Essai d’une Mercedes 190E 2.5 16 Evo : why so serious ?

Publié le par Benjamin

Essai d’une Mercedes 190E 2.5 16 Evo : why so serious ?

Il y a quelques semaines, autour d’un shooting, j’évoque avec un collectionneur quelques Mercedes anciennes que j’aimerais bien essayer. Forcément arrive le moment où je parle de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo. Une Evo II est un rêve. Par contre les Evo (I) sont peut-être plus abordables. En tout cas ce n’est pas pour tout de suite… et puis je regarde le catalogue de la vente Osenat du 29 Mars prochain. Et je trouve une belle Mercedes 190E 2.5 16 Evo. Ce n’est pas la première fois qu’on a l’opportunité d’essayer des autos qui vont passer à la vente et le feu vert arrive vite. Alors je me prépare, je vais m’attaquer à une bête de DTM, enfin presque.

L’histoire de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo en bref

Pour le coup on a déjà bien parlé d’elles à travers nos articles dédiés à l’engagement de Mercedes en DTM :

Si vous voulez plutôt savoir ce que la bête a dans le ventre, je vous la fait courte. En 1982, Mercedes-Benz sort sa « baby-benz », la 190 ou W201. Une auto qui mise sur son sérieux et des versions 4 cylindres puis 6 cylindres à partir de 1985.

Au Salon de Francfort de 1983, Mercedes propose sa première version sportive : c’est la 190E 2.3 16. Le moteur a été revu chez Cosworth et sort 186 ch. On modifie évidemment le châssis et l’auto gagne des appendices aéro. Elle sera la base de l’engagement de Mercedes en DTM.

Quand apparaît la W201 phase 2 en 1989, la version sportive se muscle. Le bloc a trouvé des cm³ supplémentaires et sort désormais 195 ch. Surtout l’auto a été prévue pour être préparée. Ce n’est pas elle qui servira de base aux autos de DTM mais la Mercedes 190E 2.5 16 Evo. Le moteur passe à 204 ch, les trains roulants sont revus pour être plus affutés et les freins sont plus gros après le passage des roues en 16″. L’aéro est aussi revue et l’auto commence à se faire menaçante en DTM.

En 1992 elle sera même revue pour donner naissance à la Mercedes 190E 2.5 16 Evo II de 235 chevaux !

Ces deux versions limitées, 502 exemplaires chacune, un chiffre dicté par l’homologation, sont évidemment très recherchées. Ça tombe bien, on vous en détaille une.

Notre Mercedes 190E 2.5 16 Evo du jour

Alors qu’on découvre l’auto, elle est stationnée à côté d’une 190E normale. C’est simple, si la majeure partie des éléments sont communs, on se rend vite compte que la version de base est bien plus ronde et plus haute.

Clairement, la marque à l’étoile avait besoin d’appuis sur sa bête de DTM. Il suffit de regarder notre belle noire du jour. Niveau coloris ? Oui, elle est comme toutes les autres, en même temps, au moment de commander vous n’aviez pas le choix, c’était le seul dispo au catalogue. Il offre d’ailleurs l’avantage de revêtir toute l’auto, ne laissant pas les bas de caisses d’une couleur différente comme sur les 190 « normales ».

En fait ce n’est pas vraiment un noir puisque ce n’est pas assez foncé et de près ça peut tirer sur le bleu. Mais on chipote, à moins que vous ne soyez adepte des voitures Corail à intérieur Taupe, la Mercedes 190E 2.5 16 Evo sera pour vous une voiture noire. C’est d’ailleurs intéressant de faire le parallèle avec les dernières autos de la marque affublées de pareils appendices aéro : ce sont des AMG Black Series !

Et notre auto du coup ? Il est étonnant de voir qu’en fait elle paraît plus carrée… sans avoir trop été touchée. Le côté massif et sportif est accentué par le fait qu’elle soit bien plus basse. Et encore, elle est ici photographiée en position haute (vous connaissez l’état de notre réseau secondaire…).

