AMC AMX, au volant d’une Pony Car aussi attachante que méconnue

Publié le par Benjamin

AMC AMX, au volant d’une Pony Car aussi attachante que méconnue

C’est comme les Ferrari. Jusqu’à présent les muscle et pony cars, c’est toujours pour les autres. Mais certaines choses changent. Quand un spécialiste renommé dans les américaines décide de quitter la capitale pour notre campagne auboise, cela permet de retrouver quelques autos sympathiques à portée de main. L’une d’elles m’attire plus particulièrement. Inconnue au bataillon, ou presque, l’AMC AMX a pourtant quelques arguments à faire valoir. Du coup, je ne laisse pas passer mon tour et je m’attaque à cette américaine.

La brève carrière de l’AMC AMX

AMC n’est pas le plus gros constructeur, loin s’en faut. Pourtant, dans l’ombre du Big Three, la marque ne manque pas d’envie. Aussi, histoire de dynamiser son image, au milieu des années 60 elle s’intéresse aux Muscle et autres Pony Cars.

Deux prototypes sont présentés en 1966 lors de la tournée Project IV. Le premier est une Javelin modifiée, avec quatre places, l’autre pour une auto totalement nouvelle, avec carrosserie en fibre de verre et deux places. D’autres concepts suivent les années suivantes. Néanmoins, chez AMC on pense pouvoir produire suffisamment d’autos pour se passer de la fibre de verre, alors cantonnée aux petites séries.

Finalement on produira l’AMC AMX, une auto strictement deux places, avec des V8 sous le capot. En somme, la construction à deux places uniquement est rare sur le marché US. Seule la Corvette l’utilise, même les Thunderbird l’ont abandonné. La voiture est présentée en Février à Daytona. Le prix est plus faible que la ‘vette et les performances sont là.

Saluée pour sa conception, elle peut embarquer trois V8 : un 290, un 343 et un 390 ci avec des puissances allant de 225 à 315 ch. À chaque fois, la boîte auto est proposée mais la boîte manuelle n’est pas oubliée. Les ventes commencent timidement. Les modifications sont assez peu nombreuses. En 1970 cependant on note l’abandon des moteurs 290 et 343 remplacés par un 360 ci.

Ce sera la dernière année de production. 19134 exemplaires, pour une ricaine, c’est peu. Mais elle a réussi son pari en étant saluée par la presse, les ingénieurs, et surtout en ramenant une clientèle jeune dans les showrooms. La Javelin peut reprendre la main.

Notre AMC AMX du jour

On découvre notre AMC AMX parée de sa belle carrosserie Bayshore Blue Poly. Un bleu métallisé qui lui sied parfaitement. Le bleu du ciel se reflète dedans, les paillettes sont bien visibles au soleil. Une belle couleur !

Pour ce qui est du dessin de l’auto, il faut avouer que ses proportions ont quelque chose d’inhabituelles. Si le grand capot et l’arrière fastback semblent classiques, on a presque l’impression qu’elle est haute. Pourtant en culminant à 1,31 m, c’est à peine plus qu’une Mustang. Oui mais voilà, c’est une question de proportions. L’habitacle est en fait assez court, l’AMC AMX est bien une deux places. Et puis la longueur des porte à faux et l’empattement court « n’étalent » pas les lignes : 4,49 m de long et seulement 2,64 m d’empattement, oui, c’est encore qu’une Mustang de la même année (4,76 et 2,74).

L’avant a un côté massif. Le fait qu’il se finisse en pointe est un gimmick partagé avec de nombreuses muscles et pony cars des mêmes années. Par contre, sous la calandre, l’énorme bouclier chromé en impose. Percé par une entrée d’air, le support de plaque et les énormes clignotants, c’est un sacré miroir ! Les deux feux ronds, une obligation pour les américaines, encadrent une large calandre à fine grille. Le porte à faux est important et le long capot est plutôt travaillé, comprenant même de fausses sorties d’air sur le dessus.

