La photo de nuit : ce serait dommage de s’en priver

Publié le par Mark

La photo de nuit : ce serait dommage de s’en priver

Il y a quelques mois j’avais entamé une série de tutoriels photos autour de l’automobile (à retrouver ici). Le concept semblait vous avoir plu alors maintenant que j’ai le temps de gratter quelques lignes je vais pouvoir vous en proposer un nouveau. En cette période ou les jours rallongent il me semble normal de parler de la photo nocturne. Non c’est surtout parce que c’est un thème intéressant et pas forcément si complexe que cela. En route !

La photo de nuit

Il nous est tous arrivé de baver devant des clichés nocturnes, faut admettre que certains sont impressionnants et que les jeux de lumières offerts par la nuit peuvent être particulièrement agréables pour la rétine. Sauf que lorsque l’on tente de s’y mettre pour la première fois, le résultat s’apparente à un plat de cantine et fait plus saigner nos yeux qu’autre choses.

Au point qu’il nous arrive de nous demander si finalement ces clichés ne seraient pas des « fake ». La réponse est un grand non ! Alors oui, certaines photos sont des composites mais dans la plupart des cas elles sont bien réelles. Maintenant que vous le savez, vous devez vous demander comment on s’y prend ? Patience, j’y viens, cependant pour faire simple, aujourd’hui je n’évoquerai que les photos faites en pleine nuit, en excluant la notion d’heure bleue, ainsi que celle de post production. Je ne redéfinirais pas non plus certains termes techniques qui sont expliqués dans les articles précédents, et je n’aborderai pas les notions de light painting ou l’utilisation des flashs.

Le matériel : pas de panique !

Il y a dix ans je n’aurai pas tenu le même discours, mais en 2020, le matériel étant beaucoup plus performant et accessible, la photo de nuit n’a jamais été aussi démocratique. Alors, de quoi on a besoin pour faire du nocturne ?

  • D’un appareil photo. Vous me direz, c’est logique. Mais c’est là que les évolutions technologiques interviennent. A l’heure actuelle, vous n’avez clairement pas besoin d’êtres lourdement armés. Hormis dans certains cas bien particuliers un appareil entrée/milieu de gamme, ou même un bon smartphone peuvent largement faire le boulot.
  • D’un objectif. Là encore c’est évident. En fait si je mentionne ce point c’est pour la raison suivante. Ok, vous pouvez faire de la photo de nuit avec n’importe quelle optique, mais, parce qu’il en faut bien un, je vous conseille fortement des optiques à grandes ouvertures (petit chiffre derrière le « F »). Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elles vous faciliteront la tâche.
  • D’un support. Ouais c’est la base, à moins d’avoir du lourd dans votre sac ou de faire des compromis sur votre photo, vous serez souvent amené à pratiquer la pose longue, donc il vous faudra un trépied, ou tout autres supports (une brique, ou une tranche d’emmental peuvent aussi faire office de pied).
  • D’une lampe torche. Tout simplement parce que la photo de nuit peut se pratiquer dans le noir total. Dans ce cas-là ne comptez pas sur votre autofocus, à part patiner il ne vous sera pas d’une grande aide, à moins de l’aider en éclairant votre sujet. La lampe torche vous servira aussi, si comme moi vous faites le point à la main. Si vous n’en avez pas, pensez à allumer les veilleuses de votre voiture le temps de caler votre mise au point.
  • D’une télécommande. Si vous n’en avez pas ce n’est pas forcément dramatique, mais sachez que la télécommande vous permettra d’effectuer vos déclenchements à distance, ce qui vous évitera de faire trembler votre appareil. Elle vous permettra aussi de prendre des photos d’une durée supérieure à 30 secondes, là encore sans risques de faire bouger votre matériel. Si vous n’en avez pas, utilisez le retardateur.
  • De vêtements chauds. Bah oui de nuit on reste souvent plantés comme des piquets en attendant que ça se passe. Alors quand il fait froid il vaut mieux bien s’habiller. La bouteille de Rhum n’est pas une solution pour lutter contre les basses températures.

Comment on gère ?

Globalement, la démarche et les règles sont les mêmes de jour que de nuit, je n’irai pas plus loin car si vous avez lu les articles précédents vous savez déjà tout.