Détaillons maintenant cette Mercedes 190E 2.5 16 Evo. À l’avant le spoiler est relativement simple avec une lèvre « ramasse miettes » et c’est tout. Mais quand on ajoute les élargisseurs d’aile on se retrouve avec un ensemble bien plus musclé et plus massif. Une vraie différence avec la 190 qui a pourtant les mêmes phares, la même calandre et le même capot.

Les phares de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo ? Classiques, rectangulaires, germaniques, avec une petite touche d’on ne sait quoi dans le dessin qui les rend élégant. La différence entre un château et un blockhaus en fait. La calandre est toujours fidèle à elle même : large, noire et chromée. Elle en impose, encore plus avec l’étoile qui la surmonte.

Les bas de caisse et les élargisseurs montrent les muscles de profil. En plus, on a adapté les portes pour qu’elles viennent à leur rencontre et c’est vrai que ça change tout. On y note peu de détail mais ils sont important. D’abord un qui est typiquement allemand : le rétro droit est bien plus petit que le rétro gauche. Ensuite l’aile avant nous informe que c’est bien une Evolution et pas la 2.5 16 de monsieur tout le monde (il a un sacré goût le bougre). Enfin on note une petite grille en bas du montant de custode. Son but est moins d’aérer que de laisser l’air s’échapper… pour pouvoir fermer les portes sans créer une surpression à l’intérieur !

L’arrière ? Du grand sport. L’auto n’est pas plus inclinée vers l’avant qu’une 190 normale. C’est tout l’art de Bruno Sacco parce qu’on a une impression contraire en regardant la Mercedes 190E 2.5 16 Evo. Le bouclier arrière est différent, au lieu de s’arrêter sous le pare-chocs, il a droit à une lèvre lui aussi. On est dans les années 80, pas encore de diffuseur. Par contre on fait de l’appui avec un aileron comme on en fait plus que rarement.

Finie la simple lame des 2.3 16 et 2.5 16. Là c’est du gros aileron, du complexe, monté bien haut, avec des éléments sur les flancs et même un becquet rajouté par dessus la lame principale. Clairement il en impose le bougre !

On notera enfin le petit détail qui tue à l’arrière : l’échappement. C’est bien un double sortie mais il pointe vers le bas. Comme sur une version diesel en fait !

L’intérieur : la gaieté allemande

Des couleurs, des chromes, du bois. Ne rêvez pas. La Mercedes 190E 2.5 16 Evo sort en 1988 et en plus c’est une allemande. Pour autant vous êtes dans une version haut de gamme. On peut oublier, là, le concept d’homologation. Klaus Ludwig aurait certainement aimé avoir autant d’égards pour s’attaquer à l’AVUS.

Le cuir est partout, comme sur les autres versions haut de gamme de la 190. Tableau de bord, contre-portes, sièges et volant évidemment, on en retrouve là où on s’y attend. Évidemment il est noir ! Si ça peut assombrir le tableau, au moins il ne détone pas avec les différentes commandes en plastique, noir également. À ce niveau c’est deutsch quälität : des plastiques qui semblent inrayables et qui restent plutôt sympa au toucher. Du costaud quoi ! La touche d’originalité viendra du placage bois qu’on retrouve sur la planche de bord, la boite à gants et autour du levier de vitesse.

Quelles différences entre une Mercedes 190E 2.5 16 Evo et une version haut de gamme ? D’abord le compte-tours. Il est de série sur cette auto et seulement en option sur les autres. Il remplace une montre qui prend, ici, place juste en dessous. Et puis on retrouve, sous l’autoradio, trois nouveaux cadrans. Là c’est sport : température d’huile à gauche, témoin de charge à droite… et une autre horloge, digitale cette fois, au milieu.

Enfin, parlons des sièges. Sport oui, baquets non. Enfin pas radicaux du moins. On voit un dessin creusé, pour assurer le maintien, mais on est quasi sûr de ne pas avoir à prendre rendez-vous chez l’ostéo en descendant. Chose intéressante : la banquette arrière subit le même traitement. Vous allez pouvoir secouer les gamins !

