Au volant d’une Citroën CX GTi, un tapis volant… vraiment vite !

Publié le par Benjamin

Au volant d’une Citroën CX GTi, un tapis volant… vraiment vite !

Au milieu d’une tournée d’essai dont on vous a déjà présenté l’Alfetta, la Ford A ou la Panhard CD je trouvais que ça manquait un peu de jeunesse. Alors quand Sebastien m’a proposé l’essai de sa Citroën CX GTi, j’ai tout de suite dit oui. Je voulais vraiment apporter de la diversité et je ne croyais pas que j’allais sortir de l’auto dans un tel état.

La Citroën CX GTi en bref

La Citroën CX apparaît en 1974. La version GTi sort avec un moteur 2347 cm³ en 1977 avec la première injection de la gamme. Elle se dotera ensuite d’un moteur 2500 cm³ en 1983 et même d’une version Turbo en Octobre 1984.

Oui, c’est rapide, mais pour vous refaire toute l’histoire de la Citroën CX :

Notre Citroën CX GTI du jour

Voilà donc notre belle du jour. Belle, c’est à vous de juger. Certains trouveront que le dessin de Robert Opron était trop classique. Et qu’il n’était pas assez novateur pour bien succéder à la mythique DS. Mais il ne faut pas oublier que la CX a été dessinée pour être belle, évidemment, mais surtout pour avoir une aérodynamique qui servirait ses performances. Ce n’est pas pour rien qu’elle s’appelle CX tout de même !

On retrouve donc une carrosserie bicorps, en coin. L’avant est pointu et bas. Surtout quand l’auto est en position… basse (ce qui n’est pas le cas sur ces photos). La calandre affleurante est apparue avec la série 2 en 1985, en même temps que les pare-chocs en plastique remplaçaient les désuets (mais tellement jolis) chromes originels. Tant qu’on regarde l’avant on remarque aussi l’essuie-glace, le seul essuie-glace, une concession faite à l’aérodynamique encore une fois.

À l’arrière on retrouve le fameux Kamm Back, un arrière tronqué particulièrement utile pour l’aérodynamique. C’est également la raison pour laquelle on trouve un becquet en bas de la lunette arrière dont la forme est particulière puisqu’elle est concave. On remarque tout de suite que l’arrière est long. C’est bien pour le coffre… sauf que la Citroën CX n’a jamais reçu de hayon ! Oui vous avez bien lu, c’est un coffre, particulièrement peu pratique en position basse qui permet d’y accéder. Ça lui sera d’ailleurs souvent reproché mais même la phase 2 n’y passera pas (contrairement à la GSA dont le hayon était la principale nouveauté). On remarque aussi la voie, plus étroite de 15 cm que celle de l’avant !

Côté détail, la Citroën CX GTi ne sera pas notre meilleure cliente. Au mieux on pourra noter le seul rétroviseur gauche, le dessin des poignées de porte ou le monogramme. On notera aussi les ailes élargies, généralisées sur les CX quand les pneus TRX (qui équipent notre auto du jour) se sont invités sur certaines autos de la gamme. Ah, si, l’autocollant bien cuit qui est toujours sur la lunette arrière nous renseigne sur son passé, l’auto faisait alors partie du Corps Diplomatique.

À l’intérieur : futuriste

Si l’extérieur de la Citroën CX GTi n’est pas aussi futuriste qu’espéré par certains, l’intérieur est différent. La série 2 a bien modifié les choses. Néanmoins elle n’a que restylé le principal point de ce côte futuriste : les lunules. Contrairement à beaucoup d’autos, la Citroën CX n’a pas de commodos. Mais pour garantir l’ergonomie elle n’a pas pour autant repoussé toutes les commandes au centre. Ce sont donc ces lunules qui les regroupent, de part et d’autre du volant et encerclant l’instrumentation. Ça permet de tout regrouper sous la casquette, et donne un côté vaisseau spatial à la voiture.

