Le don d’ubiquité aurait été bien utile en ce week-end de Mai. Les amateurs de chevrons se rassemblaient à Charade et que ceux qui préfèrent les monoplaces profitaient du circuit de légende de Monaco. Ceux qui étaient restés en région parisienne ont également pu combiner des voitures quasi centenaires (pour les plus jeunes) et l’écrin mythique de l’Autodrome. Car c’était bien ce week-end qu’avait lieu la grand messe des avant-guerre, le Vintage Revival Montlhéry 2024 et personne n’aura été déçu de l’événement. Vous n’y étiez pas ? On vous y replonge.





Une question d’ambiance
En France, on en trouve de très beaux événements. Des lieux superbes, des voitures qui le sont aussi et généralement des groupes de passionnés pour combiner tout cela et créer des souvenirs inoubliables. Pour le Vintage Revival Montlhéry 2024 on a eu tout ça. Mais il n’empêche que l’événement était au-delà de ce qu’ont peut trouver ailleurs. À quoi cela tient ? C’est comme pour une bonne recette, il faut de bons ingrédients mais il faut aussi une petite dose d’assaisonnement et pour cela, rien ne vaut un bon cuistot.
Pour l’occasion… ils étaient 94 ! 94 bénévoles vêtus de blanc qui avaient la lourde tâche de faire fonctionner tout le Vintage Revival Montlhéry 2024. Pas forcément facile quand les véhicules sont répartis sur des paddocks aussi vastes. C’est simple, toutes les zones disponibles de l’intérieur de l’Autodrome de Linas-Montlhéry étaient occupées et si certains n’attendaient que de rouler, d’autres étaient surtout présents avec leurs clubs et ne regardaient pas toujours leur montre.







Qui plus est, les bénévoles ont eu d’autres choses à gérer. Déjà, la « cuisson ». Oui, le beau et chaud soleil était au rendez-vous du Vintage Revival Montlhéry 2024, en tout cas jusqu’en fin d’après-midi le dimanche. Et avec lui, c’est une énorme foule qui s’est pressée sur l’Autodrome. Même en arrivant de bonne heure l’accès était compliqué (il l’a toujours été) et, le samedi, avant que midi n’ait sonné les parkings étaient déjà bondés ! Résultat : beaucoup de monde autour des autos. Heureusement que les sifflets étaient là pour dégager le passage pour les autos.
Et si l’ambiance est particulière malgré cette foule, c’est aussi parce que cette foule est colorée. Non, on n’atteindra jamais (et dieu sait que c’est dommage) l’ambiance vestimentaire qu’on peut connaître sur un Goodwood Revival sur un événement organisé dans l’hexagone. Le français est réfractaire, pire que le bitume sur lequel roulent les autos. Néanmoins, on note une bonne proportion de visiteurs, spectateurs et encore plus de participants à avoir joué le jeu et sorti une tenue d’époque (et pas un déguisement) pour ce Vintage Revival Montlhéry 2024.







En piste pour le Vintage Revival Montlhéry 2024
Il fallait les faire passer parce que c’est bien en piste qu’on retrouvait les différents plateaux du Vintage Revival Montlhéry 2024. Ça fait partie de la recette. Une exposition de voitures, aussi formidables soient-elles, reste un beau musée si les moteurs ne vrombissent pas et si les voitures ne roulent pas. Quand en plus, on se retrouve sur un écrin qui a vraiment vu rouler ces autos, même les plus improbables autos des records et que cet écrin fête ses 100 ans (ce qui est bien jeune comparé à certaines autos présentes), c’est encore mieux.
C’est donc parti et puisqu’on respecte l’ordre de passage, c’est le plateau A qui ouvre le bal. 34 voitures sont au départ. Si vous ne connaissez pas les MG J2, Salmson, Austin Seven, Amilcar et Frazer-Nash, dommage car ce sont finalement les noms les plus connus sur ce plateau qui compte également des BNC, des Rally, Vernon-Derby ou Chenard et Walker au départ.







