La Rassemblement de Pignerolle de Février a dû s’adapter au dernier moment !

Publié le par Henri Auriacombe

La Rassemblement de Pignerolle de Février a dû s’adapter au dernier moment !

Ce Dimanche 7 Février le rassemblement du château de Pignerolle à côté d’Angers était plus que particulier… Une surprise de dernière minute a tout chamboulé !

C’était la panique en arrivant ! Les bornes rétractables étaient restées en position haute. Du coup aucun véhicule ancien ne pouvait accéder au château… Pas de chance, cette fois c’était une belle affluence qui se dessinait. La queue de véhicules anciens s’est vite allongée, les autos se garant où elles pouvaient.

Certains empiétaient sur les pelouses, oubliant simplement que c’est ce genre d’incivilités qui met en péril le rassemblement, puisque c’est la cause principale de la fermeture du site…

Pour autant le parking, d’habitude dédié aux visiteurs, et l’allée ont accueilli les anciennes. Peu de collectionneur ont fait demi-tour et les coffres se sont ouverts pour sortir cafés, galettes… ou huîtres !

Mais de notre côté nous allons admirer les autos. On commence par les américaines. Les habituelles Mustang et Corvette sont au rendez-vous. Pour le coup elles sont complétées par une Studebaker, marque très bien implantée localement (via le club), mais aussi par plusieurs Dodge dont une remarquée Viper.

Les Japonaises sont forcément plus rares et on retrouve deux des six Figaro que compte le département du Maine-et-Loire ainsi qu’une Honda S800 et une Mazda MX5.

On passe ensuite aux anglaises avec Mini, Jaguar, Lotus Elise et Europe ou encore Triumph Spitfire, TR3A et TR4A.

Les allemandes étaient peu représentées avec une belle des Porsche 356, 944 et 911, plus des Mercedes et BMW.

Même chose pour les italiennes. Le classique coupé Bertone était complété par une Fiat 1500 Cabriolet et deux Youngs : une Alfa 75 Turbo Evoluzione et une Fiat Ritmo Abarth.

Mais c’étaient les françaises qui étaient les plus nombreuses. Les populaires logiquement nombreuses étaient des Renault 4, Caravelle, Peugeot 404, 504, 304, 604, Simca 8, Aronde ou Vedette, Citroën Traction, etc. Du côté des jeunettes, on retrouvait une Fuego ou une R5 Alpine Turbo.

Plusieurs autos plus originales étaient présentes. On notait ainsi la PGO Hemera et à l’opposé de la pyramide des âges, une Talbot Lago T26. Et puis ajoutez une Renault Rodéo et une René Bonnet Djet pour avoir un panorama complet !

Évidemment il ne faudrait pas oublier les quelques motos anciennes venues se faire admirer. On notera en particulier les NSU, chères au regretté Louis Meznarie.

Évidemment, au delà des autos, le sujet principal des conversation restait le lieu même du rassemblement. Avec les problèmes qui s’accumulent, le rassemblement de Pignerolle est en danger… alors qu’il est particulièrement ancien ! Que va-t-il se passer le mois prochain ? Mystère.

Henri Auriacombe

Henri Auriacombe a rejoint l'équipe de News d'Anciennes à l'été 2019. Belle occupation de retraite pour un photographe de presse dont la carrière a commencé en 1966 !

Commentaires

  1. Maugin

    Bonjour
    Effectivement il est de plus en plus compliqué de se réunir à Pignerolles. Il m est arrivé de faire demi tour avec mon ancienne. Il faut envisager un autre site. Celui du lac de maine avec ses grands parkings pourrait convenir après accord de la Municipalité bien sûr. Il y a t’il un ou des organisateurs de ce rassemblement de pignerolles à contacter ?
    Pierre M

    Répondre · · 9 février 2021 à 10 h 52 min

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