Porsche 993 Targa, essai de la 911 de tous les jours

Publié le par Benjamin

Porsche 993 Targa, essai de la 911 de tous les jours

Trop longtemps. Cela faisait beaucoup trop longtemps que je n’avais pas fait un tour en Porsche 911. En l’occurrence c’était une 2.4 T, une semaine après mes 30 ans, comme un cadeau d’anniversaire (c’est à relire ici). Aussi je n’ai pas fait la fine bouche quand les copains de Mecanicus m’en ont parlé. La Porsche 993 n’a jamais été ma préférée dans l’histoire du constructeur de Stuttgart, certainement à cause de tout le battage autour de la « dernière vraie 911″… mais le pied droit me démangeait. Direction l’Autodrome de Linas-Montlhéry pour faire quelques tours.

La Porsche 993 en bref

La Porsche 993 succède à la 964 à partir de… 1993. Du moins elle est dévoilée cette année là et disponible l’année suivante. Elle conserve les traits de la Porsche 911 d’origine, forcément adoucie et arrondie, années 90 oblige. Mécaniquement on reste sur la même recette, puisqu’on retrouve le flat 6 refroidi par air. Et il faut insister là dessus puisque c’est la dernière génération à rester « air-cooled ». Aussi pour les mordus de 911, propriétaires ou pas, c’est la dernière « vraie » 911. Elle peut cependant compter sur un renfort bienvenu : une boîte 6.

Elle commence en version d’entrée de gamme Carrera, coupé et cabriolet, avec deux roues motrices et 272 ch, la Carrera 4, avec autant de roues motrices, arrive l’année suivante. Elles passeront à 285 ch en 1996. Cette année là, elles sont disponibles en version S avec un look les rapprochant des Turbo.

La Turbo, elle est apparue en 1995 et voit le moteur passer à 408 ch. La Turbo S passe à 450 ch avec un double aileron et des entrées d’air supplémentaires. On ajoutera même les versions exclusives Carrera RS, GT, GT2, Speedster et même la première GT1 Strassenversion.

On en oublie pas une ? Si, la Targa disponible à partir de 1995, uniquement avec le moteur 285 ch en version deux roues motrices. Elle abandonne l’arceau originel des Targa pour un toit panoramique en verre qui coulisse vers l’arrière.

La Porsche 993 laisse place à « l’hérétique » 996 (qui change même la forme des phares) à partir de 1998.

Notre Porsche 993 Targa

Qu’est ce qui ressemble de loin à une Porsche 911 ? Bah une Porsche 911. Et ce n’est pas parce qu’on est en face d’une série 993 que ça devrait changer. D’ailleurs les séries suivantes continueront dans cette idée.

Dans les faits la Porsche 993 c’est vraiment la 911 des années 90. L’adoucissement des lignes, à peine entrevu sur la 964, est ici poussé à son paroxysme. N’oublions pas que les années 90 ce sont les années du biodesign, quand toutes les arrêtes étaient remplacées par des courbes. L’avantage de la 911 c’est que les arrêtes elle ne connaissait pas trop. Du coup la Porsche 993 n’a pas vraiment travesti la ligne en l’adoucissant.

On notera tout de même des ailes avant bien moins marquées au bout desquelles on retrouve des phares bien ronds. Tout à l’avant, le bouclier est lui aussi une nouveauté apparue sur la 993 : il est bien moins marqué que les 964 qui avaient hérité une lèvre des Type G, deuxième génération de la 911. On le retrouve bien en avant de l’essieu, là encore c’est une des caractéristiques de la « neun elf » (Ja, ich spreche deutsch).

Le centre de l’auto n’offre aucune surprise. Le pare brise est incliné et donne sur un toit qui descend en pente douce vers l’arrière de la voiture.

L’arrière de la Porsche 993 est bien celui d’une Porsche. Les hanches sont de plus en plus larges et marquées génération après génération et on suit le mouvement avec cette auto des 90s. Forcément, derrière l’essieu il y a du porte à faux, on a quand même un flat 6 à caser.

