C’est l’été, il faut en profiter. Il faut sortir les cabriolets de leur garage et que j’en profite pour affiner ma superposition de coups de soleil (que certains appellent bronzage). Et là, voilà une belle opportunité qui se présente : un cabriolet allemand qui est forcément rare en France, vous allez comprendre. Une bête qui en impose, c’est sûr, mais que j’ai du mal à cerner avant d’en prendre le volant. Elle, c’est la Mercedes 560 SL.
Notre Mercedes 560 SL du jour
D’un point de vue automobile, on pourrait remplacer « comme le nez au milieu de la figure » par « comme du caoutchouc au milieu du pare-chocs ». Oui, on ne voit que ça. Vous l’avez compris, notre Mercedes 560 SL nous vient du pays de l’oncle Sam. Il faut dire que c’est ce marché qui était visé en priorité par la firme à l’étoile. Rappelez-vous que c’est le marché américain qui a poussé Max Hoffman puis Mercedes à créer la légendaire 300 SL, celle qui fut aussi la première de la série des « Sport Leicht », une appellation qui passa rapidement du coupé papillon aux cabriolets 190 avant d’arriver sur les Pagode.
C’est bien la Pagode qui fut remplacée par la série des SL « R107 » en 1971, série à laquelle appartient notre Mercedes 560 SL. Et il y a même un air de famille. Si, si, regardez bien !

Vous avez trouvé ? C’est en plein milieu pourtant : les R107 reprennent LA calandre des Mercedes SL, celle avec l’étoile évidée en plein centre. Pour le reste de la face avant, et même de la ligne complète, on fait place nette et on met les deux pieds dans le plat des années 70.
Finis les phares verticaux des Pagode et des autres autos de la gamme, y compris les berlines W114 qui servent de base technique. L’équipe de Karl Wilfert est celle du bureau d’étude plus que du style. On se retrouve donc avec une face avant très Mercedes… mais c’est finalement cette R107 qui introduit ce nouveau style qui sera repris par la suite. Les projecteurs deviennent rectangulaires partout dans le monde, sauf sur le fameux marché américain qui impose des projecteurs ronds. Et la réponse de Mercedes est plutôt élégante en combinant les deux solutions.
La Mercedes 560 SL apparaît en 1985 à l’occasion d’un Facelift qu’on reconnaît à l’avant avec un gros spoiler « moderne » qui alourdit un peu la ligne qui n’en demandait pas tant. On vous épargnera la description du pare-chocs avant caricatural pour s’attarder sur le long, très long capot qui cache le plus gros des atouts de notre cabriolet pour le marché américain.



Sur le profil, pas de doute, la Mercedes 560 SL est une voiture des années 70. Les roues 15″ apparues lors du rafraichissement de 1985 n’y changent rien. Entre les deux énormes pare-chocs, on retrouve des lignes tendues, presque rectilignes. Le capot est long, vu de l’avant, mais le profil montre un pare-brise bien incliné, une porte de bonne taille et une malle arrière plutôt longue qui équilibrent l’ensemble. Et il faut avouer que cette couleur blanche lui donne une certaine légèreté.
Le profil permet aussi de mettre en avant un trait bien germanique : rien ne dépasse. La capote est parfaitement logée dans son couvercle, il n’y a presque pas de relief. Voilà un autre point qui séduisait sur le marché américain.

L’arrière ? On en fait vite le tour. Les feux rainurés n’ont rien d’élégant, mais au moins sont-ils voyants. La malle est haut perchée et on retrouve au-dessus le troisième feux stop, bien mieux intégré que sur les premières versions. La jupe remonte haut, très haut. Si ça ne vous avait pas marqué sur le profil, on en profite pour vous le dire : la garde au sol de ce cabriolet est bien plus importante que celle de beaucoup de citadines !
On note toujours un disgracieux pare-chocs, dans le ton de celui de l’avant si ce n’est qu’il est encore plus enveloppant ! On termine par un gros silencieux et une double sortie d’échappement. Un apanage sportif de la Mercedes 560 SL ? Pas vraiment non.



