui évite cependant l’inscription rouge. Les baquets sont au programme tandis que l’extérieur reçoit un liseré et une bande dégradée noire tandis que les jantes proposent un dessin inédit. En option on peut se payer la sellerie cuir et le toit ouvrant. Les papas pressés peuvent même rouler en break !

Cela n’empêche pas la Peugeot 305 de continuer sa chute au niveau des ventes. On atteint 155.665 exemplaires en 1984 et 118.237 exemplaires en 1985. La seule nouveauté de cette année là étant la série limitée S5, basée sur la GT.

Peugeot 305 S5- Peugeot 305

Le millésime 1986 voit les GR et SR se doter du moteur XU5S de 94ch pour un beau gain de performances (avec la boîte 5) tandis que la GT passe au XU9 de 1,9 litres.

La suite, c’est celle de la fin d’une voiture. En 1986 on ne sort que 75.000 exemplaires. Le millésime 1987 voit la suppression de la Peugeot 305 de base ainsi que de la GT. La Peugeot 405 débarque au millésime 1988. C’est la remplaçante de la 305 qui n’est plus proposée qu’en GR en GLS avec le moteur 1,6 litres, en Automatic, en GTX, GLD et SRD qui vont s’arrêter petit à petit.

Les break feront un peu de résistance mais la Peugeot 305 tire sa révérence après 1.649.177 exemplaires produits. Si les ventes ont vite baissé, c’est une belle perf pour une auto conçue sur une base si ancienne… mais qui lui assure aussi de rester dans l’ombre de ses sœurs de chez Peugeot.

Les autres Peugeot 305

Non, toutes les Peugeot 305 ne sont pas arrivées sur la route. La première n’est pas arrivée en piste ! Évidemment, c’est de la Rallye dont on parle.

Le but est d’engager la voiture en Groupe B, carrément. Quelques obstacles se dressent devant les hommes de Sochaux : le moteur et la transmission. Après un peu (beaucoup) de travail, la Peugeot 305 est métamorphosée et adopte un V6 PRV de 24 soupapes de 205ch et elle devient une propulsion !

Côté carrosserie, on doit évidemment élargir le tout pour chausser de gros pneus. Et comme il faudra 200 exemplaires pour l’homologation, c’est Heuliez qui s’y collera. Si Peugeot réalise le proto « démonstrateur », à Cerizay on réalise une maquette à l’échelle 1 qui reprend même les codes de la Série 2 qui s’apprête à débarquer. En gros, en 1982, on est prêt… mais la 205 va débarquer et Peugeot sent bien qu’il faut faire all-in sur cette version plutôt que sur la Peugeot 305 qui n’a que 5 ans mais qui est déjà sur la mauvaise pente. Le proto servira de base pour développer la mythique Peugeot 205 T16 mais en restera là.

On a aussi évoqué le développement de nombreuses autres carrosseries pour la Peugeot 305. Ce sont surtout les Fastback qui ont été travaillées, avec un hayon en 3 ou 5 portes ainsi que la version bicorps. Ce projet D41 était assez avancé mais là c’est le rachat de Simca qui posa problème. Les Simca 1307 et 1308 arrivant dans le giron de PSA avec cet arrière si particulier et sur le même segment, le projet fut annulé.

Enfin, il faut parler du prototype VERA 01 de 1980. La base est donc celle de la Peugeot 305 et l’auto est le résultat d’études menées pour l’Agence pour les Économies d’Énergie. Le monde entier vient de prendre le deuxième choc pétrolier en pleine tête et il faut réfléchir sur le sujet. La VERA (pour Véhicule Économe de Recherche Appliquée) 01 voit son aéro évoluer avec un Cx de 0,32 au lieu des 0,44 des Peugeot 305 de base. Le moteur est plus petit, emprunté à la 104 tandis que le poids est réduit à 740 kg.

On ira même plus loin avec la VERA 02 du salon de Genève 1982. Cette fois on utilise un moteur 1,4 litre turbo… diesel ! Les résultats sont dévoilés et sont plutôt bons : 3,5 litres au 100 km et 158 km/h en pointe !

La Peugeot 305 en collection

Dans l’ombre de la 304, mais aussi des 205 et 405, la Peugeot 305 passe littéralement sous les radars. Il est bien rare de la voir sur les événements de voitures anciennes mais ce n’est pas impossible, les photos de cet article le prouvent.

Un de ses avantages en collection : la disponibilité des pièces qui se sont retrouvées montées sur d’autres modèles plus collectionnés (à quelques exceptions près, si vous avez un embrayage de XU, dites-le nous). Par contre, avant 1980 et le traitement par cataphorèse des caisses, les autos étaient sensibles à la rouille.

On notera des versions plus collectionnées que d’autres et ce sont évidemment les sportives S, GT et surtout la GTX qui sont concernées avec des prix pouvant approcher les 5000 €. Les berlines plus classiques sont plus abordables. Une bonne idée pour changer de la sempiternelle 205 non ?

