Raid Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, à la recherche du puits qui embellit le désert

Vous aurez surement reconnu l’allusion à la lecture de ce titre et les mots du Petit Prince de St-Exupéry : « Ce qui embellit le désert, c’est qu’il cache un puits quelque part… »

Pour ma troisième participation à ce raid (les articles sont par ici), j’ai réalisé lors du Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 que cette aventure, imaginée par Yann Duffillot en 2009, est la quête de ce puits, de cet instant où, au milieu d’une vie de routine, on vient se désaltérer et se ressourcer, et on repart heureux affronter notre quotidien.

Encore une fois, cette édition a été riche en rencontres, en aventure humaine, en diversité tant humaine que mécanique, et que des paysages traversés. Retour sur cette aventure.

Le parcours du Babyboomer’s Adventure Maroc 2025

Pour la deuxième année depuis sa création, le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 nous emmène de Mohammedia, ville côtière située à la sortie Nord de Casablanca, en direction de Rabat, à Marrakech.

Ainsi, le parcours croisera les pistes du Haut Atlas pour partir au Sud-Est vers les dunes de Erfoud et Merzouga, puis remontera via l’Anti-Atlas et de nouveau le Haut Atlas jusqu’à la ville qui servit de cadre au film de Verneuil en 1964 : « Cent mille dollars au soleil ».

Un mélange idéal de terrains avec des ascensions jusqu’à 2000 mètres d’altitude, des traversées d’oueds et d’étendues sableuses. Les routes empruntées proposent un goudron encore frais ou sont tout juste stabilisées, car le réseau routier marocain se développe toujours à grande vitesse. Le roadbook nous emmène également sur de vieilles roupistes, pour reprendre ce terme cher à Yann, mais aussi sur des pistes rapides, piégeuses, roulantes, cassantes, pierreuses, techniques, défoncées… Et souvent un peu tout à la fois !

Sans oublier les cordons de grandes dunes que nous longeons sans oser les attaquer vraiment, mais qui laissent à leur pied des bacs à sable tout aussi piégeux qu’il faut apprendre à lire et à déchiffrer en un instant pour ne pas s’enliser.

Et même si certaines zones ont déjà été empruntées lors de précédentes éditions, les passer en sens inverse leur apporte tout le piment de la nouveauté, et parfois même, les conditions climatiques de l’année qui a précédé ont modifié le terrain de telle manière que la piste doit être appréhendée avec la même attention qu’un nouveau tracé.

En bref, le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 a réservé son lot de surprises, mais surtout d’extases devant des paysages à couper le souffle, révélant une nouvelle facette à chaque tour de roue.

Un rappel des « Dakar d’Antan »

Faire passer des 2 roues motrices du siècle dernier sur des pistes improbables, c’était le pari de Yann quand il a imaginé le Babyboomer’s Adventure Maroc. Ce raid, sans compétition, est une manière de rendre hommage à ces équipages qui ont affronté l’Afrique dans les années 70-80, à ces « poireaux » (plantés dans le sable) des premiers Paris-Dakar du temps de Thierry Sabine.

Et le plus souvent, ceux-ci arrivaient avec des voitures, certes modifiées et préparées, mais en 2 roues motrices, les 4×4 de grande diffusion n’étant pas pléthore à cette époque. Un âge d’or où des 404, des 504, des DS, des CX, des Tractions et même une Renault KZ des années 30 ont pris le départ, et où une 4L Sinpar (c’est par ici) avait bien failli gagner en 1980.

Une histoire que Jeff, qui a touché du doigt le sable de sa passion pour la première fois lors de ce Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, connaît sur le bout des doigts. Tant qu’il est aujourd’hui la référence légitime de ces années Thierry Sabine.

Outre le site Dakardantan.com, créé notamment avec Yann Duffillot et José Lourseau, qui recense classements, photos et articles relatifs aux Dakar de 1978 à 1985, Jeff est aussi admin de la page facebook Dakardantan, forte de plus de 35000 membres, véritable bible tant il est fourni en échanges de photographies d’époque, d’anecdotes et de petites histoires qui ont fait la grande.

Et c’est à bord d’une Lancia Fulvia 1.3S Safari équipée du fameux V4 Lancia, préparée pour la piste et venue sur le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 pour en tester la fiabilité et la viabilité des solutions techniques mises en oeuvres, que Jeff est passé de derrière son clavier à derrière le road-book, avec un certain succès, puisque les erreurs de navigation ont été plus que rares.

Les deux-roues motrices (2RM) en force

Une philosophie

Pour respecter au maximum la philosophie du Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, et bien que les 4×4 sont les bienvenus pour jouer à fond la solidarité, véritable ADN de ce raid, la priorité est donnée aux inscriptions de 2RM.