Après 15 min de roulage, oui, au Vintage Revival Montlhéry 2024 c’est quasiment à flux tendu, c’est logiquement le plateau B qui démarre avec, toujours des Amilcar ou des Salmson, mais avec la présence de Georges Irat, de Bignan, de Darmont, de GN, Antony ou Sandford. Oui, dans le fond, vous avez raison, c’est ici un plateau de cyclecars qui démarre.







Au tour du plateau…, c’est bien, ça suit. Pour conclure cette première heure de roulage, ce sont des sportives qui attaquent le circuit et l’anneau. Place aux Bugatti, aux MG, Ansaldo et toujours aux Salmson et BNC avec quelques invités de marque comme une Wanderer apportée par Audi Tradition mais aussi une Spag, une Tracta ou même une originale Peugeot 402 Darl’Mat aux phares repositionnés en dehors de la calandre. Si les premiers plateaux roulaient « à leur main », cette fois, ça commence à envoyer un peu plus.







Le quatrième plateau du Vintage Revival Montlhéry 2024, c’est le premier plateau de deux roues. 47 motos « GP » sont sur la piste. Pas de casque en cuir cette année, mais la beauté des machines suffit à en prendre plein les yeux. Norton, Terrot, Sarolea, Velocette, Zundapp, Koehller-Escoffier, il y a quand même quelques marques qui vous parlent non ? En tout cas, il y a de l’animation en piste et quand on connaît l’emplacement des commandes de ces machines, on se dit que ce n’est pas de tout repos !







Retour aux voitures du Vintage Revival Montlhéry 2024… enfin, c’est un bien grand mot puisque les « Flying Bananas » reposent sur trois roues ! Ce sont les Tryciclecars qui prennent possession de l’Autodrome avec de Morgan en nombre auxquelles répondent les françaises du genre : Darmont et Sandford. Si ce n’est pas assez original, on ajoute des side-cars !







Là, ça va causer. Quand le plateau E s’approche, Igor Biétry, l’inarrêtable speaker de ce Vintage Revival Montlhéry 2024 et des précédents (il n’y a que la foudre qui parviendra à le stopper le dimanche) le dit bien : c’est le plateau Grand Prix. Les Bugatti sont des 35, des 51 et 59. Comme à l’époque, elles ferraillent avec des Delage, des Maserati, Talbot T150C, MG, et une nouvelle Wanderer, carénée pour foncer.
Et ces autos vont faire honneur à leur réputation puisque ce sera certainement le plateau le plus rapide de l’événement… mais en même temps, est-ce qu’on est vraiment venu voir de la vitesse ?







Si c’est pas le cas, les motos de course du plateau suivant permettent de rester dans l’ambiance. Il y a plus de diversité que dans le précédent plateau de deux roues avec des Monet-Goyon, Gillet-Herstal, Gnome & Rhône, OEC, Peugeot, Brough-Superior, et autres Motosacoche.



Le plateau F calmera-t-il le jeu ? Pas du tout. Si les moteurs ne sont pas forcément très gros en cylindrée, Alfa Romeo ou Amilcar sortent les 6 cylindres ! En face, on retrouve des Delahaye, Lea Francis, Alvis, GN, GAR, Sunbeam, bref de vraies autos de course avec quelques « Special » qui désignent des assemblages d’époque aussi performants qu’extravagants.







Allez, histoire d’aller manger sereinement, le Vintage Revival Montlhéry 2024 sort ses motos les plus anciennes. Le Plateau Jean Lalan regroupe des motocyclettes datant d’avant 1919. Certaines machines sont des vélos sur lesquels on a greffé un moteur mais on commence à retrouver des motos qui ressemblent à l’image qu’on a de ces engins.
Mais comme on est pas à une originalité près, voilà qu’arrivent les Bédélia avec leur carrosserie étroite et leurs deux places en tandem, suivies de « motos avec des petites roulettes », les Monotrace et même… une voiture à hélice ! Oui, il faut au moins ça pour refroidir l’atmosphère surchauffée !
On ajoute à tout ce beau monde la Coupe Olympique du Centenaire qui met sur la piste du Vintage Revival Montlhéry 2024 d’étrange tricycles motorisés par des Peugeot ou De Dion. Pour certains, les pilotes doivent sauter dessus après les avoir poussé ! C’est original et spectaculaire, du pur VRM !