Le profil est donc assez étonnant à cause de ses proportions. Assez carré aussi, les lignes sont tendues, agressives. Le montant arrière est très imposant avec une vitre de custode réduite et une ligne droite descendant du pavillon jusqu’à l’arrière. Pour autant, c’est une arrête et au centre la vitre comme le coffre créent une ligne plus atténuée.

L’arrière de l’AMC AMX a également un côté massif. Sous certains angles on le rapprocherait d’une Oldsmobile Cutlass. Il est cependant barré de part en part par deux gros bandeaux : celui rouge qui regroupe les feux et puis le gros bouclier chromé qui rappelle celui de l’avant… en presque plus discret !

Côté détails, l’AMC AMX a beau être une américaine, les chromes ne débordent pas, les ornements sont rares. Bref, bienvenue à la fin des années 60 ! On notera juste de gros logos AMX sur chaque montant de custode et des sigles 343V sur chaque aile arrière. Ah si, le rétro, son dessin est sympa et s’il ne paraît pas énorme de l’extérieur, il faut avouer qu’il est finalement plutôt fat.

Intérieur : 2 places mais de l’espace

Quand on vous dit « stricte deux places » vous pensez à un coupé de petite taille… mais attention. Ce n’est pas une Alpine, c’est une AMC AMX, et c’est l’Amérique !

La grande porte s’ouvre sur un habitacle plutôt sombre. Beaucoup de noir ici, mais pas que. Plusieurs touches de bois sont bien plaquées et viennent offrir du contraste et de la fantaisie. On les retrouve majoritairement sur le tunnel, autour de la commande de la boîte auto et puis au dessus de l’autoradio. Même si la déco se veut dépouillée, elle fait très design et ultra classe.

Assez parlé de déco. Les commandes maintenant. Le volant est grand, fin, beau. Le bois sombre tranche avec le métal argenté. Derrière lui, les compteurs. Ils sont rares au final avec un compteur de vitesse, un compte-tour, un indicateur de température et un autre pour le carburant. Tout à gauche on retrouve une montre, mais en tout cas on ne va pas être submergé d’informations.

Les commandes sont majoritairement sur le côté gauche, seuls les clignotants sont présents sur un commodo. Et puis, il faut parler des pédales. Elles sont forcément deux, même si une troisième, dédiée au frein de parking, est également présente. Forcément celle de frein est bien large, on ne risque pas de la rater.

On va parler un peu des sièges, malgré des motifs originaux, le revêtement fait ils ne respirent malheureusement pas le luxe. Derrière on a de la place ! Assez de place pour une banquette ? Quand même pas, surtout en hauteur, mais on ne sera pas embêté par les bagages puisque le coffre est également de taille acceptable.

Sous le capot, gros Cube obligatoire

On ouvre le lourd capot de l’AMC AMX pour en découvrir le cœur. Forcément, c’est un V8. Petite Muscle ou grosse Pony, cette architecture est devenue la norme et les Mustang et Corvette, pourtant dotée d’un 6 en ligne à leurs début, y ont succombé.

Ici c’est un beau bébé, malgré le fait qu’on l’appelle Small Block. C’est le moteur intermédiaire 343ci. Intermédiaire ça fait quand même 5622 cm³ ! Pour le gaver on fait appel à un carbu 4 corps. Le taux de compression est fixé à 10,2:1 et l’alésage est plus gros que la course. En détail cela donne 290 ch à 4800 trs/min et 495 Nm de couple ! Comme on dit, faut ce qu’il faut.

Notre AMC AMX n’embarque pas la boîte manuelle de série mais la boîte auto, proposée comme alternative, avec ses trois rapports.

Pour le reste de la technique, on note un poids de 1440 Kg mais je ne m’attendais pas à une ballerine. À l’avant on fait appel à un train rotulé, classique et à l’arrière, hyper classique, un essieu rigide avec ressorts semi-elliptiques et barre Panhard. Côté freins, notre auto du jour n’est pas équipée du Go Package, du coup ce sont des tambours qui seront chargés de l’arrêter.