Le levier de vitesse est « au plancher » sur la CX. La simplification de la boîte l’y a transféré et pour une auto à tendance sportive, comme la CX GTi, on ne va pas s’en plaindre, loin de là. Devant lui la planche de bord monte en pente douce. Les trois rangements que l’on voit au dessus des aérations devraient être cachés mais comme sur bien des CX, leurs caches n’ont pas résisté au temps. Derrière le levier on retrouve l’autoradio, comme sur la SM, et qui a du coup l’avantage d’être presque accessible aux passagers de l’arrière (faudra bien tendre le bras).

Pourquoi tendre le bras ? Car même sans être dans une Prestige ou une Limousine, les versions rallongées de la gamme CX, on a beaucoup de place à l’arrière. Vous n’aurez aucun problème pour emmener toute la famille en vacance, même si les enfants sont grands.

Sous le capot : au chausse-pied

En ouvrant le capot, on se dit que l’on est plus dans les années 50 où on pouvait encore y mettre les mains. Bon, soyons honnête, c’est aussi parce que la roue de secours y loge. Mais la taille du compartiment moteur est un autre souci rencontré par l’auto. Conçu pour abriter un compact trirotor, il recevra finalement un moteur dérivé de celui de la DS ! Et n’aura jamais l’occasion de recevoir un 6 cylindre par manque de place.

Le 4 cylindres de 2500 cm³ qui loge sous le capot de la CX GTi prend quand même pas mal de place. On remarquera d’ailleurs qu’il est implanté très en avant et incliné pour ne pas être trop haut. Avec 140 ch ce gros moteur est donc alimenté par une injection. À noter qu’il est là en position transversale avec une boite 5 accolée qui entraîne bien évidemment les roues avant, on est chez Citroën ma bonne dame !

Au volant de la Citroën CX GTi, sport insoupçonné

La voiture est déjà chaude et en position haute. Facile donc de me mettre au volant. Ce volant pas trop grand ni trop petit est bien en face et la position de conduite se règle bien. Je teste comme à mon habitude l’enfoncement des pédales et je me rend compte du moelleux du siège. C’est sûr que ce ne sont pas des baquets qui m’accueillent.

D’abord je roule au pas, il s’agit d’aller laver la voiture et la petite zone commerciale me permet de me familiariser avec les commandes.

L’accélérateur répond bien mais je ne suis pas ici pour l’écraser. Le moteur est suffisamment coupleux (avec 2,5 litre pour 4 gamelles, le contraire eut été étonnant) pour que j’évolue sur un filet de gaz. Ensuite la direction. J’avais juste oublié la Diravi. Donc relâcher le volant quand la courbe s’élargit n’est vraiment pas une bonne idée. Je commence par une frayeur ! Et puis le frein. Alors, oui, la pédale de la CX GTi n’est pas un champignon de DS. Du coup on peut la doser. Mais j’avoue que pour mon premier stop j’ai été un peu franc sur l’attaque.

Dernier point, les clignotants. Le réflexe de base est de les chercher derrière le volant. leur maniement depuis le haut de la lunule de gauche est quand même un peu étrange mais on s’y fait super vite.

Bon, voiture lavée, la départementale devant moi s’annonce déserte et le panneau de sortie d’agglomération est dépassé. On va voir ce qu’elle a dans le ventre cette CX GTI. J’étais tranquillement à 50 en 4e mais je repasse la 3, histoire de voir ce qu’elle a dans le ventre. Tudieu de b**del de sa m**re ! Si la Citroën CX est la voiture de papy, le petit fils doit bien être content de lui emprunter pour coller son « A » derrière. L’aiguille du compte tour bondit, celle de la vitesse aussi. Tellement que je lève le pied bien avant d’approcher la zone rouge de la 4e.

En conduisant une ancienne, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. J’ai connu des autos de plus de 200ch au moteur jamais ouvert qui était molassonnes. Et à l’inverse, la Citroën CX GTi dont je n’attendais pas tant me montre que si les 137 poneys ne sont pas tous là, ils sont toujours nombreux et bien fringants ! La vitesse atteinte par notre routière aux chevrons est plutôt impressionnante. Je calme un peu alors qu’arrive un vrai-faux village avec un dos d’âne, vrai de vrai. La suspension me montre toute son efficacité. Je n’en avais pas parlé jusque là parce qu’elle ne m’avais pas franchement été utile.