Ensuite, les moteurs se taisent pour la pause. Pourtant, il y a quand même des véhicules sur la piste du Vintage Revival Montlhéry 2024… mais en silence ! Ce sont les vélos qui arrivent dont un étonnant vélo profilé dédié aux records de vitesse !





Le temps de prendre d’assaut un des foodtrucks et de boire (de l’eau évidemment), on repart. En douceur ? Pas du tout.
On sort l’artillerie lourde. Très lourde. C’est le plateau YCAR (Yacht Club des Avions de la Route) et ça tombe bien puisque quelques machines sont effectivement mues par des moteurs d’avion. Ce plateau est certainement le plus spectaculaire du Vintage Revival Montlhéry 2024. La Talbot 105 « Coupe des Alpes », l’ARAB et son 2L, la Bentley 3L sont de belles autos, c’est certain.





Mais ces machines se font voler la vedette par les bêtes des records rassemblés sur l’anneau. Une Petite Rosalie, finalement, c’est petit… quand on met en face une Renault 40CV des Records ou une Nervasport. On ajoute la grosse Hotchkiss AM80 mais on peut encore taper plus fort (et on parle aussi de volume sonore). Voici qu’arrive la Fiat S76 et ses 28400cm³ de 1911 qui se fait pourtant surclasser niveau étonnement et vacarme par la Darracq 200HP de 1905 (avec « seulement » 25400cm³). Impressionnant et le public a rempli les tribunes et le balcon pour les voir passer. On en redemande !







On en redemande ? Ça tombe bien, on prend les mêmes et on recommence. Tous ceux qui ont roulé le matin remettent une pièce dans la machine pour tourner à nouveau le samedi après-midi. On en redemande encore ? Et bien le Dimanche est fait pour ça avec une nouvelle tournée de roulage qui ne sera embêtée que par la pluie qui finit par refroidir l’atmosphère en fin de week-end.









Hors-piste : c’est magnifique
Se délecter des autos visibles sur l’autodrome, c’est bien. Mais au Vintage Revival Montlhéry 2024, toutes les autos ne sont pas là pour rouler. Il serait donc dommage de rater les expositions qu’on peut trouver à l’intérieur de l’anneau. Alors on vous emmène faire un tour.
Commençons par l’espace moto. Il est tôt et la foule n’est pas encore arrivée dans l’anneau (même si on se doute qu’elle doit garnir les routes d’accès alentours). Pour quelqu’un qui, comme moi, ne connaît pas grand chose aux deux roues, et encore moins à ceux de cette époque depuis longtemps révolue, il faut dire que c’est aussi bien qu’un musée !
Certaines des motos s’apprêtent à prendre la piste pendant ce Vintage Revival Montlhéry 2024. C’est le cas des Terrot et Saroléa qui laissent admirer leurs chromes. Par contre, ce n’est pas le cas des étonnantes (et futuriste pour l’époque) New Motorcycle. On découvre aussi des ancêtres de scooters ou encore les fameux tricycles motorisés aussi originaux à l’arrêt qu’en marche.







Une fois les motos terminées… non, on ne retourne pas aux autos. C’est le moment d’attaquer la bourse aux pièces du Vintage Revival Montlhéry 2024. On trouve toujours des stands vendant quelques pièces sur les événements qui se déroulent à longueur d’année sur l’Autodrome de Linas-Montlhéry. Mais il faut bien avouer que celle-ci est beaucoup plus conséquente.
Elle rassemble des spécialistes des pièces d’avant-guerre, quelques artisans du milieu, mais aussi des pieçards qui ont déballé leurs caisses pour l’occasion. À l’acheteur de trouver ce qu’il lui faut… et quand on cherche un bouton Lucas, c’est pas toujours facile (par exemple).







