Les Supercars d’hier et d’aujourd’hui en vedette à Autoworld

Quelques semaines après notre visite complète du musée, c’est à voir ici, on y retourne pour se concentrer uniquement sur l’exposition temporaire. Cette fois, ce sont des autos très sportives qui sont à l’honneur : les Supercars et c’est Eric qui nous plonge dans l’expo.

Supercars 2 – Road vs Race Edition

C’est le nom de cette exposition. Pourquoi le 2 ? Parce qu’on avait déjà trouvé une exposition temporaire dédiée aux supercars à la même époque l’an dernier. Pour autant, ce sont 50 autres voitures qui sont exposées sur la mezzanine du musée bruxellois.

Cette fois, on expose des voitures sportives de toutes époques, mais aussi des voitures franchement dédiée à la course… et leurs dérivés homologués ! Un gros mélange de cylindrées énormes et de performances !

Encore une fois, bravo au musée qui a réussi à se faire prêter de sacrés morceaux d’histoire !

Les berlines !

Dès le bas du musée, on affiche les couleurs. Oui, on va présenter des Supercars, mais ce ne sera pas que des coupés ! Ainsi on retrouve une BMW M5 E34, une Audi RS2, une Lancia Thema 8.32 et une Opel Omega Lotus.

Quand on arrive sur la mezzanine, il y en a d’autres. Cœurs italiens pour les Maserati Quattroporte et Citroën SM Opera. Robe italienne et cœurs américains pour l’Iso Rivolta Fidia et la De Tomaso Deauville. Et puis on retrouve aussi les Aston Martin, d’abord une Lagonda, mais également une plus récente Rapide.

Les anciennes

Forcément pour un musée, on retrouve beaucoup de belles anciennes. Ce sont les supercars de leur époque et on retrouve donc de sacrés morceaux. Mercedes-Benz 300 SL Papillon, Aston Martin DB4 GT, 911 Carrera RS illustrent les Supercars, anciennes, de route.

Côté protos, peut-être LA voiture de cette expo, la Mercedes-Benz C111 Type II. Cette auto de 1970 n’utilise pas trois, comme la première, mais quatre rotors Wankel ! Elle sera modifiée en 1976 pour établir des records avec un moteur… diesel !

Deux autres autos attirent des regards. Ce sont deux Groupe B, mais de route. De vraies supercars en fait. La première, rouge, est une Audi Quattro S1. La seconde est un peu moins connue, il s’agit d’une Ford RS200.

Enfin on retrouve les fameux duos qu’on nous avait promis. Ces duos sont donc composés d’une auto ancienne, de route, et d’une auto de course. Commençons par l’Italie, avec un duo de Ferrari 512 BB jaunes qui tranche avec les Alfa Romeo SZ rouges.

Et puis on trouve aussi des allemandes avec trois trios. D’abord, celui des BMW 3.0 avant d’enchaîner sur d’autres Bavaroises, les BMW M1. Ensuite on retrouve des autos plus récentes, la quintessence des autos de tourisme avec une Mercedes-Benz 190 E EvoII et sa version de course, gagnante en DTM. Rien que ça !

Les modernes

Forcément, on trouve beaucoup de moderne dans cette expo. Mais certaines lignes et certains noms renvoient aux anciennes. Quelques exemples ?

D’abord avec des Porsche. La présence d’une 935 est complétée par la « nouvelle » 935 construite à 77 exemplaires en 2019. Ensuite on retrouve la Kimera RVO37, un restomod avec cellule centrale de Montecarlo (comme la Lancia 037) et moteur 4 cylindres Volumex… comme à l’origine ! L’Aston Martin V12 Speedster évoque, elle, la DBR1.

On retrouve ensuite une TVR Sagaris, une KTM X-Bow (lire cross-bow) GT, des Lambo, des Bentley…

On retrouve aussi plusieurs, et c’est ça qui est étonnant, création de Touring. Pas de l’ancien Touring, mais des créations récentes, des one-off pour la plupart, réalisées sur la base de sportives italiennes actuelles.

On a fait le tour. Mais le mieux, c’est certainement de vous y rendre ! C’est donc à Bruxelles jusqu’au 29 Janvier ! On se quitte avec quelques photos supplémentaires de l’ami Eric.

Toutes les infos sur le musée, c’est par ici.