Les Chapeaux de Roues 2025, un grand cru au coeur de Saint Emilion

Publié le par Fab Renesis

Les Chapeaux de Roues 2025, un grand cru au coeur de Saint Emilion

Nichée au cœur de son vignoble mondialement reconnu, la commune de Saint‐Émilion a vibré ce week‐end aux sons des moteurs et au parfum d’huile chaude. Samedi 28 et dimanche 29 juin 2025, la deuxième édition des Chapeaux de Roues a réuni véhicules modernes et anciens, passionnés, curieux et collectionneurs. On vous raconte ça.

Saint Emilion, cité millénaire

Pour ceux qui en auraient besoin, on reprend les bases. Saint-Émilion est une commune pittoresque située dans la région viticole de Bordeaux, en France. Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle est célèbre pour ses paysages vallonnés, ses monuments historiques et surtout ses vins rouges prestigieux, élaborés principalement à partir de merlot, de cabernet franc et de cabernet Sauvignon.

Aujourd’hui, Saint-Émilion est un haut lieu du tourisme œnologique, attirant des visiteurs du monde entier et le temps d’un week-end, avec les chapeaux de roues, une capitale de l’automobile.

Une manifestation automobile au cœur d’un site classé

Organisé par l’équipe du Rallye du Pyla, avec le soutien de l’association Espérance Banlieues et de l’Office de Tourisme du Grand Saint-Émilionnais, les Chapeaux de Roues ont pris place dans un décor somptueux : les rues pavées et les placettes de Saint‐Émilion.

L’objectif était double : célébrer l’univers automobile dans toutes ses déclinaisons et soutenir une cause éducative, en récoltant des fonds pour le développement des écoles Espérance Banlieues. Après une première édition prometteuse en 2023 qui avait permis de reverser 75.000 euros à l’association, l’organisation des Chapeaux de Roues espérait, cette année, dépasser ce chiffre.

Un programme riche tout le week end

Les Chapeaux de Roues avaient lieu du samedi au dimanche, de 10h à 18h30, ou le visiteur ayant pré-commandé ou acheté sur place son billet pouvait profiter des expositions du salon, de ces animations, restauration. Les rallyes de voitures anciennes et contemporaines avaient lieu le samedi matin et après-midi. Même programme le dimanche avec, en plus, la première édition du Grand Prix St Émilion, une course ou les avants guerres, au coeur des vignobles, font rugir leur mécanique comme à la grande époque des compétitions d’antan.

Au départ du rallye touristique des Chapeaux de Roues

Dès le samedi matin, les moteurs ont commencé à gronder aux abords de la ville et les Chapeaux de Roues ont démarré en trombe pour moi. La journée a démarrée avec deux rallyes touristiques : l’un destiné aux voitures anciennes, l’autre aux voitures contemporaines. Ces circuits de 120 à 140 kilomètres ont conduit les participants à travers les vignobles, les routes vallonnées de la région, et de charmants villages environnants. Le rallye du matin était réservé aux voitures de collection, tandis que celui de l’après-midi accueillait les modèles modernes.

A peine sur place c’est un flot incessant de voitures qui se garent sur le parking du château. Arrive une très rare Lamborghini Miura suivie par une Porsche 356.

Le plateau des Chapeaux de Roues est varié et on y trouve de tout. Mini, Ferrari, Renault. La dame blanche, la BMW 315/1 de Sylvain, dont l’essai est ici, et à côté d’une très rare BBM Lamborghini dont je reparlerai un peu plus tard. La Bugatti 57 est fièrement garée à côté d’une Ford Mustang. Des Alpine sont également de la partie.

Il y a également des Italiennes avec une Lancia Fulvia, une Fiat 500 et bien d’autres. Les participants du rallye sont invités à se rendre à l’entrée du château Pavie pour la remise des road book. Le grand Ari Vatanen, invité d’honneur des Chapeaux de Roues est présent et discute avec les participants. L’intérieur du hall du château permet, lui, de voir de beaux objets d’arts. 