Banniere PA Citroen copie- Peugeot 305

Photos complémentaires Wheelsage et Sandertoonen

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Gardez Pascal

    J’ai eu 2 Peugeot, une série 1 avec un moteur diesel, ce n’était pas un foudre de guerre mais elle consommait peu et une série 2 en essence version SR qui était beaucoup plus agréable sur route et autoroute mais consommait plus, on ne peut pas tout avoir. C’était de bonnes voitures sans problème, confortables et rassurantes.

    Répondre · · 17 mars 2023 à 17 h 35 min

  2. LESIMPLE

    Juste un correctif: sur la série 2, les jantes passent à 4 écrous.

    Répondre · · 17 mars 2023 à 18 h 34 min

    1. Legandre

      C’est mentionné plus haut que les roues sont à 4 fixations .

      Une chose à été oublié : la gâche d’ouverture des portes : avant restylage, on ouvre de l’avant vers l’arrière de la voiture et même cela a été repris sur la série 2 jusqu’en 1984 .en 1985 le sens d’ouverture s’effectue « dans le bon sens » de l’arrière vers l’avant.

      Il est préférable de travailler sur les xu les versions à moteurs 304 , c’est à éviter, beaucoup trop de pannes surtout sur les versions 1978 à 1981 sans allumage électronique.
      Et ces moteurs 304 fuient l’huile comme les fiat ….une horreur !!!

      Répondre · · 20 mars 2023 à 10 h 55 min

      1. Benjamin

        (On avait fait une faute sur les 3 et 4 trous, ça nous a permis de modifier 😉 )

        Répondre · · 20 mars 2023 à 21 h 09 min

        1. PhB

          C’est surtout 4 vis et pas des écrous

          Répondre · · 21 mars 2023 à 7 h 06 min

  3. LESCAUT

    La 305 série 1 était équipée d’un train Mac Pherson intégral (triangulation par la BAD) alors que la série 2 avait un train Av pseudo Mac Pherson (vrai triangle).
    Les voies Av et Ar ont été augmentées au passage SERIE 2 pour permettre l’implantation en largeur des moteurs XU XUD boîte en bout BE1.
    Le train AR du Break était différent de la berline pour éviter les amortisseurs dans les passages de roues. On a installé le train AR RP2 mécanique. Les éléments porteurs Ar sont mécaniques et couchés avec des efforts très importants dûs à la démultiplication, les bras Ar et la traverse sont les mêmes qu’en BX hydraulique et le train mécanique est le même que C15.
    Au passage à 405 et BX il fallait conserver les mêmes fixations de trains AR qui sont devenues communes avec le train RP30.
    La Berlingo a repris aussi les mêmes fixations de train AR. Donc C15, 305 série 1 série 2, BX, BX Bk, 405 berline et Bk, et Berlingo/Partner ont les mêmes fixations de train AR. C’EST FORT hein !
    Les roues à 4 fixations sur 108 faisaient partie du deal de standardisation PEUGEOT / CITROËN.

    Répondre · · 17 mars 2023 à 23 h 37 min

  4. LESCAUT

    Concernant le véhicule J non sorti, appelé J23, il avait un train AR innovant à « bras croisés ».
    L’avantage de tenue AR était dû à l’emplanture AR des triangles qui faisaient toute la largeur de la voiture.

    Répondre · · 17 mars 2023 à 23 h 42 min

  5. LESCAUT

    Concernant la VERA 1, elle faisait 170 kg de moins que la 305, dont 100 kg de gain allègement par matériaux (capot plastique, ailes plastique, portes Alu, pédales composites, roues Michelin composites avec inserts acier, …) et 70 kg de gains induits (moteur, freins, barreau de direction tubulaire, ressort composite, …).

    Répondre · · 17 mars 2023 à 23 h 50 min

  6. Bendjou

    ‘Peugeot 305 de base, passée au XK5 de 1127 cm³ de 1127ch’, plus fort qu’une Bugatti Vérone ! ☺️. À part ça, bonne voiture qui manque un peu de sex-appeal à une époque où Peugeot avait un style trop conservateur que la 205 a dépoussiéré, ce qui lui a valu le succès mérité qu’on connaît. Elle aurait peut-être eu plus de succès en Amérique latine, friande de ce type de carrosserie.

    Répondre · · 19 mars 2023 à 12 h 42 min

  7. Moreau

    Sa c de la voiture moi je roule avec une 305 brek depuis 20 ans et je ladore

    Répondre · · 21 mars 2023 à 19 h 46 min

  8. Nicolas

    Je possède une version GTX Break et cette voiture est un régal à conduire. le moteur pousse sans avoir besoin de rétrograder , et si on le fait alors c’est une bombe Véhicule très efficace sur la route, confortable avec ses sièges velours.vitre teintée électriques, boite 5, centralisation et DA. effectivement voiture méconnue, même le musée Peugeot n’en expose pas ( à part la version Rallye Prototype)

    Répondre · · 6 avril 2023 à 22 h 27 min

    1. Aurélie MEZIEUX

      Si tu la vendais, je pourrais être intéressé ….

      Répondre · · 12 novembre 2023 à 11 h 44 min

  9. Nico

    Une 305 GR bordeau phase 2 …. ma première voiture que j’ai emmené à plus de 200 000 km avant de passer à la 309.
    Que de souvenirs.

    Répondre · · 7 janvier 2024 à 14 h 11 min

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