D’autres stands sont disséminés un peu partout sur ce Vintage Revival Montlhéry 2024. Tout le monde n’est pas venu vendre de la pièce et on retrouve aussi quelques spécialistes venus vendre des tenues, des affiches… La FFVE est également présente, pour répondre aux habituelles questions concernant les attestations tout en exposant deux bolides. Arts & Cars et la maison Osenat sont présents avec la Chevalier et la Bugatti 35 déjà vue au Beforty, la Galerie des Damiers, partenaire du VRM a rassemblé ses amis et clients et on ajoute les assureurs, experts, bref, tout ce qui fait le monde du véhicule ancien.







Un peu plus loin, deux stands se font face avec des ambitions différentes. Ici on ne vend rien mais on rend hommage. On commence par le stand The Originals Renault – La collection qui a amené pour l’occasion une des plus anciennes voitures présentes qui se fait pourtant totalement éclipser par trois véhicules qui ont fait le succès de leur stand à Rétromobile : la Nervasport, la 40cv des records et l’avion Caudron-Rafale.






En face, c’est une nouveauté de ce Vintage Revival Montlhéry 2024 et c’est quasiment inédit en France : Audi Tradition est venu ! En force d’ailleurs puisque les véhicules ont eu leur événement presse le Vendredi et « Dindo » Capello (trois fois vainqueur des 24h dont deux fois sur Audi) est également de la partie. Côté véhicules, forcément aucun n’est une Audi puisqu’on parle d’avant-guerre mais on retrouve des Horsch, Wanderer et Auto-Union dont une fabuleuse flèche d’argent.





On continue notre tour. Partout on retrouve des voitures qui s’apprêtent à rouler. Les grandes tentes blanches au milieu des paddocks en rassemblent quelques unes. Sur le stand des Bourges père et fils, le Trophée Jacques Potherat et l’Avignon Motor Passion sont représentés par une Salmson mais surtout une très rare BUC (tout juste achevée pour le Vintage Revival Montlhéry 2024), la cyclecar des frères Bucciali.
On ajoute évidemment le paddock des voitures sportives qui s’apprêtent à rouler. Et comme avant de rouler, il faut chauffer les moteurs, on a droit à de sérieux (mais plaisants) vacarmes qui forcent les visiteurs à se boucher les oreilles !







En face, ce sont les clubs qui sont présents. Ou les groupes, comme ces allemands venus avec leur camion qui sert autant de cantine que d’assistance ! On trouve aussi une triplette sur un espace commun de ce Vintage Revival Montlhéry 2024 avec l’espace YCAR combiné avec le club Indian et le Moto Club Bordeaux qui a la particularité d’avoir réédité sa « Grande Échappée » : voitures et motos sont venues par la route ! Thibaut vous racontera ça prochainement.






On enchaîne avec un bel alignement de Fiat. Difficile de reconnaître les Balilla mais le Fiat Fan Club a en fait réuni des Coppa d’Oro avec leurs carrosseries sportives et même une rareté avec l’une des 2 voitures carrossées par Pourtout. Tout est dans le détail mais on retrouve bien la « signature » du carrossier français dans ce dessin.



Près du hall 1924, on retrouve une belle diversité d’autos ainsi que le coin des ancêtres, les Teufs Teufs. Ce club spécialisé a rassemblé au Vintage Revival Montlhéry 2024 des autos dont les formes trahissent l’âge, de la Brasier à la Renault en passant par la Bayard et la Mors de la Ville d’Angoulême.





On continue avec les Flying Bananas au repos. L’Amicale Tricyclecariste a réuni ses voitures ce qui permet de mieux détailler les différences entre toutes ces voitures qu’on aurait pu croire semblables sur la piste.
Même chose, en face, avec les Georges Irat, mais aussi les Salmson, les Delahaye et les Bugatti. Chaque club a son espace.