Au cœur de l’événement des Chapeaux de Roues à Saint-Émilion

En parallèle, le centre du village accueillait le salon automobile. De 10 h à 18 h 30, les visiteurs ont pu flâner entre les stands et découvrir un impressionnant éventail de voitures : de la mythique Citroën DS aux dernières générations de sportives, en passant par des modèles rares ou customisés. Plusieurs podiums thématiques avaient été aménagés pour célébrer trois anniversaires emblématiques : les 70 ans d’Alpine, les 70 ans de la DS et les 50 ans de la BMW Série 3.

Les 70 ans D’Alpine

Les plus jeunes mais aussi les amoureux des 24h du mans pouvaient s’émerveiller devant l’Alpine A424 du WEC 2025. Elle était la voiture de tête d’une exposition dédiée à la marque qui allait en faire rêver plus d’un.

Juste derrière elle, on retrouvait une Alpine A210, légère et aérodynamique qui a brillé par sa fiabilité en remportant plusieurs victoires de catégorie lors des 24h du mans. Elle a été un pilier de la stratégie d’endurance d’Alpine avant l’arrivée de la célèbre A220….

Une Alpine A220 qui est sagement garée sur son coté gauche. Plus puissante que sa devancière l’A210, elle était équipée d’un V8 Gordini de 3.0 L. Malgré un design moderne et des ambitions élevées, elle a souffert de problèmes de fiabilité et de performances face aux grandes marques comme Porsche ou Ferrari. Elle marque néanmoins une étape importante dans l’histoire d’Alpine en endurance.

D’autres modelés tout aussi iconiques tels que l’Alpine A110, l’Alpine A310 ou encore A106 et A108 cabriolet, les Alpines originelles en fait, sont également présentes. Le propriétaire de la petite jaune aura fait plus de 600 kilomètres à son volant pour exposer au Chapeaux de Roues.

Les 70 ans de la DS :

En 2025, Citroën célèbre les 70 ans de la DS, une voiture révolutionnaire présentée en 1955 au Salon de Paris. Véritable icône française, la DS s’est démarquée par son design avant-gardiste, sa suspension hydropneumatique et ses innovations techniques.

Au fil des années, plusieurs versions ont vu le jour : la DS 19, la plus connue, suivie de la DS 21 et la DS 23, plus puissantes, ainsi que des déclinaisons cabriolets et breaks. Les Chapeaux de Roues lui ont dédié un vaste espace de ses différents modèles.

Evidémment La Citroën SM, lancée en 1970, coupé grand tourisme emblématique qui alliait le confort et l’innovation de Citroën à la puissance d’un moteur V6 Maserati est présente. Reconnue pour son design aérodynamique, sa suspension hydropneumatique et sa direction assistée variable, la SM incarnait le sommet du luxe et de la technologie française des années 70.

A sa droite, c’est Le DS SM Tribute, un concept-car créé pour rendre hommage à la légendaire Citroën SM qui est exposé aux Chapeaux de Roues. Ce prototype qui a été résenté lors du concours d’élégance de Chantilly, allie design néo rétro et technologies futuristes. Il reprend les grandes lignes du modèle original avec un long capot, des roues arrière carénées et une silhouette profilée. Ce concept reflète l’ambition de DS de conjuguer patrimoine français et innovation dans le luxe automobile du futur. Affaire à suivre.

Le stand expose aussi la rarissime SM 2, dont je vous invite a lire notre essai ici tant les modifications apportés au modèle de base sont impressionnantes! En bref, La Citroën SM2, réalisée par le spécialiste SM2A (Jean‑Michel Gallet et fils), est une restomod sophistiquée qui actualise la mythique SM des années 70. Allégée de plus de 120 kg grâce à un nouveau châssis et des jantes 17″ usinées, elle conserve sa suspension hydropneumatique et son V6 Maserati, désormais optimisé à 3 L et 177 ch (réels), associé à une injection séquentielle moderne.

