Rétromobile 2024 : Best-Of et Carnet de Notes

Publié le par Benjamin

Rétromobile 2024 : Best-Of et Carnet de Notes

Ça ne vous a pas échappé : l’équipe de News d’Anciennes était mobilisée sur le salon Parisien et vous l’a fait vivre de long en large, avec plusieurs articles et vidéos. Dernier retour sur place avec, justement, les voitures qui nous ont frappé sur Rétromobile 2024.

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Pierre : Le changement dans la continuité

Ma voiture de Rétromobile 2024

Je ne vais pas m’en cacher, j’ai eu peu de temps pour profiter du salon, même en étant là pendant 5 jours. De fait, j’ai raté une grosse partie des véhicules exposés, mais il y en a une qui m’a attiré l’œil, non pas par sa beauté (c’est un vrai laideron) mais par son originalité.

La Schuppan 962R est un engin pour le moins atypique, et pour cause, seules 2 voitures de route ont été produites, en plus d’un prototype de développement. Conçue à partir d’une Porsche 962, Vern Schuppan (ancien pilote australien) a proposé une voiture de route surpuissante, capable d’atteindre 370 km/h, en théorie.

Le résultat final, un prototype de Groupe C rhabillé avec des pièces Porsche issues des modèles de route, est… particulier. La ligne épurée de la base cède la place à une voiture au dessin un peu maladroit, mais cela reste un chapitre intéressant de l’histoire de l’automobile, et je reviendrai sur elle plus en profondeur dans quelques temps.

Les bons points

Des motos ! Plein de motos ! Je ne maîtrise absolument pas le sujet (et vous avez pu vous en apercevoir en direct), mais c’est un véritable plaisir de voir les deux roues obtenir un peu plus de place sur le salon. Les constructeurs ont joué le jeu, avec des très beaux stands (sauf Triumph, qui n’a présenté que sa gamme neuve), et l’exposition dédiée à la famille Monneret était tout simplement spectaculaire, avec en prime les œuvres réalisées sur place de Makoto Endo, absolument sublimes.

Du côté des constructeurs, MG a vraiment mis les petits plats dans les grands. Même si la marque est maintenant sous pavillon chinois, elle s’est organisée avec le British Motor Museum pour sortir certaines des plus belles pièces stockées Outre-Manche. En résumé, un centenaire célébré comme il se doit, et certains pourraient prendre des notes.

Enfin, je rejoins Benjamin sur le fait que la Fuego était un choix plus que pertinent pour venir habiller le stand News d’Anciennes.

Les mauvais élèves

Si vous avez suivi nos directs, vous savez sans doute par quoi je vais commencer. Après une année 2023 qui m’avait déjà déçu, en ratant complètement le coche des éléments à célébrer, Stellantis a carrément décidé de ne pas venir exposer à Rétromobile. Un comble pour le premier groupe automobile hexagonal ! Heureusement, les clubs ont fait leur possible pour donner un peu de visibilité au Lion et aux Chevrons…

Je vais également me permettre un petit taquet envers certains négociants présents dans le hall 1. Je pensais que le principe d’un vendeur était de faire du commerce, pas de savoir qui parmi eux a la plus grosse (collection bien évidemment, bande de coquins !)

Paul : Un régal

Ma voiture de Rétromobile 2024 : l’Aston Martin DB3S

Choisir une voiture coup de cœur sur un salon tel que Rétromobile n’est pas une mince à faire. Mais mon choix c’est porter sur une Aston Martin DB3S présente sur le stand de Kidston (encore, oui) dans un état exceptionnel.

Pourquoi celle-ci? Peut-être parce que les lignes dans Aston Martin de cette époque ne me laissent pas indifférent, mais surtout parce que cette Aston Martin est l’une des rares dans cette couleur grise. Autre détail qui rend l’histoire de cette voiture encore plus intéressante, cette auto a été vendue neuve au commando WW2 Special Boats Services S.M. Harroks.

Les bons points

Cette année encore, le salon Rétromobile nous a offert un spectacle rare de par la diversité des véhicules présents, mais mon bon point reviendrait en particulier à la zone moto. Il est rare de voir sur des grands salons un espace dédié aux deux roues, ce qui selon moi est plus que dommage car c’est véhicules aussi fait partie de l’histoire.