Bon, bah tout ça est conforme à mes attentes. Maintenant je vais voir ce que ça donne sur la route.

Au volant de l’AMC AMX, vedette rapide

C’est parti, c’est mon tour. Kristoff démarre la bête et la sort de son local. Le V8 ronronne. On fait le tour, j’ouvre la porte et je tombe sur le large siège conducteur. C’est donc ça l’Amerique ! Pas besoin de se tortiller pour bien se caler au fond d’un siège étroit comme dans une italienne rouge. Ici il y a de la place. Ma première mission c’est de mettre un grand coup de gaz, histoire que le starter automatique se désenclenche.

Rappel des fondamentaux de la boîte auto, il n’y a pas plus con, mais quand on a pas encore succombé à une moderne avec boîte idoine, c’est pas plus mal de se remettre les neurones dans le sens de la marche. Le V8 ronronne toujours. On va y aller ! Levier sur drive, je lâche le frein et, sur un filet de gaz, l’auto avance, lentement, comme dans un film, vous savez, quand le méchant roule au pas en discutant avec l’inspecteur de police, histoire de l’intimider.

La rue est là. Allez je tourne le volant… et c’est tout mou. J’ai l’impression que la colonne de direction est cassée, ou que je suis en train de battre des œufs ! Pourtant les roues sont bien braquées ! On m’avait prévenu, mais je ne pensais pas que c’était à ce point. Bref, me voilà parti au volant de ma première (grosse) pony car. Pour le moment, l’AMC AMX roule au pas. Les dos d’ânes sont en vogue par ici, alors le premier d’entre eux est abordé prudemment… mais l’amortissement très Américain aurait permis de passer bien plus vite sans être secoué.

Me voilà au stop… sur lequel j’empiète. Le freinage est un peu déroutant puisque au début de la pédale, rien ne se passe avant que notre américaine ne daigne ralentir réellement. Et puis, même si elle est « petite », il y a quand même un sacré capot devant ! Le C15 sur la droite est loin, j’ai largement le temps de démarrer et d’arriver aux 50 km/h avant qu’il n’ait besoin de songer à ralentir.

Le village est une formalité pour une auto si douce. La direction ne demande pas d’efforts et le pied droit peut se reposer. Ici, tout se passe, pépère, sur le couple. C’est cool et ça permet de se concentrer sur le gabarit de la bestiole. Parce que l’AMC AMX fait quand même 1.82m de large pour 4,8m de long soit l’équivalent d’une classe E des années 90.

Le panneau d’agglomération est passé, j’accélère prudemment. La mise en vitesse est vraiment progressive et parfaitement dosable. J’arrive vite sur un enchaînement de virages qui n’exigent que d’effleurer les freins, dans notre cas, aller jusqu’à mi-course. L’amortissement est bon, mais le poids se fait sentir. Même en étant un poil optimiste, la direction emmène bien l’auto là où on lui demande. Bon en fait, il faut envoyer du tour de volant et l’AMC AMX va « à peu près » là où je voudrais. J’avoue ne pas m’être familiarisé avec ce toucher indolent. J’étais prévenu et il semblerait que ça participe au charme des américaines. Mais c’est quand même très perturbant.

Un nouveau village passe et encore une fois la douceur de l’AMC AMX se fait apprécier. Le moteur commence à monter en température, en même temps vu la taille du bestiau, normal que ce soit longuet. À la sortie, je vais pouvoir commencer à tâter un peu plus de cette auto, euh… du 343ci. Parce que Muscle ou Pony, le but c’est quand même de pouvoir dégommer l’accélérateur en laissant du pneu sur 200m, le tout dans un vacarme jubilatoire. Après tout, c’est aussi pour ça qu’elles sont légendaires non ? Les derniers virages sont avalés et enfin une énorme ligne droite apparaît. Je soude le pied droit et c’est parti.

