Le Mans Classic 2023 : les moments marquants de l’équipe

Publié le par Benjamin

Le Mans Classic 2023 : les moments marquants de l’équipe

L’événement commence à être vraiment derrière nous… mais toujours dans nos têtes. Alors l’équipe de News d’Anciennes vous replonge dans Le Mans Classic 2023 avec les moments qui nous ont marqué.

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Dorian : La Nuit

Un de mes moment marquant de cette édition du Mans Classic fut pour moi la nuit, plus particulièrement celle de samedi soir. Après un coucher de soleil qui resta incertain quasiment jusqu’au dernier moment, la nuit tomba progressivement sur le circuit, coïncidant avec le départ du plateau 5.

La nuit, il y a une ambiance spéciale sur le circuit, les phares éclairent la pénombre et la sonorité des voitures se fait bien entendre sur un circuit devenu plus calme en raison d’une foule moins présente. Placé au début au niveau de la chicane Dunlop, c’est l’endroit idéal pour être témoin des freins rougissant ou des flammes sortant des échappements des autos à la décélération. Et des flammes je vais en voir, puisque que quelques instants seulement après le départ de la course le moteur d’une Lotus Europa Type 47 pris feu juste devant moi ! Le pilote arrive heureusement à s’extraire rapidement de son auto et à mettre fin à l’incendie.

Une descente vers la chicane Ford et le virage du raccordement m’a permis de profiter des voitures du plateaux 6, elles aussi pas avares de flammes! Je finis ma soirée en faisant un rapide saut dans les paddocks, beaucoup plus calme qu’en journée, où les mécaniciens restent éveillé afin de préparer les autos pour les courses durant le restant de la nuit.

Benjamin : coucher et lever de soleil

Finalement je reprends aussi ce moment particulier du Samedi soir mais j’ajoute aussi le Dimanche matin. Cette édition du Mans Classic était particulière puisque cette fois je me retrouvais à vous proposer des vidéos. Entre les nombreux tournages, le montage et les diffusions, je n’ai finalement pas passé tant de temps que ça en bord de piste.

Samedi soir, justement, la vidéo est diffusée. On rentre au camping ? Non, on va profiter. Je prend donc la direction de la chicane Dunlop pour assister au passage du plateau 4. C’est la première fois de ce Le Mans Classic que j’arrive en bord de piste et le spectacle est somptueux. Les Ford GT40 sont à l’attaque tandis que derrière elles, le soleil se couche. C’est superbe mais je ne prends pas de photos et je me concentre sur la vidéo (c’est pour ça que j’utilise celles des copains).

Même chose quelques minutes plus tard avec le plateau 5 que j’admire depuis la chicane du raccordement. Un bel endroit pour admirer les flammes sortant des échappements des M1, des Porsche ou même des Lola T70 et autres Pantera.

Après une courte nuit, je remet ça. C’est mon rituel du Mans Classic avec un lever de soleil du côté d’Indianapolis. Encore une fois, pas de photos mais des vidéos. L’ambiance est calme et sereine. Les plateaux 5 et 6 nous régalent encore de quelques flammes avant que le Groupe C ne finisse de réveiller tout le monde avec des sons magnifiques.

Paul : Saturday Night Fever

Cette édition 2023 du Mans Classic nous en aura une nouvelle fois mis plein les yeux, que ce soit par les autos présentes, le public et les clubs venus en masse ou encore les différentes célébrations du centenaire des 24h du mans. Ce fut un régal du début a la fin, mais s’il me fallait choisir un moment précis durant ce long week-end, ce serait le samedi soir, où en longeant la piste pour réalisés divers clichés, j’ai découvert un autre visage du circuit et du Mans Classic.

Le public encore présent dans les tribunes à la tombée de la nuit, les autos qui maintiennent un rythme effréné nous offrant un spectacle rare et exceptionnel. Une ambiance qui nous accompagne tout au long de la nuit, même lorsque l’on se retrouve à l’autre bout du circuit à 5 heures du matin au virage Arnage ou le public est toujours présent. Cette édition était sans nul doute l’une des meilleures.