De plus, la participation des constructeurs sur cette zone moto a été un vrai plus surtout lorsque c’est dernier exposé des motos d’exception. Il ne reste plus qu’à espérer que l’année prochaine les deux roues trouvent à nouveau leur place sur ce salon.

Bon point aussi pour un constructeur dont on entend peu parler quand on parle de voitures anciennes. Skoda était à Rétromobile 2024 avec un beau stand et, surtout, des voitures intéressantes quand on connaît peu le passé, notamment d’avant-guerre, du constructeur. De « superbes » autos.

Bertrand : la fabuleuse boite à bijoux 

LA voiture de Rétromobile 2024 :

La reine de cette « Paris carweek 2024 » (je vais plus loin que le salon, ayant pu voir les expositions de RM Sotheby’s et Bonhams en plus), pour moi et quelques autres, est non seulement française, encore que, mais tout aussi mythique.

Je veux parler de la Bugatti Atlantic Type 57 SC, surtout que cette voiture possède une histoire assez surprenante. Cette 57 a été accidentée sur un passage à niveau, ses occupants morts, la SNCF garda la voiture pendant 10 ans. La Bugatti a été entièrement reconstruite après. Des cinq modèles d’Atlantic qui sont sortis, il n’en reste que quatre aujourd’hui. La cinquième serait stockée avec la Traction 22, en région parisienne, mais chut hein ! 

Les bons points :

Difficile de vraiment faire ressortir une chose en particulier. Alors trois bons points pour moi.

Cette édition 2024 sonnait comme une renaissance, au plus haut des niveaux du salon Parisien. Dans mon article sur les Trésors des vendeurs, juste ici, j’ai déjà pas mal parlé de belles autos. Mais cette fois, je parlerais du stand Skoda qui nous exposait non seulement de belles voitures, mais même assez rares. On prend au passage sa relation avec Hispano-Suiza. Chose que je ne savais pas. Niveau beauté et rareté, les copains de Renault Classic avaient sorti l’artillerie lourde avec le diorama sur les voitures des records et l’avion Rafale, un Renault-Caudron du plus bel effet.

Que dire sur les stars de ce Retromobile 2024, tant elles étaient nombreuses. Comme les deux Ferrari 250 GTO, ou celles exposées sur le stand de Richard Mille. Ceci dit, les courbes de la 300 SL W194 ne m’ont pas laissé indifférent. Quelle bonne idée de la part de Mercedes de l’avoir exposée pour illustrer ses 70 printemps, âge qu’elle ne fait pas d’ailleurs.

Je suis français, donc chauvin, c’est donc sûr des bonnes choses françaises que mon cœur s’est porté. Je ne pouvais pas rater les 100 ans de mon anneau préféré. L’exposition pour le centenaire de Montlhéry était particulièrement bien menée. Avec comme sujet, les autos des records. On a hâte de voir ça en octobre prochain.

Plus près de nous dans le calendrier, c’est le Vintage Revival Montlhéry qui viendra nous régaler de ses autos et motos, chargé à lui d’inaugurer ce centenaire. Pour voir et surtout entendre tous ces avant-guerre rendez-vous les 11 et 12 mai prochains. Son exposition mettait grave l’eau à la bouche !

Dorian : Une belle édition

Beaucoup de belles autos, de belles expositions thématiques, des invités de marques, voilà ce qui résume cette édition 2024 de Rétromobile. Difficile alors de choisir une voiture ou un stand le plus marquant tant il y a de choix.

Triple coup de cœur à 4 roues :

En tant qu’amateur de l’épreuve mancelle, ce sont les 2 autos et le camion de l’écurie Ecosse qui ont retenu mon attention. Cette écurie privée crée par David Murray en 1951 a notamment réussi à gagné les 24H du Mans en 1956 et 1957 sur Jaguar Type D. L’auto mis en vente par Fiskens n’est pas le chassis vainqueur mais un des châssis sœur qui a tout de même terminé à la seconde place lors de l’édition de 1957 ! La jaguar type C n’a quand à elle jamais participé à l’épreuve mancelle mais le modèle à remporté les éditions 1951 et 1953. Le camion, un Cosmer TS3 de 1960 a été commandé sur mesure par l’écurie.

