L’année 2016 a été l’année de tous les possibles en ce qui me concerne, entre mon déménagement Outre-Manche, les évènements couverts et les voitures essayées, un pur régal ! Mais voilà, dur de départager les différents moments forts de l’année, je vais m’y essayer, après Benjamin, Gaultier et Bertrand.
Le Mans Classic : en piste !
Cette année, le Mans Classic a pris une saveur toute particulière, car en plus des plaisirs habituels fournis par l’évènement, j’ai pu profiter du vendredi matin pour faire un tour (en l’occurrence deux) sur cette piste ô combien mythique.
C’était l’occasion de vraiment pousser « Schtroumpfette » dans ses derniers retranchements, et il faut reconnaitre qu’enchainer les rapports au-delà de 9000 tours minute a quelque chose d’absolument grisant, surtout avec une piste large et de quoi s’élancer sans souci.
Même si cette séance de roulage n’a duré qu’une quinzaine de minutes cela reste une expérience unique. Dévaler les Hunaudières à une vitesse tout à fait indécente devant le radar installé au bord de la route (heureusement désactivé pour l’occasion) a tout d’un petit plaisir sadique.
Je ne sais pas si l’occasion se présentera à nouveau, car maintenant, je suis plus tenté d’écumer les circuits britanniques, à portée de roues, mais j’en garderai toujours un excellent souvenir.
Mais aussi…
Silverstone Classic
C’était mon premier évènement majeur en Angleterre, et il faut bien admettre que j’ai été tout sauf déçu ! Silverstone Classic, ce sont des anciennes voitures de compétition, dans tellement de catégories, réunies au même endroit, j’avoue avoir eu le vertige dès mes premiers instants sur place car je ne savais pas où donner de la tête.
La Renault 5 Turbo 2
C’est probablement l’essai pour lequel j’avais le plus d’appréhension. On n’a pas tous les jours (même nous qui « baignons » dedans) l’occasion de se glisser derrière le volant de ce genre de mythe sur roues. Ce fut physique, franchement brutal, et la désacralisation de la bête a été quelque peu déconcertante, mais il faut bien avouer que des engins pareils, on n’en verra plus dans la production moderne.
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