Sous le capot : alléchant

L’extérieur nous a donné des infos, l’intérieur à peine, et sous le capot alors ? Il n’y a pas tellement de place là dessous. Le moteur ainsi que les différentes pompes et assistances occupent chaque cm³ que laisse voir le capot avec sa calandre intégrée. Nous sommes bien dans une sportive allemande. Mais nous sommes aussi dans les années 80. Du coup pas de V8, pas de Turbo, mais un bon gros 4 cylindres 2.5 litres et 16 soupapes. D’ailleurs, on note que la principale concurrente, la BMW M3 Evo fait appel à un… 4 cylindres 2.5 litres à 16 soupapes. Vous l’aurez compris la course à l’armement n’a pas encore commencé en DTM.

Par contre niveau puissance on est là dans du costaud. Sur la Mercedes 190E 2.5 16 Evo, le pied droit commande donc 204 ch. Mine de rien, ce sont quand même 38 équidés de plus que la version 6 cylindres… dont la cylindrée est à peine plus grosse. Cosworth a fait du bon travail dès la première version et ce passage à 2.5 litres est né d’un vrai besoin de souplesse à bas régime.

Au niveau des autres caractéristiques techniques ? On a une boîte 5 vitesses, un pont autobloquant, des disques ventilés à l’avant avec 4 pistons et surtout, car c’est important : 1400 kg sur la balance. Et au final c’est pas si mal pour une auto de ce gabarit.

Au volant de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo

C’est parti. Le chargeur de batterie est débranché, la belle a été astiquée, elle est là, elle attend. Je m’installe et j’avoue ne pas être spécialement ravi. Non pas à cause du moelleux du siège mais bien par sa position. Je recule, je modifie l’angle de l’assise… Bah je suis tout de même assis comme dans un camion. Bon Loïc va venir à ma rescousse et me montrer une commande que je n’avais pas touché porte fermée : celle qui permet de baisser le siège. Voilà. J’ai une vue un peu moins plongeante sur le capot et le viseur qui est tout au bout.

Allez maintenant je démarre, aucun problème, le petit coup d’accélérateur aide le (gros) 4 cylindres de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo à se réveiller. Et là c’est… décevant. Si je n’avais pas regardé le moteur juste avant j’aurais eu un gros doute sur sa provenance. La sonorité est celle d’un gros moteur, mais n’a rien de spéciale, elle n’est pas si forte, ni rauque, ni aigue. Un peu quelconque.

Je tire sur le levier et rentre la marche arrière. J’ai pris l’habitude de le faire au rétros. Là… j’avoue que ce sera compliqué. Le rétro gauche est bien, celui de droite est anecdotique. Quant à celui d’intérieur… et bien il pourrait offrir une belle vue panoramique à travers la large lunette arrière si le gros aileron n’en cachait pas une grosse partie.

On y va ? Oui, oui, je passe la première, en bas évidemment, la boîte est inversée. L’air est froid le moteur aussi. La ville est là pour m’habituer aux commandes. L’embrayage est très, très, mou. On trouve vite le point de patinage mais il n’offre pas la résistance et le côté brutal que nous suggère la carrosserie de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo. L’accélérateur au planche se dose parfaitement, le frein aussi. La direction est encore plus douce que dans le monospace familial. En bref ? Je conduis une Mercedes. C’est facile et c’est doux. Et évidemment c’est confortable. Niveau bruit ? Rien à l’intérieur.

Même quand on sort de la ville, tant que je ne réveille pas le pied droit, c’est la même chose. La bougresse pourrait avaler les bornes sans qu’on se doute de quoi que ce soit. À l’intérieur du moins. On peut même se permettre d’ouvrir le toit ouvrant, histoire d’être vraiment à la cool. À ces allures normales, même pas dynamiques tout fonctionne parfaitement. J’avoue que le moteur n’est pas aussi coupleux que ce à quoi je m’attendais. À chaque relance je dois y aller franchement.