Les bons points :

Je ne vais pas très loin… puisque je reste chez Fiskens ! Le marchand proposait d’autres modèles ayant été aperçus au Mans comme une Porsche 911 GT1, Alfa Romeo Tipo 33 TT 3, Peugeot 908, Aston Martin DBR9, Porsche 908/2 et Lola MKIII. Des autos superbes, de toutes les époques. Une vraie thématique en fait !

Du négatif ?

Un tout petit peu en effet… mais les organisateurs n’y sont pour rien. Pour moi on relevait la présence trop élevé de supercars/hypercars récentes sur les stands de maisons d’enchères et des marchands en général. Il était possible de croiser des stands où elles représentaient le quart voir la moitié des voitures. Personnellement lorsque je viens à Rétromobile je ne m’attends pas à voir ces autos qui ne rentre tous simplement pas dans le thème du salon.

Nico : Une belle variété d’autos, de motos et une journée gagnante

Mon auto préférée :

Direction l’exposition du Vintage Revival Montlhéry dans le Hall 3 de Rétromobile 2024. Une superbe expo à coup sûr et qui s’insère parfaitement dans le cadre du centenaire de l’autodrome… même si certaines des voitures et motos exposées ont dû attendre d’être anciennes pour y rouler, dans le cadre de l’événement.

En attendant de la voir en action au mois de mai, l’équipe du VRM exposait une impressionnante Hotchkiss qui, elle, a roulé à Montlhéry. C’était en 1935 et elle a battu des records sur 12, 24 et 48 Heures. Même si l’originale a été détruite, on a hâte de retrouver celle-ci en piste ! Mon coup de cœur, mais aussi celui de mon fils de 8 ans, impressionné par les dimensions de la voiture.

Ma moto préférée :

Je triche par rapport à mes comparses (qui n’y connaissent pas grand chose), mais c’est pour vous parler de la Yamaha YZR 500 de Christian Sarron. J’aime la compétition dont les Grands Prix moto et j’aime également la mécanique (déformation professionnel). Cette Yamaha aura marqué un tournant dans l’histoire des Grands Prix justement, car elle est la première moto à avoir intégré la télémétrie embarquée. Cela a permis aux ingénieurs de récolter une quantité de données permettant d’améliorer la mise au point du moteur, de la suspension et du freinage.

Les bons points :

Personnellement j’ai pris un grand plaisir à pouvoir observer pas mal d’autos différentes. En effet, certaines années il y’avait de la redondance. Pour cette édition, il y’avait la qualité et la variété. D’ailleurs en parlant de variété, plusieurs stands moto étaient présents et offraient également pas mal de modèles. Pour vous dire, le Salon Moto Légende qui se tenait du 24 au 26 novembre dernier faisait limite pale figure à côté (un comble).

Après la folie en nombre de visiteur sur les journées du vendredi et samedi, de ce qu’on m’a dit, il m’était impossible d’y aller un autre jour que le dimanche à ma plus grande frayeur. Malgré tout, il m’était inconcevable de ne pas y faire un tour non plus. J’ai eu la chance de découvrir un salon bien plus fréquentable que les dimanches des précédentes éditions. Attention, c’était loin d’être vide quand même.

Il était plaisant de retrouver quelques véhicules exposés sur le parvis avant la file d’attente de l’entrée. Cette petite nouveauté, même si le ciel était bien gris, égayait la journée. C’étaient majoritairement des autos Française et Allemande que nous y retrouvions. Quelques Américaines s’étaient glissées au milieu.

Autre très belle surprise, qui vaut une mention très spécial, c’était l’exposition du centenaire de l’Autodrome de Linas-Montlhéry en partenariat avec ce dernier. Plusieurs véhicules ayant établis des records étaient exposés, mais aussi quelques modèles ayant couru lorsque le circuit était encore homologué pour les compétitions… un vrai bonheur ce stand.

Petite déception :

Le Dakar ayant une place chère dans mon cœur, j’ai éprouvé une certaine déception en découvrant le peu de véhicules proposés alors que le salon annonçait une mise en avant de cette épreuve. Il y’avait tout de même la très célèbre Peugeot 405 T16 de Vata, mais ce n’est pas suffisant.

Thibaut : sacrée découverte

Grande première pour moi que ce Rétromobile 2024 alors je ne vous ferai pas l’affront de vous dire que c’était mieux ou moins bien que l’année dernière… je n’en sais rien. Par contre, comme mes petits camarades, je peux me fendre d’un tour d’horizon façon conseil de classe.