Le V8 343 commence à vraiment s’exprimer. Le bruit typique se fait plus présent, quant à la poussée elle se veut constante mais peu caractérielle. La boite auto lisse tellement les sensations qu’il est difficile de percevoir le coter rageur de ce V8. Pourtant en se concentrant, on parvient à sentir que l’élastique se tend réellement dans les tours. L’ensemble moteur-boite est un peu déroutant, car toute la rondeur qu’il offre est bien loin de la sauvagerie qu’on imagine émaner d’une sportive US. Et j’ai presque l’impression de me traîner mais, ça, c’est une connerie !

Dans la réalité le 343 marche, et plutôt fort même ! Le tachymètre pointe très vite des chiffres qui seraient normaux… si ils n’étaient pas en miles per hour! La réserve de puissance du 343 et son efficacité sont bluffantes, et on pourrait être en train de remonter la file de gauche d’une autoroute à grand coups d’appels de phares sans vraiment s’en être rendu compte ou avoir le sentiment de bombarder sauvagement. En contrepartie, ces performances masquées obligent à toujours veiller sur le compteur et anticiper le freinage sous dimensionné qui est le plus gros point faible de notre belle.

Un ou deux virages plus loin, je relance de nouveau comme il faut. C’est quand même addictif ces bêtes là, mais voila qu’un tracteur bien large me coupe dans mon élan. Heureusement avec autant de couple et de puissance, je ne me pose pas trop de question avant de mettre le clignotant à gauche. Le kickdown automatique fait son effet. Par contre, le tracteur a beau s’être tassé, je constate encore une fois le gabarit de l’auto peu adapté à nos campagnes et je suis pratiquement contraint de poser les roues gauches sur l’accotement…

Les enchaînements de virages qui arrivent plus loin me montrent que j’ai enfin bien cerné les freins. Et le kickdown me révèle que j’ai bien cerné l’accélérateur aussi. Tiens, on sent même les changements de rapports quand on cherche un peu la boîte. D’ailleurs, à défaut d’être sportive, celle-ci distille une grande douceur et participe au sentiment de sérénité à bord. Car oui, ce qui distingue cette AMC AMX des autres « muscles » qu’on m’a décrits, c’est qu’elle sait aussi bien se tenir que révéler amusante en créant une réelle dépendance !

D’autant que finalement, la tenue de route n’est pas malsaine lorsqu’on titille l’AMC AMX. Bon, ça reste une américaine avec le coté chelou qui va avec. La direction surmultipliée et la souplesse de la conception des trains remontent une sensation de flottement, d’inertie qui ne mettront pas en confiance le conducteur d’européennes sportives. Mais mine de rien, l’AMX arrive quand même à se caler sur ses appuis et tient plutôt bien la route. D’accord, elle est un poil lourde de l’avant et un peu brouillonne, mais malgré tout très saine et plutôt vive grâce à l’empattement court.

Pour le coup j’ai été bluffé, je ne m’y attendais pas, rien que pour ça je vous la recommande ! En revanche, les sièges manquent cruellement de maintien. Heureusement que je m’accroche au grand volant. Le confort sinon ? Royal. À moins de vouloir rouler fort, le bruit est largement contenu. Les sièges, à défaut de maintenir, sont confortables. Et puis on bénéficie, comme dans beaucoup d’américaines, du chauffage naturel de la boîte et du moteur.

Encore quelques kilomètres de balade. Je crois que j’ai bien cerné ce que je veux en faire de cette ricaine. Rouler sereinement avec un comportement typé mais pas trop et pouvoir faire l’âne sur la pédale de droite quand j’ai envie que l’Amérique d’autrefois se rappelle a moi. D’ailleurs en parlant de ça, les freins répondent toujours présents, alors autant se prendre une dernière bouffée de ce que représentait motors city dans les années 60.

Conclusion

L’AMC AMX est loin d’être radicale. Certes, pour un néophyte des « pony cars » comme moi le feeling de la conduite est vraiment déroutant… mais on s’y fait vite et on finit par vraiment l’apprécier. Aucun effort à faire. Quelle que soit la vitesse, un doigt suffit pour tourner. Même genre de ressenti pour garder le rythme. Le pied droit n’a pas besoin de se démener longtemps pour atteindre les vitesses réglementaires. Il doit juste bien doser au moment de freiner.