Bon, le 70 c’est bien mais je vais me remettre à 50. Histoire de détaler encore une fois. Je n’aurais pas cru que j’allais autant m’amuser au volant de la Citroën CX GTI. Et même en ayant bien ralenti, je ne tarde pas à pouvoir lire le monogramme de la Dacia qui me devançait. De toute façon on rentre dans une nouvelle agglo pour le shooting.

Le moteur a à peine refroidi qu’on repart. Sauf que cette fois c’est sur une route plus étroite et moins fréquentée que je me retrouve. Le revêtement a été refait, c’est un billard. Aucune raison de me priver, j’écrase l’accélérateur jusqu’en 5e. Je ne vais pas vous dire à combien je suis à ce moment là parce que la route demande toute mon attention. Quelques virages se profilent et c’est l’occasion de confirmer que même à des vitesses qu’on qualifiera de « soutenues », le duo hydropneumatique-TRX fait plus que le job. La direction très directe (et presque trop à ce rythme) permet de placer parfaitement l’auto avec un sous-virage très léger et surtout en virant à plat.

Un petit village plus loin la qualité du revêtement s’est dégradé. Je ralentis… avant de me rendre compte que la CX GTi est précisément l’auto qu’il faut dans ce cas là. Les aiguilles des compteurs reprennent leur mouvement frénétique. La vitesse augmente, mais les raccords sont avalés sous les gommes de Clermont-Ferrand. La Citroën ne bouge pas d’un poil alors que je pense à Marc au volant de mon Scenic qui ne peut même pas envisager de suivre. La route s’est élargie et la Focus qui pensait être toute seule sur cette route de campagne se fait défriser au passage.

Je ne vais pas aller jusqu’à dire que la Citroën CX GTi est la seule à pouvoir faire ça. D’abord parce qu’il y a la version Turbo qui doit être encore plus diabolique. Mais ces deux là sont à part. Car mener une auto à grand train sur une route « oubliée » par la DDT dans un confort et une facilité telle, ce n’est pas donné à tout le monde. Dans une berlinette bien plus légère, ce n’aurait pas été de la simple conduite, mais du pilotage. Et il ne faut pas oublier qu’on peut le faire dans une auto de 4,66 m de long avec 4 personnes et des bagages à bord.

Bon allez. Il est temps de se calmer. Le stop sur lequel j’arrive permet de me rendre compte que j’ai fini par appréhender le freinage qui se fait énergiquement mais sans bloquer les ceintures de sécurité. La deux voies qu’on empreinte compte plus de radars que de voitures et les folies sont finies. J’en profite même pour laisser le volant. Histoire de prendre quelques photos et profiter du confort de l’arrière. Et c’est un vrai confort.

J’en profite pour discuter avec Sebastien de notre CX GTi du jour. Deux choses sont à évoquer : est-ce que c’est une auto légèrement préparée car destinée au corps diplomatique ? Elle marche tellement bien qu’il faudrait en essayer une autre pour avoir le cœur net. Et puis je n’ai pas eu le temps de me poser cette question. Mais la Citroën CX GTi a un gros moteur et de grosses performances. Et ça rime avec conso élevée. 10L, c’est la base. Il y a quelques minutes, on devait être bien au dessus.

Conclusion

Pas besoin d’être une trois porte pour mériter l’appelation GTi. Et pas besoin non plus de se casser le dos avec un tarage de suspension qui vous ferait talonner dans les Hunaudières non plus. La Citroën CX GTi c’est ma très bonne surprise de l’année.

Une voiture parfaite pour faire des bornes, à un train que les radars automatiquement auront tendance à brider, mais que l’auto supportera toujours. Facile à conduire, performante, confortable, pas très chère, franchement elle a tout pour plaire. Pas impossible que je me laisse séduire !