LA VOITURE : une « toute pas propre » dans ce temple des carrosseries rutilantes

Je n’ai pas hésité une seule seconde. Et je n’avais déjà pas hésité dans mon papier sur les clubs. Non, elle n’était pas la plus brillante de ce Rétromobile 2024. Non, elle n’était pas la plus propre non plus. Non, elle n’était sûrement pas la plus désirable. Mais cette Salmson GS8, j’en suis tombé amoureux.

Déjà, parce que l’histoire de cet exemplaire est folle, parce que son palmarès laisse rêveur, parce qu’elle est une sorte de chat et n’aborde que sa 2 ou 3ème vie. Mais surtout parce qu’elle était vivante, et profondément vivante : le moteur maculé d’huile, la peinture ternie, les ailes impactées… on croirait pour peu que son propriétaire était en rallye le dernier et qu’il est venu par la route à l’arrache armé d’un fameux « j’la laverais plus tard » souvent long comme un jour sans pain. Elle avait un truc de viscéralement authentique cette belle d’avant-guerre, je ne pouvais pas passer à côté…

Les bons points :

Mention spéciale pour l’espace Renaut… lequel n’a rien à voir avec le Renault Espace, je vous vois venir. Sans mentir, je crois pouvoir dire que j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce stand.

Pourquoi ? Parce que tout y était et que tout y était réussi. Depuis la mise en scène, léchée au possible, de ce cercle d’autos façon roue du temps jusqu’au Caudron qui les surplombe et semble prêt à décoller, jusqu’au choix des autos qui amène le visiteur à découvrir en un temps record quelques grands moments de l’histoire de la Régie (et d’avant la Régie)… eh bien bravo aux équipes de Renault Classic (même si on dit The Originals – La Collection, vous m’avez compris).

Dans la même veine, j’admets avoir été conquis par la rétrospective MG : une MGB, probablement l’un des modèles les plus populaires de la marque, coupée en deux vous ouvre les portes de la collection, laquelle trouve ses navires amiraux dans les MG des records. Sympathique centenaire qui aurait juste mérité d’être un poil plus didactique pour les visiteurs les moins avertis. Maigre reproche, on en conviendra…

Des mauvais points ? Des encouragements !

Je ne me résous pas à les qualifier de mauvais points, car ceux auxquels je pense ne relèvent que du chipotage, que d’un excès de gourmandise.

D’abord sur l’espace Dakar. Autant la présence de l’AUDI moderne ne me pose pas de problème (comment voulez-vous présenter l’histoire d’un évènement si vous décidez d’occulter qu’il se poursuit ?), autant le manque de « mouvement » s’est fait sentir… dans ce couloir de passage, on la franchit la collection (plutôt fournie et diversifiée d’ailleurs) plus qu’on ne le découvre, elle manquait de cette émulsion que l’on retrouve dans les pavillons, de ce brin de vie que proposent les exposants. Il fallait donc s’y trouver au moment où le « plateau » prenait vie pour redonner des couleurs à cette incroyable série de modèles pourtant tout à fait incroyables !

Ensuite, et plus généralement, sur ce que je notais pour l’espace MG. N’oublions pas que si une belle part de visiteurs sont de véritables techniciens, la majorité des passionnés n’est pas une RTA sur patte et ne saurait donc se satisfaire d’un encart avec le nom et l’année du modèle présenté. Quelques éléments de contexte / d’histoire sont parfois nécessaires. Entendons-nous bien, j’ai conscience de la difficulté de l’exercice et à quel point le curseur doit être difficile à positionner, ce n’est donc pas un reproche en soi (et Google étant notre meilleur ami, un coup d’internet permet de donner sens à ce que l’on voit, la technologie, ça a parfois du bon).

Benjamin : qualité en hausse

Ma voiture de Rétromobile 2024

Difficile de choisir même si j’avoue que la Bugatti aurait pu remporter mes faveurs si Bertrand n’en avait pas déjà parlé.

Du coup ma préférence est en forme d’hommage et d’espoir. C’était superbe de voir cette McLaren F1 GTR sur l’exposition du centenaire de l’Autodrome. Déjà, une McLaren F1, c’est super. Et puis celle-ci est particulière puisque c’est l’une des Art Car pilotées par Hervé Poulain aux 24 du Mans. Cette voiture qui termina 13e en 1995 revêt une déco signée… César ! Une vraie pépite en soi, qui rappelle que la course, sur l’autodrome, a continué jusque dans les années 90, avec la série BPR notamment.