En tout cas c’est une auto originale, extrêmement attachante et idéale pour démarrer dans le monde des sportives US. Pourquoi ces termes ? Parce que oui, j’aime bien les Mustang, les Corvette… mais on en voit bien assez non ? Pour une fois qu’on peut avoir une américaine vraiment pas banale, qu’on ne voit jamais par chez nous, pourquoi se priver ?

Les plusLes moins
OriginaleFreinage léger
PerformanteLe feeling de la direction
Douce en toutes circonstancesRare par chez nous
Moteur rageur
CritèreNote
Budget Achat12/20
Entretien13/20
Fiabilité17/20
Qualité de fabrication14/20
Confort14/20
Polyvalence14/20
Image12/20
Plaisir de conduite17/20
Facilité de conduite16/20
Ergonomie19/20
Total14,8/20

Acheter une AMC AMX

Vous en voulez une ? Déjà si vous voulez celle-ci, pas de souci. Elle est donc proposée à la vente chez Wild Cars et Kristoff se fera un plaisir de répondre à vos questions.

Sinon une AMC AMX n’est pas une auto très courante puisqu’on en trouve très peu en Europe. En fait les quelques autos qu’on peut trouver en fouinant sur les sites d’annonces sont majoritairement proposées par des importateurs bataves.

Côté prix, vous en trouverez sous les 25.000 € mais elles demanderont du travail. Des autos propres se trouveront sous les 30.000 €. Pour une auto nickelle comme notre bleue du jour il faudra dépasser ce montant (celle-ci est affichée à 32.000 €). Les différents moteurs feront varier les prix, la présence d’une boîte manuelle aussi. Notons de ce côté là que la boîte manuelle est aussi répandue que la boîte auto !

Côté vérifications, il faudra regarder la rouille, c’est une ancienne, mais il y a quelques points noirs sur l’AMC AMX : les planchers (intérieur et coffre) et la carrosserie. Cette dernière n’a pas de traitement anti-corrosion et ça peut être problématique. Pour la dispo des pièces, par chez nous ce ne sera pas forcément aussi facile qu’avec une Corvette ou une Mustang mais en maîtrisant l’anglais vous trouverez ce qu’il faut de l’autre côté de l’atlantique. Les pièces les plus problématiques sont d’ailleurs refabriquées.

Un énorme merci à Kristoff de Wild Cars de nous avoir laissé le volant de cette belle auto. Vous risquez de revoir des autos qu’il propose assez souvent… et on s’en plaint pas !

Fiche Technique de l’AMC AMX
MécaniquePerformances
Architecture8 Cylindres en VVmax180 km/h
Cylindrée5622 cm³0 à 100 km/h​6,7
Soupapes16400m da15s
Puissance Max290 ch à 4800 tr/min1000m da27,4s
Couple Max495 NmPoids / Puissance5,14 kg/ch
Boîte de vitesse3 rapports automatiques



TransmissionPropulsion​Conso Sportive​± 30 L/100 km
ChâssisConso Mixte± 16 L/100 km
Position MoteurLongitudinale avant


FreinageTambours AV ARCote 1969± 3500 $
Dimensions Lxlxh449 x 182 x 131 cmCote 2021± 30.000 €
Poids1440 kg


Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. Pascal

    Comme ça fait du bien, un road movie, on en redemande, ça sent l’Amérique profonde, j’ai bien voyagé pendant un bon quart d’heure. Hi.

    Répondre · · 29 avril 2021 à 18 h 48 min

  2. SIRVEN

    Pile poil c’est article : je viens de terminer les 5 saisons de « Better call Saul » et justement on y voit beaucoup l’AMC Javelin AMX 1973 de Nacho Varga, que je ne connaissais pas jusque là.

    Répondre · · 3 mai 2021 à 16 h 00 min

Répondre à PascalAnnuler la réponse.

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