Points forts Points faibles
Le confort CitroënUne image de voiture à papy
Un moteur atmo à la rage insoupçonnéeLa consommation
Quatre vraies et grandes placesL’hydraulique a aussi ses défauts
CritèreNote
Budget Achat18/20
Entretien14/20
Fiabilité14/20
Qualité de fabrication14/20
Confort20/20
Polyvalence18/20
Image13/20
Plaisir de conduite20/20
Facilité de conduite18/20
Ergonomie16/20
Total16,5/20

Conduire une Citroën CX GTi

Pour ce qui est du prix d’achat d’une CX GTi il faudra séparer les différentes versions. D’abord séparer les CX 2400 GTi, d’avant 1983 des CX 25 GTi qui ont suivi. Cette première série se scinde encore en deux, avant et après 1980. Les premières seront plus chères, autour des 6000 € alors que celles d’après 1980 ont une meilleure protection contre la corrosion et coûteront 500 à 1000 € de moins.

Concernant les CX 25 GTi, la encore il faut scinder la production en deux parties. Les séries 1 d’avant 1985 et les séries 2 entre 1986 et 1989. Vous trouverez les premières aux alentours des 5000 € quand les secondes sont un poil plus chères.

Regardez donc bien la corrosion. Même sur les versions traitées par cataphorèses, d’après le millésime 1980, la rouille peut faire des ravages. La santé du moteur sera à surveiller, ces routières ont parfois beaucoup de kilomètres au compteur et l’entretien n’a pas forcément suivi le rythme. Ensuite vous regarderez bien du côté de la suspension. La réfection totale d’un circuit hydropneumatique peut vite chiffrer. Dernier point : pensez vraiment à votre budget essence avant d’acheter une CX GTi. Ce 4 cylindre boit comme 6 ou 8 !

Merci à Sebastien de Formulting d’avoir remis en route (et ce n’était pas gagné) sa CX pour cet essai !

Fiche Technique de la Citroën CX GTi de 1987
Mécanique Performances
Architecture 4 Cylindres ligne Vmax 197 km/h
Cylindrée 2500 cm³ 0 à 100 km/h 10,5 s
Soupapes 8 400m da 17,1 s
Puissance Max 138 ch à 5000 tr/min 1000m da 31,9 s
Couple Max 211 Nm à 4000 tr/min Poids / Puissance 9,9 kg/ch
Boîte de vitesse 5 rapports manuelle

Transmission Traction
Châssis Conso Mixte 10,1 L/100 km
Position Moteur Transversale avantConso Sportive 20,1 L/100km
Freinage Disques ventilés AV et pleins Ar
Dimensions Lxlxh 467 x 177 x 136 cm Cote 2020 6.000 €
Poids 1370 kg Prix d’origine
±107.000 frs / ±27.000 € constants

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Vincent

    Les derniers mots au sujet de la conso n’ont pas lieu d’être. Une GTI atmo fait facilement entre 10 et 11 litres, une Turbo à peine plus. Et je sais de quoi je parle depuis que je roule avec ces voitures depuis au moins 25 ans en relevant systématiquement ma conso. Regardez les consos d’une voiture moderne de cylindrée équivalente…

    Quand au Break TD par exemple, ma dernière conso était de 6,4 litres, sans chercher à faire un record.

    Répondre · · 14 juillet 2020 à 11 h 21 min

    1. Benjamin

      Malgré tout, il faut dire ce qui est, c’est une conso élevée. D’accord elle est tout à fait correcte par rapport à la cylindrée, mais il n’empêche qu’il faut la prendre en compte et que des 6 cylindres des mêmes années sont plus frugaux.

      Répondre · · 14 juillet 2020 à 14 h 36 min

  2. Tipierre66

    Mon Papa avait une CX phase 2. Excellente voiture.
    Seul le rayon de braquage est dérangeant.
    Le rapport puissance/performance est normal :
    Voiture pas trop lourde, 211Nm de couple, avec des rapports de boîte qui n’étaient pas optimisés pour la consommation, mais pour les performances.
    Personnellement, j’ai eu une 405 STI phase 2, 2.0i 123cv, et niveau performances c’était top pour la puissance, je grattais énormément de voitures plus puissantes…(et 210 compteur sur le plat, 225 dans les faux plats…) Par contre la consommation oscillait entre 9 et 12 l/100 en adoptant un bon rythme…
    Qu’elles étaient bien les anciennes, elles en donnait beaucoup pour pas trop de puissance…
    Aujourd’hui on nous vend de la puissance avec des boîtes longues pour les consommations… Ou des boîtes auto 7/8/9 rapports pour conjuguer performances et consommation…
    Merci pour cet article