Sous le capot : du V8
Après avoir galéré à trouver l’ouverture de capot (il faut passer sa main DANS l’étoile de calandre et pousser la languette sur le côté) on retrouve un autre trait américain de la Mercedes 560 SL : son moteur et c’est un V8.
Étonnant ? Oui et non. Oui, car les précédentes SL avaient fait appel à des 6 cylindres (300 SL et Pagode) ou un 4 cylindres (190 SL), mais là, c’est bien avec un V8 que la Série des R107 s’est lancée. Il cubait alors 3499 cm³ pour 200ch sur la 350 SL. On en a remis une couche avec la 450 SL (4520 cm³ pour 225ch) et on est même allé plus loin avec la 500 SL en 1980 (4973 cm³ et 240ch). D’accord, les V8 n’ont pas régné en maîtres : les 280 SL (1974-1985) puis 300 SL (1985-1989) ont fait appel à des 6 cylindres. Mais on ne parle là QUE des versions européennes !
Aux USA, quelle que soit l’appellation, il y a toujours eu un V8 sous le capot ! Dès 1972 les 350 SL ont eu droit au V8 de 4520 cm³ de 190ch, mais ont été renommées 450 SL en 1973. Elles ont été remplacées en 1980 par les 380 SL avec un V8 de 3839 cm³ de 155ch, un peu juste pour une auto de 1,6 tonne. Alors en 1986, on ne fait pas de chichi et on lance notre Mercedes 560 SL.
C’est l’unique modèle vendu aux USA entre 1986 et 1989. Le V8 est porté à 5549 cm³, une cylindrée qui ne sera jamais disponible en Europe. Pour autant, normes obligent, la cavalerie reste plafonnée à 227ch à 5200 tours/min.


Évidemment, côté transmission, toutes les SL vendues aux USA étaient en boîte auto. Sur notre Mercedes 560 SL, comme sur toutes les R107 d’après 1981, elle affiche quand même 4 rapports ! Sur le reste de la technique, on note des roues avant avec double triangle, un essieu arrière oscillant, des freins à disques assistés… bref, des caractéristiques qui faisaient de la Mercedes 560 SL une auto bien plus avancée que les plus gros cabriolets locaux. En fait, techniquement, le vaisseau amiral de l’étoile n’avait pas de concurrence aux Etats-Unis !
À l’intérieur : German Touch
Sous le capot, la Mercedes 560 SL a fait de l’américain pour de l’américain. Mais à l’intérieur, c’est exactement l’inverse qu’on attendait de ce gros cabriolet. Et la marque de Stuttgart l’a bien compris.

L’intérieur est propre et bien fini. Le bordeaux fait très années 80, c’est certain, surtout que le bois est également teinté ! L’assemblage est irréprochable mais on sent vite les accents teutons revenir avec la partie supérieure du tableau de bord et le volant tout de noir vêtus.
L’instrumentation est paradoxalement assez gaie. En tout cas la forme de la casquette évite le cubisme et les compteurs noirs se parent d’une petite touche de jaune bien sympathique. Le compteur de gauche sert de fourre-tout, celui du centre donne la vitesse en mph ET en km/h (il n’est pas spécifique à la Mercedes 560 SL). Celui de droite est occupé par une horloge et par un compte-tours. Sa présence est étonnante sur une auto qui n’a rien de sportif… et qui n’est disponible qu’en boîte auto ! Encore une fois, rien de spécifique sur ce compteur.
Tant qu’on est à l’intérieur, on fait le tour des équipements de notre Mercedes 560 SL. Là, c’est la classe à Dallas (vous l’avez ?). On retrouve la direction assistée, le régulateur de vitesse, la clim, un airbag, l’ABS, le rétro droit électrique. Un attirail qui ferait pâlir quelques modernes !
Sinon la sellerie est superbe, surtout pour une auto d’origine. Rien n’a bougé dans cette voiture malgré plus de 30 ans d’existence et certainement quelques milliers de miles avalés capote rabaissée. On note une dernière particularité : entre les sièges arrière et le couvre-capote (toujours aussi bien intégré il faut le rappeler), la Mercedes 560 SL ne propose QUE de la place pour les bagages mais pas de sièges… alors que c’est une 4 places et que le volume du coffre est déjà conséquent.