Patrick Mitchell, Pat, coéquipier de Yann sur le Dakar et d’autres rallyes-raids avait en juillet 2024 lancé un défi aux participants :

« Faire le BBA MAROC autrement qu’en berline 2 roues motrices, ça je ne le conçois pas car où serait l’adrénaline devant les difficultés des pistes sablonneuses ou à grosses pierres, et la joie d’être passé malgré tout ? Une berline 2RM un tant soit peu préparée passe pratiquement partout où les 4×4 s’aventurent, la conduite est différente, c’est tout. »

« Cette année 2024 a été l’édition la plus difficile des trois dernières, y participant toujours avec ma LADA 2107, une 2RM, dont le rapport poids puissance de 900kg pour 77ch n’est pas extraordinaire, mais avec une préparation portant sur la garde au sol, la protection inférieure et des pneus camionnette (flancs renforcés à 8 plis). Mon plaisir a été total me jouant des pierres et surfant sur les dunes de sable, plaisir inconnu en 4×4 à cause du poids. [Avec 3 autres équipages], nous avons avons relevé le défi ! [Pour le Babyboomer’s Adventure 2025], à qui le tour ?« 

Patrick Mitchell – post facebook du 3 juillet 2024

Et force est de constater que l’édition 2025 était riche en 2RM et autres voitures plates, terme souvent utilisé pour opposer les petits 4×4, incapables de tracter une auto ensablée, aux gros franchisseurs.

Forces en présence

Sur les 36 inscrits, nous avons déjà parlé de la Fulvia, véritable petit bijou, et de la Lada 2107 de Pat, chacune seule représentante 2RM de sa marque. Mais c’est Peugeot qui a été le plus représenté. A tout seigneur tout honneur, on commence par les deux « Reines d’Afrique », les fameuses 504 en 2.0 litres, l’une en version carbu et l’autre, à la carrosserie décorée d’un superbe dessin, injection. Elles étaient accompagnées par deux 405 SRI largement rehaussées et chaussées et d’une 206 HDI 2.0 aux couleurs WRC et la plus récente des anciennes, dont l’année modèle était limitée à 2000.

Vient ensuite Citroën, avec non moins de 4 autos : une XM série 2 2.5 Turbo D, deux BX 19 4×4, ces fameuses plates, l’une berline et l’autre break, et la petite ZX Flash 1.4i, arborant les couleurs de News d’Ancienne et au rapport poids puissance proche de celui de la Lada 2107.

Pour finir avec les françaises, Renault n’avait qu’un unique représentant : un valeureux Kangoo 4×4 très proche de l’origine, hors protections requises dessous de caisse et de protège carter, qui s’est aussi joué des pièges et difficultés en préservant sa mécanique. Il a pourtant mis un genou à terre, faute à un alternateur qui n’a pas tenu le choc. Les pistes sont impitoyables !

Pour rester dans les petits 4×4, la Bip-bip Panda était vaillante fidèle au poste sur ce Babyboomer’s Adventure Maroc 2025. Une déco fraiche et sympa, un pilote aussi truculent que sa copilote est discrète, ils n’en sont pas à leur premier raid et l’expérience a parlé : mécanique simple, conduite assurée, elle est plutôt bien passée, notamment dans le sable où son poids et sa transmission en font une arme redoutable !

Et puis les deux OVNI du Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 qui pourraient être être le titre d’une fable de la Fontaine : la brique et la coccinelle. Deux philosophies opposées, mais deux franchisseuses hors pair, l’une d’elle étant tout de même beaucoup mieux dotée pour la route, notamment en terme de consommation et de confort. Vous aurez bien entendu reconnu ces deux autos : la brique, c’est bien entendu une Volvo et la coccinelle vient de chez Volkswagen.

Mais autant la Volvo 145 DL, familiale 7 places dont deux dos à la route dans le coffre (nous avions essayé une 144, très proche, et c’est par ici), était très proche de l’origine et a gardé ses enjoliveurs chromés tout au long du parcours, même s’ils étaient un peu cabossés à la fin, autant la Cox avait été profondément modifiée, inspirée des versions Baja.

Haute sur pattes, les chromes de l’échappement et du berceau moteur scintillants au soleil, une galerie bien utile pour ne pas encombrer l’espace intérieur déjà réduit avec les roues de secours et les plaques de désensablement, cette version a une sacrée gueule qui la rapproche d’un buggy. Son plus gros défaut, la gourmandise avec plus de 15 litres aux 100 km, elle était de loin l’insecte le plus assoiffé que nous ayons croisé lors du Babyboomer’s Adventure 2025 !