J’en profite pour scruter un instrument que j’allais oublier de mentionner : l’économètre. En gros il vous dit si vous roulez à l’économie ou pas. Et autant vous dire que même dans les relances, pour le moment on est dans la partie noire.

La forêt défile on peut discuter sans se faire mal à la gorge, même avec le toit ouvrant ouvert. Le confort est là. Mais bon, je suis quand même venu pour un peu de sport ! La température d’eau de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo est montée. Celle de l’huile aussi. Chic des virages. On va jouer.

5e, 4e, 3e, dans un freinage tranquille. Un bout de droit et ça relance. Bon j’ai été optimiste sur la 3e. Je n’ai pas encore pu être dans la partie du compte-tour où cette version civilisée d’une auto de course aime s’exprimer. Pour autant le caractère a commencé à pointer son nez. Message reçu.

Le virage suivant est marqué par un freinage plus appuyé, hop, 3e, 2e, avec la boîte inversée c’est si facile. La corde est visée, la direction est toujours aussi molle mais place la Mercedes 190E 2.5 16 Evo au poil et je met le pied droit au fond. Cette fois ça part. La vitesse augmente vraiment. Pour autant la sonorité du moteur reste encore banale. Mon pied droit continue d’appuyer en 3e et je me retrouve à des vitesses… pas très « pérrichonnes ». Je passe la 4e en relachant la pression du droit. Ça y est je suis tombé dans le piège de cette allemande. Même à vitesse élevée… on a l’impression de se traîner.

L’enchainement suivant révèle la même chose à un détail près : si on est trop optimiste sur la réaccélération on peut commencer à sentir quelque chose. Sinon la Mercedes 190E 2.5 16 Evo reste sur des rails. Elle est d’une facilité déconcertante. Pas besoin de piloter, juste d’être attentif et les vitesses de passage sont sportive. Dommage qu’on ait pas cette impression de vitesse. Parce que du coup, les sensations ne sont pas vraiment au rendez-vous.

Mais l’aiguille du compteur nous prouve bien qu’on enfile pas des perles. Mais niveau confort, clairement, mon passager pourrait. Le maintien des sièges est loin d’être exceptionnel mais le confort est au top.

Les lignes droites suivantes sont l’occasion de me lâcher sur l’accélérateur. Évidemment je dois surveiller les vitesses atteintes. Mais je les atteint très rapidement. En fait la clé c’est vraiment de ne pas laisser le moteur trop redescendre. Sinon on perd du temps. C’est dans la deuxième moitié du compte-tour qu’il aime fonctionner… du moins qu’on préfère le faire fonctionner. Dommage au regard de la cylindrée, moins au regard de ce que ça demande au conducteur : s’y employer et garder à l’esprit qu’il est au volant d’une sportive.

Un village approche, je monte sur les freins. La pédale a toujours le même toucher et l’efficacité du système de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo est diabolique. J’arrive à rentrer à 50 au niveau du panneau alors que beaucoup d’autos auraient peiné à être à 70. Bluffant. Le village permet de se (re)délecter de la douceur des commandes et voilà une toute petite route de campagne. Avec le revêtement qui va avec. N’ayons pas peur des mots : c’est scabreux.

Pour autant, la confiance vient et j’en remet une louche à coup de pied droit. La Mercedes 190E 2.5 16 Evo avale les trous sans m’attaquer les lombaires, sans se faire embarquer vers les talus qui sont déjà bien assez proches. Sans me faire peur jusqu’à ce que je regarde le compteur. Les cailloux sont nombreux, je fais gaffe au freinage, mais l’absence presque totale de sous-virage est géniale.

La route s’élargit de nouveau et je peux reprendre ma danse effrénée. Non, la Mercedes 190E 2.5 16 Evo n’est pas une ballerine. Ni même une sprinteuse. En fait c’est plutôt un flanker de rugby : costaud, sur ses appuis, rien ne peut l’arrêter. Le moteur monte toujours dans les tours, les virages sont avalés comme un demi de mêlée au ras du ruck. Intraitable, l’allemande enchaîne. Je lèche les freins, qui ne faiblissent pas, je place l’auto pile là où je veux et je relance énergiquement. J’en redemanderais encore longtemps.

