Au volant de la BMW 323i E21, un petit goût de reviens-y

Publié le par Valentine

Au volant de la BMW 323i E21, un petit goût de reviens-y

La BMW 323i, génération E21, je connais. Dire que cet essai va être une totale découverte, ce serait faux. J’en ai mangé et remangé comme ce plat de votre grand-mère que vous avalez jusqu’à défier les limites de votre estomac. Mais il faut apporter une précision. J’ai passé des centaines, certainement des milliers de kilomètres à bord d’une BMW 323i… mais sur le siège passager. Il y a des choses que certains ont du mal à prêter et, concernant mon papa, le volant de sa BM d’amour n’a jamais été entre les mains de sa fille d’amour. C’est donc aujourd’hui l’occasion de goûter, vraiment, à cette Série 3 E21 plus énervée que les autres.

Notre BMW 323i en détail

La E21 que j’ai entre les mains se montre à nous dans une robe grise. Enfin, pas vraiment. Sous certains angles et avec certaines lumières on pourra la trouver grise, mais aussi verte ou bleue et c’est normal puisqu’elle est Saphir Blau. Elle nous offre donc des reflets différents selon l’humeur du soleil. Cette dernière est une 323i, c’est donc la plus puissante version de la toute première série 3 de BMW.

La carrosserie de la 323i est à première vue assez banale. C’est une voiture des années 80, elle est très carrée et anguleuse, comme toute celles que l’on croise sur les routes à l’époque. Mais notre BMW a sa signature personnelle : le fameux « shark nose ». Cette calandre enfoncée et son capot en pointe lui donnent une ligne reconnaissable entre toutes. Ce design ne vient pas de nul part, il est un héritage de la E12, qui est le code associé à sa grande soeur la série 5 mais aussi de la E10.

BMW 323i E21

Il faut rappeler que la E21 est produite pour s’inscrire dans la continuité de la série 02 chez BMW. La firme bavaroise a pour objectif à l’époque de créer une voiture à la fois familiale et routière, tout en gardant une certaine sportivité et surtout un gabarit compact. Notre 323i parait donc très menue, même si elle ne l’est pas forcément puisqu’elle fait tout de même 4.35m.

Dans son allure d’origine, elle se veut discrète. Le tout petit spoiler noir accentue le côté pointu de l’avant de la voiture. Il est bien loin des plus grosses jupes qu’on pouvait voir sur ce modèle comme les spoilers Alpina ou encore BBS.

La 323i possède sur sa calandre 2 paires de feux, une de plus que sur les modèles 4 cylindres. Personnellement, je trouve que c’est aussi ça qui fait son identité bavaroise. Quand on voit 4 feux bien ronds dans le rétroviseur, on reconnait vite que c’est une BMW. Enfin, ça c’est quand on les voit encore.

J’aime bien l’admirer de profil. Notre auto du jour est une berline coupée. Elle a 3 portes, et 4 places. Et ce coupé amène une ligne à la fois équilibrée et dynamique. L’arrière retombe et la malle de coffre est courte. A nouveau, la ligne est très classique, mais c’est comme ce pantalon parfaitement coupé que vous mettez tout le temps. Basique, mais rien ne vous va mieux finalement. C’est un peu ça l’esprit BMW, sobre mais classe.

A l’intérieur

Passons au style intérieur de la E21. Celui de notre 323i est très basique. Elle dispose d’un intérieur beige en velours et en tissus. Ce n’est pas la version la plus glamour et j’ai personnellement une mauvaise image des intérieur beige. Ca vieillit fortement l’atmosphère de la 323 qui n’est pourtant pas si ancienne.

Toutefois, si son style a vieilli, la qualité de finition de la E21 est très convenable. Elle n’est pas remplie de plastique noir de mauvaise qualité comme pléthore de modèles des années 80, et c’est déjà un très bon point. Ce n’est ni très luxueux, ni cheap. Fraichement restaurée, on le rappelle, notre 323i à l’air d’être presque neuve. Vous savez d’ailleurs ce qu’elle a de commun avec son aïeule la 2002 ? Son odeur !