Les 4×4

Là encore, on trouve deux catégories de voitures sur le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025. les gros et les petits 4×4, trop gros et avec de fortes capacités de franchissement pour être encore catégorisés comme des « voitures plates ». C’est le cas notamment des Lada Niva, venus nombreux, en motorisations variées essence et diesel. Le problème avec le Niva, c’est qu’il est difficile d’en déterminer l’âge puisque l’auto n’a que très peu évolué esthétiquement et en conception depuis sa sortie en 1977. Pour l’anecdote, c’est la seule voiture dont le malus écologique est 3 fois supérieur au prix de la voiture, soit une voiture qui coûte environ 20000€ pour un malus de 66000€ en 2025.

Dans cette catégorie, était inscrit celui qui a inventé le créneau du Sport Utility Vehicle, le premier SUV : le toyota RAV4. Puissance, confort, robustesse et aucun dommage pour ce mini Toy qui a su déjouer tous les pièges.

Côté Jeep, une ancienne et une récente. toutes deux ayant subi un minimum de modifications. La Jeep Wrangler YJ 2.5i, qui reste encore un petit 4×4 à l’aise sur tous les terrains mais un peu limite pour jouer les Saint-Bernard du désert, et un gros Cherokee KK 2.8 CRD 16V, fort de 200 chevaux et capable, lui, de désensabler n’importe quelle 2RM.

Côté gros 4×4 et baroudeurs, l’évidence est respectée sur le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 et on retrouve plusieurs Toyota, séries HDJ/KDJ, du KDJ 80 au KZJ 120, mais aussi un Patrol GR Y61. Increvables, ils ont été les bons samaritains qui ont aidé les 2RM dans les parties les plus sableuses.

Deux 505 Dangel ont également montré leurs muscles dans les passages où leur motricité et leur garde au sol étaient d’indéniables atouts, mais cela ne les a pas empêché d’avoir quelques soucis de fiabilité, qui ne les ont pas empêché de boucler la boucle en France.

Également au nombre de deux, ces 4×4 aux noms mythiques n’ont pas usurpé leur renommée. J’évoque bien sûr le Land-Rover Defender châssis court et les Toyota Land Cruiser J7 BJ71. Des machines dont l’efficacité est intimement liée à leurs pilotes, puisqu’elles sont objectivement des horreurs à conduire, mais une fois débourrés par leurs cavaliers, elles les emmèneront au bout du monde, et sans la moindre métaphore !

Galères, rencontres et paysages

Le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, c’est avant tout une aventure humaine, solidaire, à partager comme un bon tagine, brûlant dans son plat éponyme en terre cuite, épicé à souhait et concocté pour être dégusté avec les 5 sens en éveil, le cœur aux aguets.

Une orga à toute épreuve face aux galères

Et « l’orga » n’est pas étrangère à cette ambiance. Déjà, en amont, depuis les inscriptions où des informations sont arrivées en temps voulus quant aux réservations, mais aussi aux impératifs de préparation des véhicules, et aux différents conseils tant aux novices qu’aux engagés plus expérimentés.

Pendant le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, l’orga nous a gratifié d’un road-book comme une partition sans fausse note, d’un briefing matinal quotidien réglé et parfaitement orchestré, d’une omniprésence rassurante sur la piste et à chaque halte, et d’une assistance mécanique compétente. Sans oublier ceux que l’on appelle affectueusement les charognards, qui rentrent les derniers avec les brebis égarées ou amochées, mais ne laissent personne sur le carreau. Et puis charognard, c’est quand même plus approprié dans le sable que « voiture balais » !

L’assistance technique

Sur le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, on parle bien d’assistance : chacun est responsable de sa voiture et des interventions à réaliser le cas échéant, mais l’équipe mécanique aide chacun grâce à un camion atelier doté d’équipements et d’outillages trop lourds ou volumineux pour être embarqués. De véritables tout-terrains des interventions mécaniques ou électriques sur n’importe quelle auto.

Mais pour les interventions les plus lourdes, ou les réparations quotidiennes de pneus, c’est avec les garages locaux de la ville étape qu’il faut gérer. Une opportunité de prendre contact avec les marocains et faire tourner l’économie du pays.

Parfois, ce sont ces garagistes qui viennent sur le parking, comme lors d’une intervention de changement de pompe à essence sur la Jeep YJ où deux miracles se sont produits pour qu’elle soit au départ le lendemain matin. Premier miracle : une pompe à essence neuve du modèle a été dégotée dans l’après-midi quelque part ailleurs au Maroc. Second miracle, elle est arrivée en milieu de soirée pour être installée et fonctionnelle, à la lueur de frontales. Toutes n’ont pas cette chance, comme le Kangoo avec son alternateur ou la 504 carbu avec des joints de pont difficiles à trouver, l’auto, même au Maroc, se faisant de plus en plus rare.

La sécurité avant tout

L’autre point sur lequel l’équipe de bénévoles autour de Didier Bonnet a été irréprochable pour ce Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 , c’est sur le plan de la sécurité.