Mais il y a un truc avec notre allemande du jour. Ah, oui. 911, G, 964, tous les coupés ont cette vitre de custode avec un petit arrondi et pas un coin. Sauf qu’on est pas en présence d’un coupé mais d’une Targa. Les fans de l’arceau caractéristique de ces versions seront un peu déçu sur cette Porsche 993. Au final on a un aspect de « Coupé Hard Top » et tant qu’on a pas actionné le mécanisme faisant coulisser le toit en verre… et bien on ne se doutera pas qu’on est en présence d’une Targa.

Du coup que dire de la ligne de cette Porsche 993 Targa ? Ayant longtemps été fan de la 996 je ne peux pas la trouver trop terne puisque ses formes sont quand même plus marquées. Mais on est déjà dans une réelle évolution de la ligne des premières 911. Globalement c’est une 911 mais un peu atténuée… et passe partout. La teinte Black Metallic n’aide certainement pas. La 993 ne serait-elle pas la première Porsche 911 des villes ?

L’intérieur : oui, oui, oui, oui, oui !

Ça y est j’entend Julien Lepers dans ma tête. Si je trouve l’extérieur un peu fade et passe partout… quand on est dedans on oublie. Un intérieur beige, noir, même gris clair, c’est d’un commun… Là on retrouve une couleur Nephrite Green, une personnalisation demandée par la/le premier(e) propriétaire de cette Porsche 993 et réalisé chez Porsche Exclusive. Je n’ai pas son nom, mais si elle/il lit cet essai : vous avez du goût !

Cette couleur on la retrouve partout ou presque. La débauche de cuir ferait pâlir quelques anglaises. Pour autant on ne frôle pas l’indigestion puisque le noir est tout de même bien présent. Le volant s’en pare, la planche de bord, le sol et le bas des portières aussi. La qualité ? Elle est au rendez-vous. Vous trouverez bien des plastiques durs pour toutes les commandes ou sur les aérations mais à moins de les transformer en basculeurs « aviation », difficile de faire beaucoup mieux.

Le dessin de l’ensemble : c’est de la Porsche 911, pas de doute. Le volant a gagné un airbag et donc il a perdu la finesse des précédentes générations. Il est quand même bien plus sympa que celui de la 964. Derrière on retrouve les 5 cadrans habituels. La touche de sport, c’est bien la présence du compte-tours, qui affiche une zone rouge après 7000 tours, bien au centre, bien visible. À sa droite : compteur de vitesse et horloge. À sa gauche : de quoi contrôler la salle des machines.

Les sièges, réglables électriquement, ne sont pas si épais mais ne sont pas non plus des baquets tendance bout de bois. Creusés comme il faut ils sont en plus « au bon endroit ». Les sièges arrières ? C’est comme une star française à Hollywood, tout le monde en parle mais leur rôle est quand même restreint, même pour un enfant.

Dernier point : une belle luminosité. Pour ça, merci le Targa. Même s’il est teinté on se retrouve avec un habitacle bien clair… et on apprécie encore plus la couleur !

Le moteur : il a suivi

Alors que certaines 991 approchent des 4 litres et que les Turbo se sont généralisés, il ne faut pas oublier que la Porsche 911 (901) est née avec un moteur de « seulement » 2 litres. Et à l’époque c’était un sacré moteur, il fut même monté sur les autos de course de la marque, 904 et 906 notamment.

Et la 993 alors ? Le moteur est monté à 2,2 puis 2,4 puis 2,7 puis 3 litres et 3,2 litres. La 964 inaugure une cylindrée de 3,6 litres et la 993 le reprend. Toujours refroidi par air, avec une grosse turbine qui nous empêche de l’admirer, il ne faut pas oublier que c’est une sacré machinerie. Ceux qui font le raccourci avec une Cox sont quand même loin du compte. La puissance spécifique de près de 80 chevaux au litre, en atmo et dans les années 90, sur une version de base, c’est beau.

Il faut dire que la Porsche 993 a bénéficié d’un coup de pouce de l’électronique qui permet de mieux gérer le tout. Là il est couplé à une boite manuelle à 6 vitesses qui n’entraîne que les roues arrières.

Le poids total est supérieur à 1400 kg, un peu plus que le coupé, mais la Porsche 993 Targa reste basée sur le cabriolet avec les quelques renforts nécessaires. Niveau châssis on retrouve tout ce qui fait le charme d’une 911. En un mot : du sportif mais du costaud.