Sinon, l’aspect général de l’intérieur de la voiture a pour mot d’ordre la sobriété. Le tableau de bord rejoint un peu la ligne de l’extérieur puisque tout est très anguleux. On retrouve alors l’un des atout qui fut mis en place pour la première fois chez BMW dans la E21 : le tableau de bord incliné en direction du conducteur. On peut ainsi avoir tout à portée de main aisément.

Pour ce qui est des compteurs, là encore tout est très sobre et épuré. Niveau d’essence à gauche, température à droit. Ce qui est amusant, c’est les couleurs dans le compte tours. On a déjà vu les zones rouges au rupteur sur un tas d’autres voitures mais la E21 a aussi une zone verte. Ca fait presque auto-école !

Sous le capot

Voyons voir ce qu’il se passe en dessous de ce capot pointu. On le bascule, vers l’avant, et on se retrouve face à face avec le fameux M20B23. Pourquoi « fameux » me direz-vous ? Eh bien parce que celui-ci est le plus recherché de la gamme E21. C’est surtout le plus puissant. Il est, avec celui de la 320/6, le moteur qui introduit le 6 cylindre au sein de la gamme série 3. Pour la première fois, le 6 cylindre n’est plus dédié uniquement aux voitures de luxe de chez BMW. Grâce à cela, la série 3 prend en grade et devient plus sportive, plus souple et surtout un peu plus prestigieuse.

Sur News d’Anciennes, on avait déjà essayé plusieurs E21 mais nous n’avions pas encore eu la chance d’avoir le « graal » de la famille. La plaie, c’est l’apprentie qui s’y colle…

Au cœur de cette 323i se cachent donc 143ch. Ce n’est pas grand chose au premier abord mais rappelons que la 323i fait à peine plus d’une tonne, et cela reste une voiture aussi à destination des familles. Le M20B23 est un 6 cylindres en ligne de 2315cm³ à 12 soupapes. C’est un moteur à injection Bosch. En comparaison avec les premiers moteurs de la E21, ce dernier est plutôt moderne à l’époque.

Sous le capot de notre auto en particulier, on retrouve une baie moteur dans laquelle on pourrait pique-niquer tant tout est propre. La voiture n’a fait que 5000km depuis sa restauration complète.

Le comportement sportif de la 323i n’est pas principalement du à son moteur. La notre fait partie des dernières phase 1, ce qui fait qu’elle est équipée d’un autobloquant. Pour beaucoup, c’est indispensable sur cette auto pour permettre une conduite sportive.

Le châssis de la 323i est adapté à cette nouvelle puissance par de nouveaux réglages de suspensions et d’amortissement. Le rapport de pont a également été augmenté par rapport aux autres versions, pour que le moteur tourne moins vite à vitesse égale. Cela permettait une économie de carburant ! La 323i était donc plus sportive oui, mais elle était aussi plus pratique au quotidien. Va falloir aller vérifier tout ça !

Au volant de la 323i : danseuse ballerine

C’est bien beau de l’admirer mais on est surtout là pour la conduire cette 323. Je m’installe donc dans ce fameux intérieur beige, dont j’oublie très vite l’aspect quand je prends le volant en main. Je retrouve bien la position de conduite propre aux voitures bavaroises : assis bien bas tout en gardant une très bonne visibilité. Même à bord, la voiture me parait menue.

On entame notre balade en ville, et la E21 m’emmène très facilement dans la circulation. Sa direction va avec son gabarit : elle est très fluide même si elle n’est pas assistée. Pour tourner, mes gestes ne sont pas brusques parce que la 323i se place aisément où l’on veut. Elle se faufile volontiers dans les toutes petites rues que l’on emprunte. D’ailleurs, c’est aux alentours de Lamorlaye, en région parisienne, que je suis venue rencontrer cette BMW. Comme on est encore à un rythme de balade, j’ai le temps de regarder un peu le paysage et le coin est plutôt joli.

Ma vision est sûrement biaisée, mais je trouve que c’est une voiture qui a la classe. J’avoue j’aimais aussi bien regarder le reflet de son profil dans les vitrines des magasins et restaurants que l’on a croisés. Elle me va bien.