Alors finalement ça change quoi de shooter de nuit ? Vous n’êtes pas bêtes et vous savez que pour faire une photo il faut de la lumière. Et si vous êtes observateur, vous aurez constaté que de nuit, bah il n’y a pas, voir très peu de lumière. C’est là que le nocturne varie du diurne, parce qu’il va falloir que vous trouviez une solution pour capter le peu de lumière que vous aurez à disposition. Là encore, pas de panique, la théorie est très simple.

Lorsque vous prenez une photo, vous ou votre appareil intervenez sur trois paramètres pour réguler la lumière que vous captez. Celle-ci n’étant ni plus ni moins que ce que l’on appelle l’exposition de votre image.

  • La sensibilité du capteur
  • L’ouverture de l’objectif
  • Le temps de pose (vitesse d’obturation)

Ces trois paramètres agissent comme des robinets qui permettront de délivrer la bonne quantité de lumière (le bonne exposition). De nuit la logique qui est découle est simple. Vous ne captez pas assez de lumière ? Et bien ouvrez tous les robinets. Sur le papier ça donne quoi ?

La sensibilité du capteur :

Vous savez les « iso », il s’agit tout simplement de la sensibilité du capteur à percevoir un signal lumineux. Plus le chiffre est élevé plus votre capteur sera sensible. Je vous vois venir : « bah dans ce cas il faut juste l’augmenter ! ».

C’est exact mais comme le monde des bisounours n’existe pas, il y a forcément une contrepartie. Plus vous augmenterez la sensibilité plus vous verrez apparaître du bruit (lié à l’augmentation du signal). Vous savez ces grains moches qui finissent par transformer votre image en purée de pixels si vous avez eu la main trop lourde ? Personnellement, c’est le dernier paramètre sur lequel j’interviens car c’est celui qui risque le plus de nuire à ma photo. En gros, je n’augmente la sensibilité que si je me retrouve au pied du mur. Si j’ai de la marge de manœuvre je m’arrange pour la laisser au plus bas, et quand je dois l’augmenter je ne la remonte que du strict nécessaire.

Bruit 1-
Ce que donne le bruit, regardez en haut à droite.

L’ouverture de l’objectif :

Ce paramètre joue sur la quantité de lumière que peut transmettre l’objectif au capteur. Plus votre optique est ouverte plus elle laisse rentrer de lumière. Je vous vois encore venir : « faut ouvrir à fond alors ! ». De nouveau c’est exact, mais pas si limpide. Ouvrir c’est bien mais d’une cela nuit à la netteté de votre image (les objectifs donnent généralement leur meilleur sur des ouvertures intermédiaires genre F8) et de deux cela réduit la profondeur de champs de celle-ci. Et puis une optique qui ouvre fort tout est offrant son maximum à pleine ouverture, bah ça coûte une couille. Alors oui, de nuit je vous invite à ouvrir le plus possible, mais n’oubliez pas ces deux contraintes. Par contre, si vous aimez les flous d’avant et d’arrière plan ainsi que les lumières au rendu crémeux, ne vous posez pas de questions.

Le temps de pose :

C’est le dernier paramètre avec lequel on régule l’exposition. Plus vous augmentez ce temps, plus votre appareil recevra de lumière. Point positif, la pose longue n’aura pas de conséquences destructrices ou optiques pour votre photo. Par contre, elle vous imposera de stabiliser votre appareil, vous fera perdre en réactivité, et rallongera drastiquement votre séance. Si vous faites du statique ou du paysage vous vous en foutez, d’autant que la pose longue à un autre avantage qui est celui de faire disparaître tous les objets en mouvement qui pourraient être dans le cadre. C’est aussi grâce à la pose longue que vous transformerez la circulation nocturne en filés de lumière. Bref, si vous le pouvez n’hésitez pas une seconde.

Vous l’aurez constaté, s’il est possible de maximiser la lumière que peut percevoir un appareil, cela ne se fait pas sans conséquences. En revanche, si je devais vous donner un conseil, ce serait de passer en mode manuel (en automatique l’appareil augmente souvent la sensibilité et l’ouverture pour réduire le temps de pose), et de jongler en premier lieu avec l’ouverture et le temps de pose. N’augmentez la sensibilité que si vous n’avez pas le choix (trop sombre ou shoot à main levée).

Et sur le terrain ?

Sur le terrain, je vais distinguer deux types de situations, le milieu urbain et le milieu naturel.