Niveau perfs ça donne quoi ? On est sur une Porsche 993 Targa, clairement pas la plus sportive des autos des années 90. Du moins, dans sa définition. Parce qu’avec 272 km/h et 5,7s pour attraper les 100 km/h, on se retrouve avec des perfs de tout premier ordre, des perfs que des voitures bien plus puissantes (et plus chères) accrochaient à peine.

Au volant d’une Porsche 993 Targa

Allez, c’est mon tour. Je retrouve la Porsche 993 dans un environnement qui pourrait être celui d’une ville. On est pas encore sur les pistes de l’Autodrome de Linas-Montlhéry. Installation… facile. On monte dans une 911 des années 90, pas dans une sportive des années 60. La position de conduite ? Quentin est poil plus grand (même si pour certains 15 cm c’est énorme) mais j’ai juste besoin d’avancer le siège pour trouver une position de conduite parfaite. Je mets la clé dans la serrure, forcément sur la planche de bord à gauche, certaines traditions ne se perdront jamais (je coirse lse doitgs).

Bon ça ne démarre pas. On est bien dans une auto des années 90 avec alarme, il faut la verrouiller et la déverrouiller. Et une fois que c’est fait le petit coup de clé réveille le flat 6. Un beau bruit, un bruit qui tranchera avec la Sandero de votre voisin (on ne parle même pas de la Zoé de celui d’en face), mais qui reste mesuré. Rien à voir avec le grondement rauque d’une américaine ni les aigus d’un V8 italien de la même époque.

Marche arrière, petite manœuvre. Bon le gabarit reste menu mais un poil atypique avec cet éternel sac à dos. Ensuite, première et c’est parti. Je ne vais pas mentir en comparant la Porsche 993 Targa à n’importe quelle citadine. On se rend vite compte qu’il ne faut pas trop presser le pied droit mais le reste de la conduite reste très, très doux.

L’auto se conduit facilement et ne vous piégera pas. Vous êtes bien dans une sportive, même si ce jugement est pour le moment basé sur sa fiche technique, mais pour autant vous ne vous ferez pas peur dans la conduite de tous les jours. Même citadine. Appréciable non ?

Petite pause pendant laquelle Quentin chauffe l’auto sur l’anneau à faible vitesse. Bon, on a pas roulé bien vite le toit ouvert, mais ce n’est pas un cabriolet, c’est une Targa. Et dans certaines conditions, comme le vent froid du jour, il faut en profiter… et refermer. Une fois nos photos dans le boîtier et en attendant qu’on attaque l’auto suivante (que vous avez déjà vu par ici), j’ai un tour « clair ». Pas question de taper une pointe, on est pas là pour ça. Par contre je suis littéralement seul sur l’anneau et j’ai des fourmis dans le pied droit.

Allez, première… et c’est parti. L’accélérateur au plancher permet un dosage parfait. L’embrayage est nickel et libère la Porsche 993 Targa juste quand il faut. La voiture bondit. On a pas l’équipement pour vérifier qu’elle tape les 100 en moins de 6 secondes mais c’est tout à fait plausible. Et c’est mon premier test. Facile je vous dis. On arrive vite à une vitesse de croisière qui correspond à celle que vous pourriez atteindre sur autoroute. La Porsche ne bouge pas. On nous a demandé de ne pas trop se lâcher alors on retrouve vite un rythme « nationale/départementale »… avec radars. À ce rythme on a l’impression que rien ne peut vous arriver.

Vous connaissez le revêtement de l’anneau ? Non ? Une autoroute belge alors ? Voilà. Des plaques de ciment qui ont vu passer beaucoup, beaucoup d’autos en près de 100 ans. Dans la plupart des autos, ça secoue.

Dans la Porsche 993 Targa aussi. Mais bien moins que dans nombre de sportives dont l’amortissement aurait été prévu pour envoyer sur circuit. Le confort est parfait et le maintien des sièges… bah parfait aussi. Je vais manquer de superlatifs. À défaut de pouvoir taper dedans, je peux tester les reprises, bonnes, et les accélérations, toujours bonnes. Retour au stands et c’est l’heure de la pause. Je laisse l’auto à Mark… mais je n’en ai pas fini.