Vincent : Demain dès l’aube, à Arnage

Entre les parades, les expositions et surtout les courses, Le Mans Classic 2023 regorgeait d’instants tous aussi mémorables les uns que les autres. Mais s’il y a bien un moment que je préfère au Mans, c’est lorsque le jour pointe le bout de son nez. La nuit est toujours un spectacle à part, mais en tant que photographe, c’est au petit matin que je peux le plus en profiter.

Avec Benjamin, Bertrand, Gaëtan et Louis, nous profitons donc du dimanche matin pour aller à Arnage. Après trois jours où l’épuisement est tant physique que mental à force de marcher des kilomètres le long des pistes pour produire de belles images, le poids de la fatigue se ressent un peu plus à chaque instant. Pourtant, après m’être difficilement arraché d’un sommeil où chaque minute est réparatrice, le plateau 5 se fait entendre au loin. Déjà ? Le retard accumulé sur le programme de la veille a été rattrapé dans la nuit. Le réveil est aussi difficile puisqu’il sonne également le dernier jour de ce fabuleux événement.

Au Mans Classic, les premières lueurs du soleil débutent vers 5h20 dans une teinte bleutée. A mon niveau, je dois chercher les puits de lumières artificielles sur la piste pour réussir à prendre quelques photos correctes. A cette heure et avec des yeux ouverts comme les miens, heureusement que je ne paie pas la pellicule… Pourtant, je scrute la nuit à la recherche des petites flammèches et des freins rougissants des Ford GT 40.

Après un court interlude, la course reprend avec le plateau 6. Cette nouvelle manche se montre plus brutale encore que la précédente. En plissant les yeux, je peux apercevoir les Porsche à l’attaque qui terminent sur trois pattes. Stationné derrière les piles de pneus, je choisis minutieusement ma position, pas tant pour le cadrage mais surtout en fonction des trajectoires des bolides car parfois les pneus crissent et la moindre hésitation du pilote peut se payer sur le rail. La lumière se réchauffe vite et son intensité croît peu à peu.

Lorsque les Group C envahissent la piste, le jour est enfin levé mais très rapidement le drapeau jaune tombe pour le reste de la course. Les batailles disparaissent laissant rapidement place aux premières générations de voitures au Mans avec le plateau 1. Au bout de 3h, il faut partir, 3h qui passent à une vitesse folle, tant le spectacle et la lumière changent. C’est ça la magie du Mans.

Bertrand : Benjafield’s, les Bentley boys sont de retour !

Pour ses 100 ans, le Mans se devait d’accueillir un plateau spécial Bentley ! Ceci pour deux raisons majeures, déjà ne dit-on pas que les 24 du Mans sont le jardin des Anglais et surtout la marque y a triomphé rien que cinq fois en 24, 27, 28, 29 et 30. Avec, excusez du peu, un quadruplé en 29 et un doublé en 30. Sachant qu’en 1923, la seule Bentley engagée finie au pied du podium, soit en 4ᵉ place. 

La marque cumule les records, car elle quitte les 24h en 1930 pour y revenir en 2001, pour y gagner en 2003 avec un doublé.

Pour ce LMC 2023, c’est donc près de 75 autos qui sont réunies sous la bannière du Benjafield’s Racing Club pour un plateau rien que pour elles. Du nom du Docteur Dudley Benjafield, qui était un Bentley Boys originels, avec un tableau de chasse impressionnant, 7 participations consécutives, dont 6 sur des Bentley d’usine et cerise sur le pudding, une victoire en 1927. Ce club est constitué au début des années 90 et regroupe un grand nombre d’autos de la marque.

Partit de Londres et par la route, c’est en quasi-procession que les voitures sont parvenues sur les terres Sarthoises. 