Au volant de la Mercedes 560 SL
C’est parti, on va aller faire un tour avec notre Mercedes 560 SL. L’installation ne pose aucun problème, tout se règle et les sièges affichent déjà un moelleux fort sympathique. La première épreuve, pour une fois, c’est de sortir du chemin de vignoble dans lequel on s’est engagé. Le moteur a démarré sans aucun souci, il faut maintenant manœuvrer. Vous aurez peut-être du mal à nous croire, mais 50m de marche arrière en Mercedes 560 SL, c’est facile. Sans capote qui gène le regard, avec deux grands rétros bien réglés, je m’y colle sans appréhension.
Par contre c’est différent au moment d’arriver au bout du chemin. On croise un chemin qui descend quand le notre était droit. Oui, je suis en train de vous dire que je commence mon essai avec 50m de marche arrière puis un croisement de pont. Même avec le Land Rover Series de la semaine dernière je n’avais pas commencé comme ça. Mais le gros cabriolet allemand s’en sort avec les honneurs, la garde au sol généreuse étant un bel allié.
Le trajet commence dans un village champenois où le gabarit de notre blanche du jour n’est pas idéal mais pas si compliqué. Il faut juste avoir en tête que le grand capot devra dépasser de nombreux stop et croisements entre les maison, et tout se passe bien. La Mercedes 560 SL fait parler son couple et sa boîte auto pour nous promener dans une douceur certaine et un silence qui est toujours étonnant quand on parle d’un V8 sous le capot. Un équivalent ? À part une Rolls, je ne vois pas. Côté direction, elle est assistée mais pas trop molle, on sait où on va.
Dernier test à faire dans un village : les suspensions. Oui, on essaye ce cabriolet germano-américain en France, pays des ânes, du moins de leur dos. Et malgré son poids plus près de l’enclume que de la plume, l’allemande avale les cassis sans sourciller.



Heureusement les villages ne sont qu’un passage entre deux villages. D’ailleurs, avant de remonter sur le côteaux d’en face, je décide de prendre une nationale plus large que ce qui m’attend pour le reste de cet essai. Objectif VMAX ? On va se calmer tout de suite. Surtout que l’axe reste limité à 80. Pour autant, je me permet ce que peu de propriétaires de Mercedes 560 SL ont jamais réalisé : appuyer de toutes mes forces sur l’accélérateur. J’ai quelques instants pour me demander ce qui m’attend. Une accélération molle mais prolongée à coup sûr. V8 + boîte auto + voiture pas du tout prévue pour ça, ça sent la déception.
Erreur, c’est une surprise. La bête ne fait que 227ch mais le couple est important. Surtout, la réputation de Mercedes dans le domaine du choix et de la gestion des boîtes auto n’est pas volée. Au lieu de monter les rapports, on grimpe dans les tours. La poussée n’a rien à voir avec une muscle car gavée aux « 4 barrel » mais elle est franche et semble sans fin. Si, il y en a une : le compteur affiche rapidement la vitesse limite de l’axe. C’est à peu près le moment où je bifurque, tant mieux sinon j’aurais eu des regrets !