Mais l’heure est venue de laisser le volant. Un nouveau village et revoilà la Mercedes banale qui me revient dans les mains.

Conclusion :

La Mercedes 190E 2.5 16 Evo c’est une auto redoutable. Elle vous pardonnera beaucoup. Par contre vous ne vous pardonnerez pas d’avoir découvert trop tard ses capacités à haute vitesse. Il faut la chercher pour qu’elle vous fasse quelque chose. Il faut la chercher pour en trouver les limites mais elle vous les définira avec soin et sans vous surprendre.

Du coup que dire ? Que la Mercedes 190E 2.5 16 Evo est une sportive, c’est sûr. Mais si vous voulez du caractère, de la brutalité, de la sonorité ce n’est pas vraiment l’auto qu’il vous faut. Si vous voulez vous sentir pilote parce que vous devez vous battre pour éviter de sortir à haute vitesse, elle n’est pas pour vous. Par contre si vous voulez rouler fort, sans arrière pensée, dans un confort appréciable et qu’en plus votre auto ait la gueule de l’emploi… alors vous avez trouvé votre monture.

Les plusLes moins
La gueule de l’emploiManque de sensations
Ses performancesSonorité absente
Son exclusivité…Sa rareté
Sa facilitéCote élevée
Son confortIntérieur trop discret
Sa polyvalence
CritèreNote
Budget Achat8/20
Entretien13/20
Fiabilité16/20
Qualité de fabrication18/20
Confort15/20
Polyvalence19/20
Image17/20
Plaisir de conduite15/20
Facilité de conduite20/20
Ergonomie19/20
Total16/20

Rouler en Mercedes 190E 2.5 16 Evo

Avec 502 exemplaires vous vous doutez de ce qu’on va dire : c’est une rareté ! Celle-ci fait partie des 30 exemplaires vendus neufs en France. Du temps où on aimait encore les sportives ! On en trouve peu du coup les prix sont conséquents : la Mercedes 190E 2.5 16 Evo vous coûtera minimum 80.000 pour un exemplaire en bon état et jusqu’à 120/130.000 € si elle est parfaite et peu kilométrée. Du coup, celle-ci qui sera proposée à la vente Osenat du Lundi 29 Mars est bien placée : estimée entre 80 et 100.000 €. Toutes les infos sont là.

Si vous trouvez ça cher, sachez qu’en sacrifiant le look et sur certaines pièces un peu radicales, une 2.5 16 « tout court » vous coûtera entre 20 et 35.000 €. Par contre n’oubliez pas non plus que les Mercedes 190E 2.5 16 Evo II, encore plus puissante, plus radicale et plus recherchée, coûte entre 170 et 300.000 € !

Côté pièces : pour ce qui est de la Mercedes 190, ça va. Pour ce qui est de la 2.5 16, ça va encore. Pour ce qui est de l’Evo ça peut vite piquer ! Alors visez surtout les autos bien entretenue et parfaitement fonctionnelles.

Merci à Osenat et Loïc de nous avoir confié cette auto pour cet essai.
Merci à l‘aérodrome de Moret-Episy de nous avoir accueilli.

Fiche Technique de la Mercedes 190E 2.5 16 Evo
MécaniquePerformances
Architecture4 cylindres en ligneVmax225 km/h
Cylindrée2463 cm³0 à 100 km/h7,9 s
Soupapes16400m da15,4 s
Puissance Max204 ch à 6750 tr/min1000m da28,7 s
Couple Max240 Nm à 5000 trs/minPoids / Puissance7,5 kg/ch
Boîte de vitesse5 rapports manuelle

TransmissionPropulsion
ChâssisConso Mixte10,1
Position MoteurLongitudinal avantConso Sportive16,9
FreinageDisques Ventilés AV et pleins AR
Dimensions Lxlxh443 x 172 x 134 cmCote 202190.000 €
Poids1425 kgPrix neuf
± 353.500 francs

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

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