Sur la piste, les descendants des Bentley boys s’en sont donnés à cœur joie, quel plaisir de voir ces Speed six, des 3L et des 4,5 l,  rouler majestueusement sur le grand circuit. Et gage de qualité, le grand Ettore Bugatti, pourtant avare de gentillesse, n’a-t-il pas dit que c’étaient les camions les plus rapides du monde ?

Pierre : Le samedi matin

Cette année a pris une tournure très différente de d’habitude en ce qui me concerne. Pour la première fois depuis 2016, je n’étais pas physiquement présent au Mans Classic, ce qui ne m’a pas empêché de participer à l’aventure, bien au contraire !

Mes collègues ont dû me supporter tout le week-end, à réclamer des photos pour illustrer les articles que nous vous préparions au quotidien. Et, grâce à Peter Auto, il m’était possible de suivre l’événement en direct durant une bonne partie du week-end, retransmis sur YouTube.

Cela m’a permis de les tenir informés de la situation un peu complexe du Samedi matin. Une situation qui allait en fait retarder toute la journée ! Les ERL en piste ont du affronter… la pluie ! Pas idéal pour des voitures capricieuses parties en piste en slick ! Résultat : drapeau rouge !

De fait, la suite de la matinée a suivi son cours mais il était compliqué de trouver les photos prévues pour illustrer les articles ! Les autres courses supports étaient en retard et l’après-midi j’aurais dû attendre des photos des départs Le Mans… qui ne viendront pas à l’exception du plateau 1 ! Bref, un suivi à distance, mais pas sans visibilité, du moins tant que mes camarades étaient de retour à temps en salle de presse pour les photos !

Jacques : Le camping du Houx

Un lieu magique lors de chacune des éditions du Mans Classic. Il est réservé aux concurrents et à leurs équipes et est toujours plein de surprises agréables. Il est librement accessible au public. Lors d’une simple traversée de ce lieu, j’ai pu faire quelques belles rencontres.

Tout d’abord, je me trouve devant une Cobra chargée d’histoire : 645 CGT (châssis 2142). Il s’agit de l’une des trois voitures de l’usine engagées par Ford et Shelby sous la direction de Ed Hugus au Mans en 1963 où elle abandonne après 25 tours, disqualifiée pour avoir refait le plein d’huile. Vendue à Ford France, Jo Schlesser copiloté par Guy Ligier la conduira avec réussite au cours des saisons 64 et 65 dans divers rallyes et courses de côte.

Après une histoire assez chaotique et une première restauration par Alain Mahé, elle part en Angleterre en 2001. Remise en configuration Le Mans 1962, elle commence sa troisième vie en course historique. Elle est acquise en 2009 par le Brésilien Carlos Monteverde qui va remporter à son volant le Tour Auto 2013, avec Garry Pearson, ainsi que beaucoup d’autres réunions Peter Auto. Elle vient a à nouveau de changer de propriétaire et fait sa première sortie depuis.

Seconde rencontre avec ce splendide transporteur : Un Diamond T 509 de 1947 propulsé par un 6 cylindres en ligne de 90ch. Je n’ai pas pu, malheureusement, savoir quelle voiture il transportait.

La troisième rencontre est avec une voiture et son propriétaire. Il s’agit d’une Bentley 4.5L 1928 avec laquelle il est venu par la route depuis son domicile Britannique. Comme vous pouvez le constater, elle plus belle que neuve et il l’a bichonnait avec amour lors de notre rencontre.

Dernier arrêt devant un ensemble exceptionnel avec cette Mercedes 300 SL, son transporteur et son camion atelier, remarquables.

Alors si vous retournez au Mans classic, essayez de faire un tour dans ce jardin extraordinaire, le camping du Houx.

Louis : l’Endurance Racing Legends

Si je devais reternir un moment particulier de ce Le Mans Classic 2023, ce serait le plateau Endurance Racing Legends, des autos plus modernes que les autres (des années 1990-2000), qui ont marqué mon enfance, comme Toyota GT-One pour ses performances, la Bentley Speed 8, victorieuse en 2003, la Pescarolo C60 pour ses batailles face à Audi en 2005 et 2006… bref un large panel d’automobiles sacrées.