La première impression qui me vient c’est la légèreté. En conduite normale, elle est très maniable et donne assez vite une impression de facilité. Pour moi, c’est ce qui fait d’elle une auto attachante. Elle n’est pas fatigante à conduire, juste agréable. Le moteur quant à lui perfectionne quelque peu cette impression par sa souplesse. A petites vitesses, il est doux et coupleux. C’est un 6 en ligne quoi. Encore une fois cela fait de la 323i une voiture agréable même dans la circulation et en conduite citadine.

Quand on accélère le rythme, c’est une autre histoire. Après une petite série de virages sur une jolie route dégagée, je profite d’une ligne droite pour mettre le pied au plancher une bonne fois pour toute. Le moteur répond bien, mais avec 143ch, mon passager et moi-même ne sommes évidemment pas collés au siège. Par contre, la reprise est assez intéressante pour pouvoir rouler avec du rythme. Les chiffres ne font pas tout et le M20B23 est suffisant pour être sportif.

D’autant que le moteur n’est qu’une partie du lot, et cette BMW se démarque aussi par ses autres atouts. Déjà, la 323i est bien évidemment une propulsion. Une vraie propulsion à l’ancienne, c’est-à-dire qu’elle tient la route mais si vous la poussez trop dans ses retranchements il ne faudra pas dire qu’elle ne vous a pas prévenu. En fait, l’impression de facilité et de légèreté de cette voiture est assez grisante mais en courbe serrée, elle est très vite survireuse.

La BMW 323i E21 est une voiture que je connais bien. A défaut d’en avoir essayé une jusqu’ici, j’ai passé énormément de temps sur le siège passager de celle de mon père. Nous étions justement sortis une fois sous la pluie, et cette dernière était équipée de pneus parfaitement en fin de vie. Je vous laisse imaginer le tableau mais je me suis mangée la vitre une ou deux fois. Comme toute propulsion qui se respecte, elle ne pardonne pas grand chose quand la météo se gâte.

Heureusement pour moi, il faisait un grand soleil lorsque j’ai essayé notre 323i. D’ailleurs, celle-ci est équipée de l’option tant convoitée qu’est l’autobloquant, et ça se sent ! Malgré son côté joueur, elle tient bien la route.

En arrivant vite avant un virage, pied sur le frein, elle freine en se plaçant bien avant de prendre la courbe. Elle adhère bien et l’autobloquant joue bien de sa magie. Les freins à disques ventilés à l’avant et disque pleins à l’arrière font bien leur boulot. Cela fait d’ailleurs partie des améliorations notables de la E21 par rapport à sa devancière la 02.

C’est vraiment comme une chorégraphie que de conduire cette allemande. Ma partenaire de danse est d’ailleurs bien accordée sur le tempo. Si son comportement est aussi sain, c’est aussi parce qu’elle sort d’une restauration complète. Toutefois, mieux vaut ne pas faire trop de faux pas car cette dernière ne l’apprécierait pas. Personnellement je reste sage.

Pour accompagner la valse, le ronronnement du 6 en ligne est discret mais agréable. Il a je trouve ce côté un peu métallique mais feutré de tous les 6 en ligne BMW.

Le slogan « plaisir de conduire » prend tout son sens avec la 323i E21. Elle n’est certainement pas la plus performante, surtout quand on la compare à ses petite soeur la E30, mais elle est très attachante. L’image d’une ballerine lui va à ravir : elle danse avec grâce. Je trouve personnellement qu’elle a le bon dosage entre comportement joueur et sensation de sécurité. C’est comme si vous preniez un plat que vous n’avez jamais tenté, mais dans votre restaurant préféré. Il y a un risque, mais il est vite effacé de votre esprit.

La sécurité c’était d’ailleurs l’atout marketing de cette auto. Quand elle a été lancée, la E21 était vendue comme une familiale compacte. Du coup, elle avait pour avantage d’avoir un comportement assez dynamique, tout en étant très innovante sur l’aspect sécurité. C’était la première à avoir le réservoir d’essence placé sous la banquette arrière par exemple.