On enchaîne avec la double expo thématique de ce Vintage Revival Montlhéry 2024. D’un côté, un bel hommage à la marque Benjamin. Méconnue, cette marque qui fabriquait ses petites autos à Asnières entre 1921 et 1931 est représentée par une quinzaine d’autos… près d’un tiers des effectifs recensés !
En face, on retrouve des véhicules originaux avec la roue avant qui est seule sur son axe. Ce sont les Villard, récemment mis en lumière par un ouvrage bien documenté, on retrouve quelques exemplaires au rendez-vous. L’un d’eux, venu de Belgique, s’échappe même de temps en temps pour rouler.




La promenade continue à l’intérieur de l’anneau. Ne rester qu’une journée au Vintage Revival Montlhéry 2024, c’est se dire qu’on va forcément rater quelque chose. Parce qu’à chaque passage, là où on est déjà venu maintes fois, on découvre encore une voiture, un détail… ou un copain avec qui discuter 20 minutes !
On assiste aussi à des scènes originales. Un peu chaud ? Pas de souci, en se mettant du côté de l’Helica, un courant d’air se crée vite. Et puis quand on veut traverser la tente juste à côté, au moment ou le plateau YCAR du Vintage Revival Montlhéry 2024 se prépare à aller en piste, on manque de se faire bruler et assourdir par le démarrage de la Darracq 200ch ! Honnêtement : ça marque !








Conclusion :
Une journée complète au Vintage Revival Montlhéry 2024, ce n’était pas de trop. Ce n’était même pas assez ! Clairement, si cet événement s’est toujours tenu sur deux jours, ce n’est pas pour rien ! Surtout, quand certains événement s’essoufflent et quand certains se demandent quel avenir est réservé aux avant-guerre, le VRM est porteur d’espoir.
Pour le Vintage Revival Montlhéry 2024 on est venu de toute l’Europe pour admirer les avant-guerre ou les faire rouler. Le public ? Il était là, en masse et on se doute que tous n’étaient pas forcément connaisseurs des bolides qu’ils voyaient défiler sous leurs yeux. Merci donc aux commentaires de l’ami Igor. En tout cas, les smartphones étaient de sortie pour immortaliser l’instant.
Immortaliser, c’est d’autant plus important qu’un parfum de nostalgie se dégageait de ce Vintage Revival Montlhéry 2024. Le succès de cette édition n’y change rien, Vincent Chamon à la tête de l’organisation et de la formidable équipe de bénévole souhaite passer la main. Si les rumeurs vont bon train, pour le moment on ne sait pas s’il y aura un prochain VRM ni qui sera à sa tête. En tout cas, on croise les doigts et on signe de suite pour revenir cuire dans une telle ambiance et au milieu de tels bolides dans deux ans (même si on devrait en reprendre une dose lors du Festival du Centenaire).
Allez, je pourrais encore continuer longtemps, mais on a fait le tour. On vous laisse avec une dernière galerie de photos de ce Vintage Revival Montlhéry 2024. Et vive les avant-guerre !


































































































nounours8529
super magnifique présentation vous avez du vous regaler merci Benjamin
· · 16 mai 2024 à 11 h 11 min
Benjamin
Oh que oui… et je n’étais pas le seul ! Rechercher un spectateur ou acteur de l’événement déçu ne sera pas une mince affaire !
· · 16 mai 2024 à 11 h 14 min
Guy Dupeyron
Superbe reportage Benjamin, vous nous avez régalé continuez.
· · 16 mai 2024 à 12 h 00 min
Duée Rudy
Très belle série de photos, j’ en ai pris plein les yeux. Magnifique reportage, merci !
· · 17 mai 2024 à 7 h 31 min
J Emmanuel Cabanne
Bravo et merci à tous les bénévoles qui nous font rêver, vos reportages sont attendus chaque semaine avec impatience !
Permettez-moi juste une petite demande. Serait-il possible d’ajouter au bas des photos une légende qui indiquerait le modèle du véhicule?
On retrouve toutes ces précisions dans les textes, mais il est parfait difficile d’associer les textes aux photos, pour des amateurs comme moi.
· · 18 mai 2024 à 22 h 04 min