Oui essayer une auto sur un anneau de vitesse, c’est toujours mieux que dans un lotissement entre deux rond-points. Mais une sportive ça mérite mieux non ? Une fois que Mark a mis ses photos dans la boîte, c’est l’heure. Direction le routier de Montlhéry.

Bon ne vous attendez pas à ce qu’on fasse des folies, on ne peut pas on est ici pour prendre des photos, pas pour faire un trackday. Néanmoins c’est parfait pour essayer la Porsche 993 Targa en conditions « normales ». Le circuit routier est en adéquation avec les limitations de vitesse du réseau secondaire et surtout, cette fois, il y a du relief, des revêtements différents et des virages.

Quand la barrière se lève, la Porsche 993 redémarre, toujours sans aucun souci de ce côté là. Un premier tour à vitesse réduite, histoire de refaire quelques photos puis ce sont quelques tours clairs qui se profilent.

Un premier tour de repérages me permet de bien jauger la bête sur ce circuit si intéressant… et de faire chauffer la mécanique. Ensuite c’est le moment de tester les qualités dynamiques d’une Porsche 993 Targa. Parce que ça reste une Porsche, pas une citadine découvrable. Et qui dit Porsche dit sport (au moins au moment où notre modèle sort de l’usine). Une fois de plus on peut tester l’accélération jusqu’à la limite qui nous a été imposée. C’est franc, c’est rapide, et le moteur se réveille. Vraiment souple, il pousse déjà à bas régime.

Le son du moteur se fait entendre, mais n’est pas envahissant. Il vous rappelle juste que vous avez une mécanique noble et réputée derrière vous. Une invitation ?

Une fois lancé, le flat 6 fait tourner l’aiguille du compte-tour bien plus vite que la raison ne l’imposerait. La seconde rentre vite et si la ligne droite est longue les limitations sont là pour nous rappeler à l’ordre, à peine la troisième enclenchée. Honnêtement, sur ce revêtement on pourrait tirer jusque 200 sans avoir la moindre appréhension.

Le revêtement justement, il n’est pas le même partout. Arrivent les premiers virages. Je garde en tête le mode d’emploi d’une 911 : gros freinage pour transférer les masses, corde et pied dedans. Le freinage ? C’est du Porsche, pas besoin d’en dire plus !

Les premiers enchaînements peuvent faire peur, il est vrai que les rails ne sont pas loin, mais la Porsche 993 Targa montre bien que son châssis, c’est du sérieux. Et le moteur ne le débordera pas, la puissance est là, mais la maîtrise aussi. Les grandes courbes passent à une vitesse qu’on qualifiera de sportive, sans pour autant faire peur. Attention cependant aux virages plus serrés. En cas d’optimisme l’arrière vous rappelle que c’est lui le plus chargé et qu’il aurait bien envie de voir comment ça se passe devant.

Mais la Porsche 993 Targa n’est pas une auto de trackdays. Alors une fois démontrées ses capacités de sport, je repasse à une conduite plus souple. Les virages sont tout de même avalés à une vitesse que peu d’autos pourraient suivre, sans réelle attaque. Mais pour le reste je joue sur le couple. Notre 911 montre toute sa douceur. Son confort aussi. Si les sièges ne sont pas des pullman, leur dessin nickel et leur rembourrage suffisant m’évitent d’avoir mal au dos mais aussi de glisser dans les virages.

La longue ligne droite du retour se profile. Les rapports passent, pas pour taper une pointe mais pour baisser le volume du moteur et la conso. La 6e rentre mais on a quand même l’impression d’une vitesse rajoutée après les 5 autres. Si son guidage est bon, on dirait que la course est différente et le verrouillage n’est pas aussi franc. La boite est en fait l’élément un peu décevant de cette auto. Trop policée ? Trop facile ? Trop Porsche 993 Targa ? Néanmoins elle fait le job et nous ramène à bon port. Je descends. C’est malin… maintenant j’ai juste envie d’y retourner !

Conclusion :

La Porsche 993 c’est la GT dans toute sa splendeur. Une auto performante et polyvalente. Elle vous sortira de la ville sans aucun souci, vous emmènera sur l’autoroute sereinement, sera une des reines à la barre de péage et vous amusera quand vous pousserez sur les départementales. Et elle recommencera souvent avec une fiabilité déconcertante (pour ses concurrentes notamment).