Par contre, la 323i est plutôt raide à la longue. C’était le prix à payer pour plus de sportivité que n’ont pas forcément les versions moins puissantes. Je pense que sur de longs trajets le confort est bien plus limité à cause de ça.

Cela fait un petit moment que je roule maintenant et il va tout de même falloir la rendre. Du coup, je ralentis tranquillement et je retrouve le calme et la souplesse de l’auto. Je profite un peu des derniers instants à son bord avant de lui dire aurevoir.

Conclusion

La 323i E21 est une voiture incroyablement attachante. Elle est facile à conduire à un rythme de croisière mais se montre caractérielle lorsqu’on accélère la cadence. D’ailleurs, elle est très facile à prendre en main en général pour une voiture ancienne. Cela fait d’elle une auto très polyvalente, même si son confort reste moindre pour une berline.

Je vous assure qu’il m’est difficile de lui trouver des défauts. Son confort en est un, mais c’est sa raideur qui fait sa sportivité. Son manque de chevaux n’est pas vraiment un problème puisque le moteur est suffisamment souple et nerveux pour emmener ce petit poids plume. C’est une voiture qui fait sourire, dans laquelle on prend plaisir à conduire sur de longues distances qui passent plus ou moins vite.

La BMW 323i E21 que nous avons essayée est toutefois un cas assez rare. Comme c’est un modèle populaire dont la côte a sérieusement augmenté, il n’est pas évident de trouver un modèle dans un si bel état dans un budget raisonnable.

Les plus de la 323i E21Les moins de la 323i E21
Tenue de routeConfort moindre sur le long terme
Moteur soupleCôte qui s’envole
Direction précise
Ligne intemporelle
image 1- 323i
Fiche techniqueBMW 323i E21
Années1980
Mécanique
Architecture 6 cylindres en ligne
Cylindrée2315 cm³
AlimentationInjection mécanique K-Jetronic Bosch
Soupapes12
Puissance Max143 ch à 6000 trs/min
Couple Max190 Nm à 4500 trs/min
Boîte de VitesseManuelle 5 rapports
TransmissionPropulsion
Châssis
Position MoteurLongitudinal AV
FreinageDisques ventilés AV et disques pleins AR
VoiesAV 1386 mm / AR 1399 mm
Empattement2563 mm
Dimensions L x l x h4355 x 1610 x 1380 mm
Poids (relevé)1135 kg
Performances
Vmax Mesurée199 km/h
0 à 100 km/h8.7s
400m d.a16.3s
1000m d.a30.2s
Poids/Puissance8.7 kg/ch
Conso Mixte± 10 litres / 100km
Conso Sportive± 16 litres / 100 km
Prix± 30.000 €
Infos : ZePerfs

Rouler en E21 323i

Si tout ce que je vous ai raconté vous a conquis et que vous voulez acquérir une 323i E21, voici quelques petites choses à savoir.

Comme la 323i est l’ultime modèle parmi les série 3 E21, elle possède aussi la plus grosse côte. Forcément, étant la plus puissante des toutes première série 3, elle représente le youngtimer par excellence. Du coup, pour un modèle en parfait état comme la notre, comptez à peu près 30.000€. C’est d’ailleurs à ce prix que s’est vendue cette dernière chez Lamorlaye Automobile.

Le prix pourrait être plus bas si elle n’était pas équipée d’un autobloquant, mais cet élément est, d’après moi, nécessaire sur cette auto pour pouvoir en profiter au maximum.

Enfin, avant d’acheter une voiture comme celle-ci, veillez à vérifier qu’elle a bien été entretenue. Elles sont relativement fiables si elles bénéficient d’un entretien régulier. Il est important de changer les courroies régulièrement par exemple. En parlant d’entretien, si vous aimez un peu la mécanique, il est facile de se procurer les pièces. C’est l’avantage de BMW. Bien-sûr comme pour beaucoup d’autos, attention à la corrosion car les E21 en général peuvent y être sensibles.