Me revoilà sur des routes qui serpentent entre les vignes. Sur le papier ce n’est pas le terrain de jeu de prédilection d’une Mercedes 560 SL qu’on imagine plus sur Sunset Boulevard qu’à naviguer dans une route pas très large avec une visibilité réduite. Et bien vous savez quoi ? Je trouve que notre paquebot façon White Star Line s’en sort avec les honneurs. Je ne vais pas vous mentir en disant qu’elle aurait mangé une pure sportive à moteur arrière sur ce terrain de jeu.
Non, la Mercedes 560 SL s’adapte à ce terrain de jeu. En montée le moteur sait vous emmener et vous extraire des virages de façon prompte, tant que la boîte a pensé à tomber un rapport. En entrée de virage, seul les freins à disque vous aideront à ralentir les 1600 kg (et quelques) de la bête mais ils le feront bien. La direction assistée vous placera bien. Par contre, si vous êtes optimistes, ne comptez pas sur les suspensions pour verrouiller l’assiette. Le cabriolet allemand reste souple, peut-être trop. Vous pourrez presque vous faire des frayeurs !
En tout cas, même en jouant un peu, notre R107 est facile et, surtout, confortable. La suspension est donc souple, ça vous évitera de râler à propos de l’entretien des routes. Et puis il ne faut pas oublier qu’on reste avec une ancienne et les pneus hauts, ça aide aussi ! Ajoutez à cela une bonne étude de l’aéro qui vous permet de discuter sans être gênés par les remous, et vous avez un tableau qui plaira à beaucoup de conducteurs lassés des autos extrèmes.





Bon, la Mercedes s’en sort avec les honneurs, mais il va bien falloir la ramener… Allez, on redescend de nos coteaux et on prend les grands axes. Évidemment la 560 SL y est très à l’aise. La douceur de toutes les commandes et le moelleux général permettent d’avaler les quelques kilomètres sans problème. Même en ville elle se montre plutôt à l’aise. Il faut dire que son physique la rend visible dans la meute des citadines et SUV et qu’elle ne se laisse pas faire quand il s’agit de détaler au rond-point devant un conducteur ne connaissant pas le bon usage du clignotant.
La dernière manœuvre pour rentrer la R107 au garage n’est pas plus compliquée que ça. Je descend du cabriolet blanc avec une drôle de sensation.


Conclusion :
Il ne faut vraiment pas se fier aux apparences, à l’historique ou aux caractéristiques. Oui, la Mercedes 560 SL est un pur produit germanique pensé pour l’Amérique. Oui, ses pare-chocs sont disgracieux, son V8 est un peu juste en puissance et elle n’est dispo qu’en boîte auto. Mais ce cocktail, même s’il est peu attirant sur la carte, il a une autre saveur quand il est servi.
L’allemande est une vraie bonne surprise. À l’aise sur des terrains qui ne sont pas les siens, elle saura vous séduire. Pleine de bonne volonté et sans réel défaut, vous devrez juste vous passer de toute velléité sportive avant de vous mettre au volant. Parce que dans toutes les autres situations, vous n’aurez rien à lui reprocher.
On en profite pour faire un petit point sur l’image de notre auto du jour. Oui, une Mercedes 560 SL a l’image de voiture vieillotte, il faut dire que cette auto de 1989 a encore un physique de 1971 ! Pour autant, son image regagne quelques points quand on regarde ses nombreuses apparitions cinématographiques. Mais si, un Stetson, un costume, la même auto en rouge et un « univers impitoyaaaableu », ça vous parle !
Les plus | Les moins |
La rigueur germanique | L’image vieillotte |
L’équipement complet | Ces foutus pare-chocs US |
Le confort optimal | La lourdeur générale |
Les performances très correctes | Un peu de puissance en plus SVP |