Une voiture a son avantage pour ma part, une Porsche (une fois de plus), la 911 GT1. Pas une GT1 mais bien deux ! Une en version Evo, cette livrée si iconique sur la carrosserie, cette ligne, cette façon de créer une voiture et de créer ensuite la même en version routière, puis sa victoire en 1998, sans oublier son décollage sur le circuit… qui reste dans les mémoires.

Ce fût une première pour moi sur le circuit de la Sarthe afin de vivre au plus près cette superbe édition de Le Mans Classic, je garde un souvenir mémorable de cet évènement, voir de très nombreux spectateurs dans les tribunes et dans les paddocks, cela prouve que la culture automobile est toujours bien présente en France.

Gaëtan : la parade des vainqueurs du Mans

Dans l’après-midi du samedi, avant d’entamer les courses et afin de fêter les 100 ans des 24h du Mans, une parade avec bon nombre de réels châssis vainqueurs de la mythique course mancelle fut organisée. Toutes classées dans un ordre chronologique de victoires, la parade fut ouverte par la magnifique Lorraine-Dietrich B3-6 de l’équipage Bloch/Rossignol. Cette auto est tout simplement le plus ancien châssis vainqueur des 24h du Mans encore roulante. C’est donc un réel pan d’histoire qui se tient devant moi.

J’ai juste le temps de faire quelques photos que les années défilent et de vrais bijoux commencent à arriver sur la grille de départ comme la Mercedes-Benz 300 SL (W194) victorieuse en 1952 ou encore la Jaguar Type D victorieuse en 1957. Se retrouver au milieu de tant de pièces d’exception est un poil déroutant, qui plus est qu’elles sont toutes dans un état plus neuf que neuf. J’ai également pu apercevoir ma première Ferrari 250 GTO (châssis 3387GT), une auto sublime aux courbes désirables.

Mais le clou du spectacle pour les amoureux de mécaniques italiennes fut sans doute l’arrivée de la Ferrari 250 P/275 P (châssis 0816) qui gagna les 24h du Mans deux années consécutives, en 1963 et 1964. A savoir que seules 5 voitures ont réussis à réaliser la passe de deux sur l’épreuve des 24h : Bentley Speed Six (1929/1930), Ford GT40 Mk I (1968/1969), Porsche 956 (1984/1985) et la Porsche-TWR WSC-95 (1996/1997). La Ford GT40 Mk II, devenue extrêmement populaire grâce au film « Le Mans 66 » sorti il y a 4 ans déjà, vint se placer juste devant la belle italienne. C’était réellement incroyable de pouvoir admirer LA vraie GT40 qui fit rentrer Ford dans l’histoire.

le mans classic 2023 best of 10-

Un peu plus loin, les trois Matra MS670 victorieuses entre 1972 et 1974 furent réunies, aux côtés de la Renault Alpine A442B victorieuse en 1978 et de la Rondeau M379B victorieuse en 1980. Ce moment fut sans doute le plus beau, intense et inoubliable de ces 24h du Mans Classic 2023 pour moi car non seulement, j’avais sous les yeux la crème de la crème des voitures françaises qui ont gagné cette épreuve mythique mais aussi par le fait de pouvoir prendre en photo monsieur Henri Pescarolo assis avec son mythique casque vert dans la Matra MS670C, voiture dans laquelle il a remporté les 24h du Mans en 1974 avec Gérard Larousse. Un vrai moment indescriptible pour un passionné d’automobile.