« Pour rouler en SM2, il vous faudra une SM. La transformation se fera à partir d’une SM « de base » dont la restauration serait tellement lourde qu’elle ne présenterait aucun intérêt économique. Celle avec laquelle vous roulez au quotidien et qui est en bon état : gardez-la ! En fait SM2 remet sur la route une auto qui n’y serait jamais retournée ! Ensuite, c’est parti pour la transformation, sur une base fournie. Il vous en coûtera alors 230.000 € et l’auto est entièrement personnalisable » écrivait Benjamin dans son essai. De la haute couture sur mesure pour automobile !

Était aussi présente aux Chapeaux de Roues la Groupe B la plus connue de la marque (mais pas la seule), l’impressionnante Citroën BX 4 TC, dont vous pouvez lire un article complet ici.

Les 50 ans de la BMW Série 3 :

BMW célèbre les 50 ans de la Série 3, lancée en 1975 avec la E21 dont l’essai est à retrouver ici. Véritable pilier de la marque, elle s’est imposée comme la berline sportive de référence, alliant plaisir de conduite, technologie et élégance.

À travers ses sept générations, la Série 3 a évolué sans renier son ADN, devenant un modèle emblématique aussi bien en version familiale que sportive, notamment avec les légendaires M3. Vous pouvez aussi lire l’essai de la BMW 320/6 ici. Un demi-siècle d’innovation, de performances et de succès mondial. Les passionnés BMW était ravis des modèles présents, les plus jeunes s’extasiant sur les derniers modèles de la marque.

Les grandes marques automobiles :

Les visiteurs venus aux Chapeaux de Roues pour admirer des autos prestigieuses… ont été servis. On fait le tour des stands.

Ferrari :

Les nombreux visiteurs des chapeaux de roues ont pu s’ébahir devant les 3 automobiles légendaires présentes cote à cote.

La Ferrari F40, de 1987, supercar emblématique dotée d’un moteur V8 biturbo de 478 ch. Conçue avec un souci extrême de légèreté et de performance, elle se distingue par son style agressif, son absence d’assistance électronique et son approche radicale de la conduite.

8 ans plus tard Ferrari dévoile la F50, en hommage au 50e anniversaire de la marque. Plus moderne, elle embarque un moteur V12 dérivé de la Formule 1, développant 520 ch, et intègre des solutions techniques avancées pour l’époque, notamment un châssis monocoque en carbone. Si la F40 reste une icône brute et légère, la F50 vise une expérience plus proche de la compétition tout en conservant une certaine polyvalence routière.

L’apothéose pour le visiteur des Chapeaux de Roues est la présence de La Ferrari LaFerrari, première hypercar hybride de la marque. Dotée d’un V12 atmosphérique de 6,3 litres associé à un moteur électrique, elle développe un total de 963 ch. Produite à seulement 499 exemplaires, elle incarne l’apogée du savoir-faire technologique de Ferrari.

Porsche :

Sur le stand Porsche, c’est une récente Cayman GT4 RS qui trône à coté d’une 993 bi-ton et une Porsche 911E Targa en teinte Tangerine (orange vif). Elle incarne parfaitement l’esprit des années 1970. Produite entre 1969 et 1973, la 911E se positionnait entre la version T (plus accessible) et la S (plus radicale), avec un moteur 6 cylindres à injection de 2.2 ou 2.4 litres, offrant un bon compromis entre performance et confort. La version Targa, avec son arceau inox et son toit amovible, ajoutait une dimension ouverte sans sacrifier la rigidité. La couleur Tangerine, très prisée à l’époque, renforce son caractère vintage et attire immédiatement le regard.

Lamborghini :

Les modèles Lamborghini ont été particulièrement mis à l’honneur à l’occasion des Chapeaux de Roues. Plusieurs bolides Lamborghini de dernière génération étaient à l’honneur mais News d’Anciennes ne s’appelle pas comme ça pour rien et c’est donc une exceptionnelle Miura qui a fait l’objet de mon attention.

Considérée comme la première supercar à moteur central arrière de l’histoire, elle est dotée d’un V12 transversal de 3,9 litres, elle développe jusqu’à 385 ch dans sa version SV, atteignant des performances impressionnantes pour l’époque. Véritable icône des années 60–70, la Miura a marqué un tournant dans le design et l’architecture des voitures de sport.