Merci à Renaud de la Lamorlaye Automobiles pour cette belle journée d’essai. Nous avons également pu essayer une superbe 911 2.0 S Targa, essai que vous pouvez lire ici.

Valentine

Passionnée d'automobile depuis de nombreuses années, Valentine, étudiante en journalisme, rejoint l'équipe de News d'Anciennes en tant qu'apprentie. Les voitures anciennes, elle aime en parler, les prendre en photo mais surtout en prendre le volant !

Commentaires

  1. FrancoisB

    Bravo Valentine pour cet essai bien mené et ce compte-rendu rondement rédigé.

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 8 h 49 min

  2. M5

    Une vraie bmw, avec une âme et un cœur,
    Merci pour votre sympathique reportage.
    Bonne continuation

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 13 h 37 min

  3. AurelienB

    Merci pour cet essai! Encore plus envie de prendre le volant de ma 323i qui va bientôt sortir d’une grosse remise en route !

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 14 h 03 min

  4. Aurelien

    Merci pour ce superbe article qui me donne encore plus envie de conduire ma 323i qui sort bientôt de restauration! Simple remarque, l’exemplaire essayé est une phase 2 reconnaissable à sa jupe avant, sa console centrale et ses rétroviseurs en plastique.
    Les photos sont superbes!

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 14 h 08 min

  5. Luc

    Mon frère avait la même en marron chocolat, magnifique ! J’avais pût l’essayer, la petite mélodie du six cylindres .
    Merci pour cette essai

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 16 h 30 min

  6. Titi

    Merci pour cet essai….je me souviens encore de la sortie du concessionnaire BMW..après sa livraison un soir d’hiver ,avec cette magnifique..BMW 320/6.cyl..gris métal, intérieur gris clair velours …. première série avec les rétros chromés..(j’avais 10ans)…le son du 6en ligne et la couleur orange fumé de l’éclairage du tableau de bord était une pure merveille…en venant de la BMW 2002 ..le changement était notable….
    Bonne route

    Répondre · · 12 décembre 2023 à 17 h 57 min

  7. GIRARDY Dominique

    Merci Valentine pour ton très intéressant reportage réalisé avec le cœur.
    cependant, il y a quand même quelques précision et corrections à apporter.
    La première et la plus importante est que ce magnifique modèle n’est pas une fin de série 1 mais une des premières série 2, la différence se fait au tableau de bord et à ses instruments, à une partie de la sellerie, aux baguettes extérieures, au haricot, à la jupe et aux rétros plastiques électriques entre autres.
    Ceci implique aussi que le pont autobloquant n’était plus de série mais une option tout comme la BV5 mentionnée dans le descriptif.
    Il n’y a pas que les E21 6cyl qui avait les 4 optiques de série, les 2L 4cyl les avaient aussi. La calandre inclinée style gueule de requin a été introduite sur les E3 et E9 et pas sur la E12.
    La filiation est plus prononcée qu’il n’y parait avec l’ancienne 02, le sous-bassement, les trains roulants et le volume sont très semblable. D’ailleurs plus d’un s’est essayé avec succès à installer un tableau de bord ou la sellerie d’un E21 dans une 02.
    Enfin pour terminer, NON les pièces spécifiques à la 323i ne sont pas facile à se procurer, ne serait-ce que pour les instruments ou pour l’injection K-Jetronic très pointue et est très difficile à entretenir et à régler, BMW ne connait plus et il ne reste que 2 ou 3 spécialistes en France pour vous la réparer ou la régler.
    Encore merci à toute l’équipe de News d’anciennes pour ses superbes reportages.
    Dominique

    Répondre · · 15 décembre 2023 à 17 h 34 min

  8. Vincent

    Merci Valentine, ça remonte à loin mais mon ex BMW 323i noire avec autobloquant et boîte sport (vitesses inversées) était ma voiture de mariage. Beaucoup de plaisirs s son volant et quelques frayeurs sur le verglas (sans pneus clous) . Mon « ex » avait tout et vous donnait tout.
    Merci pour cet essai et cette remontée de souvenirs.

    Répondre · · 16 décembre 2023 à 8 h 09 min

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