Côté espoir, il est simple : celui de voir cette auto rouler de nouveau sur la piste lors l’événement du centenaire de l’Autodrome organisé par l’UTAC les 12 et 13 Octobre prochain. Évidemment on y sera !

Les bon points :

Plusieurs bon points pour des stands diamétralement opposés dans leur contenu.

D’abord pour notre stand News d’Anciennes et Ticket for Road. Notre pari était le bon. Dès Epoqu’Auto nous avions choisi de présenter une Renault Fuego sur le salon Rétromobile. Même avec nos voisins présentant une R5 Turbo puis deux berlinettes Alpine, on a été visibles. La seule Fuego de Rétromobile, on l’annonçait depuis quelques semaines et ça s’est confirmé. L’affluence sur le stand a prouvé qu’on a pas eu tort de présenter cette auto mal-aimée et vue comme ringarde, mais c’est une vraie populaire qui rappelle des souvenirs.

D’ailleurs vous pouvez toujours la gagner, jusqu’au 14 Février et ça se passe par ici.

Je passe ensuite sur un stand que j’ai souvent mis en avant… en parlant de la Fuego avec des phrases du genre « Amener trois Pegaso à Rétromobile, t’es même pas sûr qu’il n’y en aura pas d’autres sur le salon, une Fuego, c’est quasi sûr ! » Néanmoins, il faut bien admettre que nos partenaires de chez Aguttes ont fait fort en amenant trois Pegaso sur le salon. La marque espagnole méconnue a certainement eu plus de regards en un salon que lors des dernières années avec quelques autos dans quelques musées. Le reste du stand était lui aussi superbe et j’avoue que la Porsche 910 était remarquable, tout comme la Pescara.

Enfin un bon point pour le stand qui regroupait le plus de voitures essayées par News d’Anciennes ! Sur les 11 autos du stand, 6 nous sont passées entre les mains ! Je veux parler du stand Osenat qui exposait ses Chefs d’Œuvre de l’Automobile Française plus deux Alfa Romeo. Les résultats et les détails de nos essais sont à retrouver dans cet article.

Le carnet de notes

MatièreNoteAppréciation
Expos Thématiques16MG et Autodrome au top, plus de véhicules du Dakar auraient été bienvenus
Trésors présents19Un hall 1 absolument fou… Deux 250 GTO quand même !
Clubs15Bel effort des clubs, présents en nombre avec quelques absents
Pièces12L’offre remonte mais on pourrait faire encore mieux en nombre
Affluence et ambiance18Affluence énorme, les Vendredi et Samedi ont été fous. L’ambiance était excellente

Voilà, c’est terminé pour Rétromobile 2024. Vous voulez encore replonger dans le salon ? Tous nos articles sont donc visibles en cliquant sur la bannière ci-dessous… et si vous voulez revivre le tout en vidéo, gardez 1h25 dans votre emploi du temps et visionnez celle qui suit !

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Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Jean-Christophe

    Vous avez fait un travail difficile et vous avez réussi. Ce n’est pas si simple d’écrire autant d’articles variés et intéressants sur un événement finalement assez court.

    D’accord avec le fait que beaucoup trop de voitures récentes étaient exposées. On vient pour voir des voitures anciennes devenues des jalons de l’histoire et non des supercars (inutilisables sur nos routes finalement) et qui restent pour l’instant des voitures d’occasion…

    Oui, une petite information sur l’histoire et la genèse des modèles présentés serait bienvenue pour le public.

    Enfin, les Pegaso qui vont être présentées aux enchères végètent depuis des mois dans les petites annonces internet… Ça donnera peut-être une visibilité accrue à cette marque fantastique et méconnue. Une magnifique rétrospective Pegaso a eu lieu à Rétromobile en 2014.
    Le cabriolet Saoutchick châssis 0102-153-0134 est superbe.

    Répondre · · 14 février 2024 à 16 h 37 min

  2. LoloBdx

    Un très beau salon, juste un peu trop de voitures « récentes « , mais pleins de pépites pour tous les goûts !
    Cette année Ferrari, Mercedes en avant ( jamais vu autant de 300SL en même temps ! )
    Une belle édition.

    Laurent

    Répondre · · 19 février 2024 à 13 h 28 min

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