Mais celle qui cache son jeu parmi toutes ces Lambo’, c’est la BBM C1-02 Lamborghini ! En effet la BBM C1-02 est une voiture de course française unique, construite vers 1971–72 par la marque BBM (Bertin, Boussu & Mercier). Ce modèle se distingue par son moteur V12 Lamborghini, ce qui en fait la seule BBM équipée de ce moteur. Fait encore plus rare, elle est homologué route et sa restauration a été réalisée entre 2017 et 2024, par une équipe menée par Patrice son propriétaire.

Maserati :

La Maserati Ghibli, lancée en 1967, est rapidement devenue un symbole du grand tourisme italien grâce à son design élégant signé Giorgetto Giugiaro et à son moteur V8 de 4.7 litres. Dans les années 70, Maserati a présenté la Merak (1972), un modèle plus accessible et compact, équipé d’un V6 central arrière dérivé du moteur de la Citroën SM. La Merak se distinguait par un mélange de sportivité et de confort, tout en adoptant une architecture innovante pour la marque.

La Quattroporte II, sortie en 1974, représentait un modèle très particulier dans l’histoire de Maserati, alliant l’élégance et la fonctionnalité d’une berline de luxe à la technologie empruntée à Citroën, notamment la suspension hydropneumatique et la traction avant. Enfin, la Khamsin Cabriolet, restée au stade de prototype était une déclinaison audacieuse du coupé Khamsin, avec un design signé Bertone. Ce cabriolet incarne l’ambition de Maserati de proposer des voitures élégantes et puissantes dans la veine du grand tourisme italien des années 70. Ensemble, ces modèles témoignent de l’innovation stylistique et technique de Maserati durant cette période.

Renault :

La Renault 40CV des Records était exposée. Dans les années 20, tout constructeur qui se respecte doit se lancer dans la course aux records. Avec son 6 cylindres en ligne de 9.121 cm3-140 cv, sa boîte de vitesses à 4 rapports, elle atteignait les 200 km/h. Non loin d’elle, ce sont 2 R5 Maxi Turbo, modèle emblématique de l’ère du Groupe B.

Les autres marques

Le stand Mazda des Chapeaux de Roues présentait la dernière MX-5 mais aussi a Mazda MX-3. Produite dans les années 1990, ce petit coupé 2+2 compact sportif est apprécié pour sa maniabilité et son design dynamique. Elle se distingue par son moteur V6 compact, le plus petit au monde de part sa cylindrée de 1,8L.

Le stand Alfa Roméo présentait tout les derniers modèles et exposait une Alfa Romeo 75, compacte connue pour son équilibre, sa propulsion arrière et son style italien distinctif. Elle a marqué la transition entre les classiques Alfa et les modèles plus modernes, avec des motorisations essence et diesel variées.

Autour des autos, ambiance et convivialité

L’atmosphère générale de l’événement était chaleureuse et familiale. De nombreux visiteurs étaient venus en famille, certains avec leurs enfants ou leurs grands-parents, attirés par la beauté des véhicules mais aussi par la convivialité du cadre. Les rues de Saint‐Émilion, habituellement fréquentées par les amateurs de vin et de patrimoine, se sont transformées en musée vivant de l’automobile pour les Chapeaux de Roues.

Tout au long du week-end, des baptêmes en voitures de collection étaient proposés, permettant à de nombreux curieux de vivre une expérience immersive à bord de véhicules mythiques. Des food-trucks répartis dans plusieurs zones du village proposaient une offre variée de restauration, et des espaces détente étaient accessibles gratuitement.

Plusieurs clubs automobiles avaient également répondu présent aux Chapeaux de Roues, certains venus de loin pour exposer leurs voitures. Cette diversité des origines et des styles a favorisé des échanges spontanés entre passionnés, curieux, collectionneurs et simples promeneurs.

Grand moment d’émotion lorsque Ari Vatanen dédicace les différents objets apportés par un homme qui ne peut retenir ses larmes. Le public assistant à cette scène aussi le fût et remercia Ari, qui reste toujours disponible et accessible.