    Répondre · · 14 juillet 2020 à 20 h 41 min

  3. jybe075

    la 25 gti moteur à longue course boîte longue n était pas réputée gourmande on était à 7,4 l a 90 et moins de 10 à 120 normes Utac. L allumage est électronique intégral et il y a une coupure d injection à la décélération. Beaucoup moins d essence que la 2,4 l Carbu qui était vorace celle la. Après un mauvais réglage un capteur de température foireux suffit à faire consommer

    Répondre · · 30 avril 2021 à 22 h 46 min

    1. BERGEY

      Oui, tout à fait, j’ai une 25 GTI série 1, et j’avais une 25 RI série 2 (même moteur mais finition inférieure), sur mes grands trajets de vacances, en roulant normalement, je suis bien en dessous de 10 l (mon dernier voyage au portugal, 8,5 sur le trajet Porto/Poitiers (mais c’était l’été). Je ne fais pas moins avec mon Athéna en roulant semblablement. Bien sûr, en attaquant ça grimpe. J’adore ce moteur, très coupleux, et très économe pour le plaisir qu’il offre.

      Répondre · · 3 octobre 2022 à 11 h 39 min

  4. Jean-Noel PENVEN

    j’ai eu deux CX. Une 2400 pallas et une 2400 GTI. La différence entre les deux n’était pas flagrante à mon sens question vivacité. Ce sont de très bonnes routières, confortables, élégantes, mais au niveau du plaisir de conduite c’est fade, toujours à mon avis. Par contre attention à la rouille! deux bas de portières sur la première qui s’étaient transformés en gruyère. Bien vérifier que les trous d’évacuation d’eau ne sont pas bouchés.

    Répondre · · 11 juin 2021 à 12 h 31 min

  5. Salas

    J’ai eu une cx gti 2400, ma première voiture a mon nom, après avoir débuté sur la cx 2400 Pallas de mon père…
    Les années ont passées mais je me souviens toujours de son confort extraordinaire, les xmv6 et une 607 v6, qui on suivis étaient moins souples de suspension …
    Les mercedes W123 Et 124,ses concurrentes, étaient largement surclassées en comportement routier par temps dégradé …

    Pour moi la marque n’est plus ce qu’elle était ,un certain esprit s’est perdu, cette avance technologique a disparu .
    Helas.

    Répondre · · 12 novembre 2021 à 17 h 31 min

  6. François

    J’ai le plaisir de rouler avec ma CX 25 GTI, c’est tous les gènes de la marque qui se trouvent dans cette auto, du très bon, du bon, du bizarre, du surprenant, de l’agacant. Cette voiture ne laisse pas indifférent, pour moi c’est un régal de manger du kilomètre dans toutes les conditions dans un confort et une sécurité de haut niveau. Bien entretenue elle fiable, très fiable même et de i on l’a connait bien elle ne réserve aucune surprise désagréable. La série 2 résiste bien à la corrosion mais il faut rester vigilant. La conso n’a rien de monstrueux, elle se tient dans une fourchette de 8 à 10 litres en respectant les limitations sur route et autoroute, 10/11 en ville et 12/14 sur route avec le pied lourd. Le budget pneu par contre avec les TRX est un peu lourd. Une auto très attachante comme il n’en existe plus, quel plaisir a son volant.

    Répondre · · 4 juillet 2023 à 20 h 06 min

    1. Pascal MOVET

      Bonjour François,
      Combien vaut une CX 25 GTI série 2 de 1987 avec 170 000 kms Boite Auto dans un très belle aspect, à votre avis ?
      Merci d’avance.
      Cordialement.

      Répondre · · 8 septembre 2023 à 16 h 00 min

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