Le bal continua avec entre autres, la plus chère à mes yeux, la Porsche 917K victorieuse en 1970, qui ouvra le compteur de victoires pour la marque Allemande, avec la mythique livrée de l’équipe Porsche KG Salzburg. Pour le début de la grille, ce sont mes premiers émois automobiles qui remontèrent soudain. Après des journées entières passées à jouer à la console étant plus jeune, j’avais l’impression d’avoir été transporté dans Gran Turismo 4 tellement c’était fou. Mazda 787B, BMW V12 LMR, Audi R8, Bentley Speed 8, que des voitures que je m’amusais à prendre dans le jeu et que là, je pouvais enfin toucher de mes propres mains.

Cette parade fut pour moi un réel instant magique, hors du temps. Au moment d’écrire ces quelques mots ou d’éditer mes photos, je n’en reviens toujours pas. C’était surréaliste.

Bruno : Découverte du Mans Classic 2023 : Grandissime

Après mon expérience au Grand Prix de l’Age d’Or à Dijon Prenois cette année (mon article ici : l’Age d’Or
découverte du circuit
), j’ai tellement adoré les courses historiques sur Circuit que j’ai absolument voulu vivre cet événement majeur du Mans Classic 2023, qui s’annonçait « grandissime » pour le Centenaire et ce fut le cas, tant au niveau des plateaux et des courses, que de l’ambiance et des voitures de course et de collection présentes.

Alors quels sont mes principaux points d’étonnement ou de satisfaction, j’en citerais seulement trois car je dois me limiter :

  • Les courses « Nocturnes »
    Une atmosphère unique lorsque la nuit tombe, une expérience à vivre malgré la fatigue, ça fait vraiment partie de l’ambiance « le Mans »
  • Les Plateaux Avant-Guerre et leurs départs « le Mans »
    Cette année les « très » anciennes avaient droit à deux plateaux avec les Bentley du Benjafields et le Plateau 1, les seuls qui ont eu droit aux fameux départs « Le Mans » (à cause de retards dans les courses suite à la pluie et d’autres incidents), et c’est très spectaculaire.
  • Des GT de « dingue »
    Les années 50 et 60 c’était le règne des GT, et il y en avait à profusion au Mans Classic, et pour commencer des Porsche de tous poils bien sûr, de très belles Alfa Romeo

Sans oublier les prestigieuses Aston-Martin et les Mercedes 300SL.

Mais celles que j’admire le plus c’est les Ferrari de cette époque, même si je ne peux pas ajouter le son du moteur V12 Colombo aux images c’est du grand spectacle.

Je ne peux pas vous relater tout mon vécu sur ces 4 jours fabuleux, ni illustrer tous les autres véhicules passionnants et pilotes rencontrés, notamment sur certains autres plateaux peu cités, mais en Bilan je dirais que Le Mans Classic c’est vraiment un truc de « dingue », un événement à voir et à vivre absolument.

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Gougnard

    toujours d’excellents reportages merci Benjamin

    Répondre · · 25 juillet 2023 à 19 h 03 min

  2. Gregory S Millard

    Beautiful photography of an amazing cross-section of classiques!

    Répondre · · 25 juillet 2023 à 22 h 48 min

  3. Jacques AUGIER

    Bonjour , savez vous quels étaient les pilotes des deux Matra N°11 lors de la parade des vainqueurs du Mans ?

    Répondre · · 26 juillet 2023 à 9 h 22 min

  4. François Toublan

    Bonjour,
    J’ai remarqué votre phrase : seules 5 voitures ont réussi la passe de deux lors de l’épreuve des 24 heures, Bentley, Ford, Porsche (2), …
    Mais la Jaguar Type-D a réussi la passe de trois, avec :
    En 1955, Mike Hawthorn et Ivor Bueb
    En 1956, Ninian Sanderson et Ron Flockhart,
    En 1957, Ron Flockhart et Ivor Bueb
    Plusieurs exemplaires étaient d’ailleurs présents lors de ces journées cette année au Mans, mais aucune dans votre reportage photo, par ailleurs excellent.
    Il me semble utile de rappeler les faits d’armes de cette glorieuse automobile.
    Cordialement,
    François

    Répondre · · 27 juillet 2023 à 12 h 30 min

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