C’est d’ailleurs le samedi midi que la Jurade de Saint-Emilion, a intronisé Ari Vatanen, le journaliste Jean Pierre Gagick et le collectionneur et pilote Nicolas Leroy-Fleuriot.

La reconstitution d’un campement Américain de la seconde guerre mondiale au pied des douves du village était un endroit immersif des Chapeaux de Roues. La présence de véhicules militaires, de tentes d’époques avec équipements, mais surtout, les personnes en tenue d’époque rejouant des scènes, expliquant les différents équipements était instruisant pour tous le monde. Cela rassure d’entendre parents mais aussi adultes seul saluer la chose et le devoir de mémoire qu’elle représente.

Magnifique soirée de Gala au somptueux château de Soutard

La chaude journée de samedi c’est terminé par un cocktail de Gala au sein du Château Soutard. Quelques anciennes autos au milieu du public présent ont redonné un gout d’avant au château. Charles du rallye du Pyla, la représentante de l’association Espérance Banlieue, le maire, ont fait un discours de remerciements. Tous les bénévoles et participants ont été chaleureusement applaudis par le public.

Le Grand Prix d’avant-guerre : une immersion totale

Le Grand Prix d’avant-guerre, organisé le dimanche, a constitué l’un des points d’orgue des Chapeaux de Roues. Une vingtaine de voitures datant des années 1920 et 1930 ont pris le départ de la spéciale en boucle dans la campagne proche de Saint‐Émilion.

Bien que non chronométrée, la démonstration a impressionné par la beauté des véhicules et la qualité de leur restauration. Les moteurs grondants, les pneus crissant sur le bitume irrégulier, les silhouettes trapues des voitures d’époque ont donné aux spectateurs le sentiment d’assister à une scène sortie tout droit d’un film des années folles.

Six marques étaient présentent. La dame blanche de Sylvain, une BMW. Les Bugatti sous différentes versions, 37, T35B, T57 etc, Riley avec Sprite, TT Sprite et 12/4 Special. On complétait le plateau avec Amilcar CGSS ou bien Austin avec les Seven.

Il y a eu quelques ratés le matin, notamment du retard dans le début des essais et repérages. Les Chapeaux de Roues avait fait appel à la FFSA pour aider a organiser ce grand prix, malheureusement pour X raisons, elle a pas su être pleinement présente et représentative.

L’organisation avait prévu un accès fluide au public, grâce à des navettes régulières. Les espaces d’observation sécurisés avaient été aménagés le long du parcours, permettant une proximité inédite avec les pilotes. L’installation du paddock accessible en cœur de village a également contribué à renforcer le lien entre spectateurs et participants.

Dimanche soir a eu lieu la remise des prix des vainqueurs du grand prix de St Émilion qui a vu Sylvain pilote de la BMW 315/1 remporter la 1ère place, devant les anglais toujours enthousiaste et surtout devant les Bugatti !

Le bilan des Chapeaux de Roues 2025

Organiser un tel événement dans un lieu aussi patrimonial que Saint‐Émilion représente un défi logistique majeur. L’équipe organisatrice avait anticipé les flux de circulation et prévu des parkings périphériques. Les bénévoles, nombreux et investis, ont joué un rôle central dans la réussite de l’organisation. Placés aux points stratégiques, ils ont orienté les visiteurs, répondu aux questions, veillé au bon déroulement des animations et facilité les déplacements dans les zones d’exposition.

Le public l’a ressenti et les retours des visiteurs de l’édition 2025 des Chapeaux de Roues à Saint‑Émilion sont globalement très positifs : ils soulignent l’ambiance mêlant passion automobile et charme du vignoble. Bravo Rallye du Pyla ! Rendez vous en 2027 !


Fab Renesis

Fabien est un amateur de moteurs à pistons rotatifs mais aussi un très bon photographe. Il a rejoint l'équipe de News d'Anciennes à l'été 2020 et couvrira les événements du sud-ouest de la France.

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