Outre l’équipement de chaque voiture avec une balise Owaka qui permet de limiter les grosses erreurs de lecture du road-book, l’orga n’a pas hésité à annuler l’étape de nuit pour cause de piste détrempée du fait d’orage récents violents, d’apporter des modifications de trajet ponctuelles là encore pour cause d’impondérables sociaux, comme les manifestations du 1er Mai, ou climatiques qui ont notamment empêché les engagés d’aller saluer Yann pour cause d’inondation.

Enfin, une tempête de sable et la disparition de certains repères mentionnés au road-book ont imposé un arrêt de l’étape en direction de Merzouga pour éviter un jardinage excessif et des divagations tardives avant un arrivée à la halte du jour. C’est donc en convoi, dans un sable changeant tantôt plus dur, tantôt plus mou que toutes les autos ont été ramenées sans encombre à l’hôtel.

Et comme souvent, si les aléas font partie du jeu et sont inévitables, c’est leur gestion qui fait la différence entre une organisation efficace et une moins pro. Et il faut le reconnaître : l’orga du Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 était rassurante et sans faille.

Des paysages à couper le souffle

C’est certain, le désert reste le désert et c’est l’appel de cette mer de sable qui en motive beaucoup à prendre le départ, pour une première participation. Mais derrière la carte postale, il découvre la myriade de paysages offerte par le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025.

Des montagnes insoupçonnées aux étendues où ne poussent que des cailloux, chaque kilomètre parcouru est plus envoûtant que le précédent. Sans compter les oasis où chaque soir nous faisions halte.

Des montagnes insoupçonnées aux étendues où ne poussent que des cailloux, chaque kilomètre parcouru est plus envoûtant que le précédent. Sans compter les oasis où chaque soir nous faisions halte.

Au cœur de l’orage, à l’entrée du cirque de Jaffar, une pause était organisée sous une tente berbère (ou plus précisément Amazigh qui signifie « homme libre ») avec du thé et des gâteaux, de quoi réchauffer les corps et laisser refroidir les moteurs.

Lors de ce Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, et comme à chaque fois, je suis fasciné par ce peuple marocain vivant loin des villes. On roule au creux d’une étendue sans limite, où l’on ne voit que du sable et quelques végétaux, mais où, dès que l’on stoppe, ensablé ou non, on voit sortir de nulle part des enfants qui réclament aujourd’hui plus souvent des stylos que des bonbons (ce qui est une bonne chose), ou une moto dont le pilote propose, ou plutôt impose son aide, souvent positive compte tenu de sa connaissance du terrain…

Pourquoi choisir le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 ?

Les compétitions et raids au Maroc pour français et européens en manque d’aventure, de sable et de chaleur sont assez nombreux et j’avoue qu’il faut parfois faire des choix. Si certains, comme le 4L Trophy, sont limités aux plus jeunes, d’autres sont plus ouverts. Mais les épreuves monotype, en 205, Twingo, Golf, sont par définition limitantes en terme de diversité qui ne peut être que mécanique. De plus, beaucoup de ces raids imposent de dormir en bivouac, ou de vivre coupé des populations.

Et c’est l’émulsion que le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025, ainsi que les précédents et les futurs, a su stabiliser : s’ouvrir à toute voiture d’avant 2000, ne pas imposer de limite d’âge, résider en hôtel pour se reposer et profiter au maximum des journées, fonctionner avec des bénévoles pour contenir le tarif dans un rapport qualité-prix imbattable…

Et puis son petit plus, sa tradition qui consolide les liens entre participants : le légendaire apéro-capot. A 19 heures-zéro-zéro, les capots qui le peuvent se débarrassent des outils pour laisser place à de quoi grignoter et boire (oui, bon, toujours avec modération), et plus encore : échanger sur le ressenti du jour, partager les moments de stress mais aussi les petites-grandes victoires. Resserrer les liens.

Et puis un grand merci aux photographes officiel, Arnaud et Lucas Delmas-Marsalet dont voici un échantillon des compositions :

Ils ont aussi fourni des voitures à l’Orga, notamment celle de Didier Bonnet. Le Toyota est resté dans sa livrée du Dakar Classic 2025, où 25% du Top 20 de l’épreuve a été occupé par les voitures de la Compagnie Saharienne.

En conclusion, quand est-ce qu’on repart ?

Le Babyboomer’s Adventure Maroc 2025 est terminé. Les étapes et les hôtels du Babyboomer’s Adventure Maroc 2026 sont déjà planifiés… Alors à vos agendas, direction les petites annonces pour trouver votre monture, et c’est parti pour une année de réflexion pour la préparer, qui s’achèvera par 15 jours d’aventure, car il ne faut pas oublier que la voiture doit être capable d’affronter les pistes qui ne représentent qu’un tiers de la distance totale qui sera à parcourir !

On finit par la traditionnelle galerie pour attendre l’année prochaine !