Pour autant si c’est bien marqué Porsche et que ce nom est synonyme de sport et de course, la Porsche 993 Targa n’est pas le bon choix. Cette version là saura se montrer très dynamique et efficace. Mais elle restera l’auto qu’il vous faut pour de longues balades rapides. Si vous l’emmenez en trackdays, pensez à emmener l’appareil photo !

Les plusLes moins
Une ligne emblématique…Sans surprise
Du coupleUne cote qui s’envole
De la puissanceUne 2+0,5
Fiabilité(Trop) Discrète
Iconique
CritèreNote
Budget Achat10/20
Entretien15/20
Fiabilité16/20
Qualité de fabrication18/20
Confort14/20
Polyvalence18/20
Image19/20
Plaisir de conduite17/20
Facilité de conduite18/20
Ergonomie18/20
Total16,3/20

Rouler en Porsche 993 Targa

La Porsche 993 Targa voit sa cote grimper petit à petit avec les années. Évidemment c’est déjà une auto collector. Sa polyvalence, supérieure au cabriolet ne compense pas le fait que c’est une Targa de chez Porsche sans en avoir l’arceau si distinctif. Du coup, les prix sont à peine plus élevés que le cabriolet. Par contre elle coûte plus cher qu’un coupé Carrera 2 et se rapproche des Carrera 4.

Une 993 Targa se négociera en effet autour des 55.000 € pour une auto en très bon état. Une auto comme celle-ci, en parfait état mécanique, esthétique, avec un intérieur original et de belles options coûte entre 60 et 65.000 €. C’est le prix de cette auto proposée à l’achat par Mecanicus, l’annonce est là.

Ce n’est pas le kilométrage qui devra vous faire peur. Une auto bien entretenue est increvable ou presque. Les frais sont faibles, un peu de moins de 1000 € tous les 15.000 km, mais n’oubliez pas l’essence : les 12 litres aux 100 km sont une moyenne très basse.
Faites attention aux modèles équipés de la boîte Triptronic : elles sont un peu moins performantes et plus gourmandes en carburant. Par contre, elles sont plus abordables.

Fiche Technique de la Porsche 993 Targa
MécaniquePerformances
Architecture6 cylindres à platVmax272 km/h
Cylindrée3600 cm³0 à 100 km/h5,7 s
Soupapes12400m da13,8 s
Puissance Max285 ch à 6100 tr/min1000m da25,1 s
Couple Max341 Nm à 5250 trs/minPoids / Puissance5,2 kg/ch
Boîte de vitesse6 rapports manuelle

TransmissionPropulsion
ChâssisConso Mixte11,3
Position MoteurPorte à faux arrièreConso Sportive17,5
FreinageDisques Ventilés AV et AR
Dimensions Lxlxh425 x 174 x 130 cmCote 2021±60.000 €
Poids1400 kg à videPrix neuf
± 600.000 francs (avec options)

Benjamin

http://newsdanciennes.com

Passionné d'automobile ancienne, il a créé News d'Anciennes en 2013 à force de se balader sur les salons sans savoir quoi faire de ses photos. Conducteur occasionnel de Simca 1100 il adore conduire les voitures des autres, dès qu'elles sont un peu plus rapides !

Commentaires

  1. DANIEL DIJOUX

    Article très sympa mais j’aurais aimé au moins une photo du toit en verre qui est la signature de ce modèle. Frustrant…

    Répondre · · 30 avril 2021 à 6 h 02 min

  2. COULON

    Petite erreur dans le commentaire la Porsche Targa fait 285Ch avec une cylindrée de 3.6lt. En terme de prix je suis désolé mais vous êtes bien en dessous de la cote actuelle de ce véhicule qui se situe plus vers le 70K€ que des 60.

    Répondre · · 13 septembre 2022 à 17 h 43 min

    1. Benjamin

      Bien noté pour l’erreur.
      Pour la cote, c’est que l’article n’est pas d’hier… et que les prix augmentent vite !

      Répondre · · 22 septembre 2022 à 11 h 55 min

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