Conduire une R107 ou carrément une Mercedes 560 SL
On va commencer doucement avec les versions européennes. Évidemment, ce sont celles que vous trouverez le plus sur notre marché national. Ainsi, vous trouverez une 280 SL, le plus petit moteur, sous les 20.000 € mais n’espérez pas de miracles concernant l’état. Les prix peuvent monter jusqu’au dessus des 30.000 €, pour ce même moteur, mais là il faudra que l’état soit irréprochable. De l’autre côté de la gamme, les 500 SL démarrent un peu plus haut et peuvent dépasser les 40-45.000 € pour des autos parfaites et restaurées. Attention, ces autos sont rares !
La Mercedes 560 SL, bien qu’elle ne soit pas européenne, reste une valeur sûre. Pourquoi ? Parce qu’elle a été énormément produite. En fait, le gros du succès de la R107 est apparu avec cette déclinaison tardive. Entre 1985 et 1989 il s’en est produit 49.347 exemplaires sur les 237.287 de la série ! Presque un quart !
Vendue surtout aux USA (mais on en trouvait aussi au Japon et en Australie), on en retrouve maintenant en Europe. D’ailleurs vous trouverez beaucoup d’annonces Belges ou Hollandaises qui suggèrent une importation récente (et des papiers français à faire par la suite).
Notre Mercedes 560 SL du jour est d’ailleurs en vente. Son prix de 28.600 € est d’ailleurs dans la fourchette basse du marché, alors que son état est très bon ! Elle est à vendre chez Asphalt Agency, vous pouvez contacter Alexandre Acha au 06.11.70.73.65.
Concernant l’entretien, la Mercedes 560 SL est une auto très très fiable. On notera sa conso qui peut sembler élevée au moment où le litre de carburant dépasse les 2€, mais sinon vous ne dépenserez pas plus que d’ordinaire pour rouler dans ce cabriolet.
Merci à Alexandre et au propriétaire de l’auto de nous avoir permis cet essai.
Fiche technique | Mercedes 560 SL |
Années | 1985-1989 |
Mécanique | |
Architecture | 8 cylindres en V |
Cylindrée | 5547 cm³ |
Alimentation | Injection mécanique |
Soupapes | 16 |
Puissance Max | 227 ch à 5200 trs/min |
Couple Max | 389 Nm à 3500 trs/min |
Boîte de Vitesse | Auto 4 rapports |
Transmission | Propulsion |
Châssis | |
Poisition Moteur | Longitudinale Centrale |
Freinage | Disques Ventilés AV et Pleins AR |
Voies | AV 1463 mm / AR 1466 mm |
Empattement | 2455 mm |
Dimensions L x l x h | 4580 x 1791 x 1290 mm |
Poids (relevé) | 1660 kg |
Performances | |
Vmax Mesurée | 240 km/h |
0 à 100 km/h | 7,1s |
400m d.a | 15,8s |
1000m d.a | 28,9s |
Poids/Puissance | 7,31 kg/ch |
Conso Mixte | ± 13 litres / 100km |
Conso Sportive | ± 22 litres / 100 km |
Prix | ± 30.000 € |







Pour tout savoir de l’auto, faites un tour sur Auto Forever.
gougnard
magnifique cabriolet mercedes une belle voiture
· · 25 juillet 2022 à 19 h 16 min
Budin
ma cobra LR a appparemant ce moteur 5.6 l mais pas annoncé à la même puissance
· · 27 juillet 2022 à 11 h 54 min
Benjamin
Tout dépend si le système de dépollution est encore là et si les AAC ont le même profil.
· · 27 juillet 2022 à 16 h 37 min
Boussemart
Je confirme, plaisir de conduite, meme en montagne (pic du midi). Confort, puissance, silence. Mais hard top tres lourd (hiver) et conso (2x4cyl.)
· · 28 juillet 2022 à 12 h 07 min
Aurélien
Excellent article résumant très bien cette belle 560SL, d’autant plus en le lisant après avoir tout juste conduit un modèle identique!
· · 29 juillet 2022 à 10 h 16 min
Wilfrid
Merci pour ce très bel article qui met bien la 560 SL en valeur, et ces très belles photos.
Je viens d’en acheter une la semaine dernière.
· · 15 décembre 2022 à 10 h 52 min
Pascal
Belle voiture fiable, mais un peu gourmande, mais je m’en sert au quotidien.. je confirme qu’il faut être deux pour mettre,ou enlever le hard top.
Parfaite pour les autoroutes
· · 15 décembre 2022 à 18 h 18 min
Jean-Louis GAYOT
Article bien cousu pour une auto assez méconnue. Une élégante bien agréable à utiliser, même pour voyager sur le vieux continent ! Merci à Benjamin de l’avoir « interviewée » !
· · 29 décembre 2022 à 9 h 42 min
Budin
Bel article sur cette MB 560 SL qui a la même motorisation que mon AC Cobra LR . Merci
· · 29 décembre 2022 à 12 h 03 min