En ville : rien de bien méchant

Si je commence par la ville, c’est parce que c’est le plus évident. Tout simplement parce qu’en ville il y a suffisamment d’éclairages et de lumière pour shooter presque aussi librement qu’en journée. En ville vous n’aurez pas non plus besoin d’un équipement de compétition, les dernières générations de smartphones ou n’importe quel appareil qui tienne la route feront le taf !

Cependant, il y a quand même des difficultés à surmonter.

  • Qui dit éclairage et nuit noire dit gros contrastes et grosse plage dynamique. Suivant la qualité de votre matériel celui-ci aura plus ou moins de mal à l’encaisser. C’est à dire que bien souvent votre sujet sera sombre ou votre arrière-plan sera blanc. Pas de panique, il vous suffit de ruser avec les éclairages à disposition. Mettez-vous sous la lumière, arrangez-vous pour que celle-ci éclaire une partie de votre sujet, bref vous voyez ou je veux en venir, en ville on peut facilement trouver une solution.
  • Les flares. Et oui qui dit fortes sources lumineuses sur votre optique, dit flares, vous savez ces reflets sous forme de halos blancs ou verdâtres ? Sachez qu’ils seront une de vos plus grosses sources d’emmerdes, et qu’en plus de ruiner une photo, il n’y a pas moyen de les éviter. Mes seuls conseils seront de vous positionner différemment, de les intégrer à votre composition, ou d’avoir du matériel très bien traité (qui coûte le prix d’une caisse).
  • La balance des blancs. C’est un point crucial en ville ! Votre source lumineuse n’étant pas naturelle, votre appareil pourra être amené à débloquer complètement en vous délivrant un résultat jaunâtre du plus mauvais effet. Sachez aussi que chaque type d’éclairage vous obligera à adopter une balance des blancs spécifique. Dans tous les cas je vous invite à régler votre balance des blancs manuellement. Si vous n’avez pas une mire pour le faire (outil permettant de définir le point blanc) jouez au jeu de l’essai réussite. Bref shootez avec différents réglages jusqu’à trouver celui qui convient.
Balance des blancs-
Quand la balance des blancs ne suit pas…

Pour terminer sur le shoot en ville, voici quelques conseils :

  • D’une manière générale réglez manuellement votre appareil. Cela dit les modes automatiques ou semi automatiques sont tout à fait utilisables.
  • Si vous avez un pied, utilisez une sensibilité la plus faible possible, en général je ne dépasse rarement les Iso 320.
  • Ouvrez en fonction de si vous shootez à main levée ou sur pied. Sachez qu’a grosse ouverture les lumières auront un rendu circulaire tandis qu’en fermant au-delà de F10 celles-ci formeront des étoiles. Ne dépassez pas trop cette valeur car cela ne vous apportera rien de plus sinon des contraintes. Je considère F14 comme une limite à ne pas dépasser de nuit.
  • Prenez votre temps, la photo nocturne de toute manière c’est long !
  • Si vous n’avez pas de pied, adoptez la règle du temps de sécurité pour éviter les flous de bougé et réglez le reste en fonction du temps de pose obtenu. Celle-ci est égale à 1/ (focale x facteur de crop du capteur). Hein, qu’est-ce qu’il raconte ? Pas de panique, vous shootez à 50mm avec du matériel standard, la vitesse limite sera égale à 1/ (50 x 1,5) soit 1/75s. Cela dit avec les évolutions des systèmes de stabilisation et vos capacités vous pouvez gratter sur cette vitesse. Il m’arrive de pouvoir tomber à 1/10s pour 70mm. Mais bon gardez quand même cette formule en tête.
  • Désactivez les systèmes de stabilisation si vous shootez sur pied. Aussi étrange que cela puisse paraître garder la stabilisation active alors que votre appareil est posé risque de rendre vos photos floues. En effet, le boitier ou l’objectif chercheront à compenser un mouvement qui n’existe pas.
  • Allumez toujours vos veilleuses plutôt que vos phares. Les feux en pleine poire votre appareil ne kiffera pas. Idéalement soyez deux avec une personne qui mettra un petit coup de veilleuses le temps de la photo.

Dans la nature : ça se corse !

Contrairement au milieu urbain, une fois dans les grands espaces, bah… vous n’avez pas de capote. Tout ça pour dire qu’il n’y a plus de lumière et que cela va largement impacter votre façon de faire, et mettre beaucoup plus de poids sur vos épaules de photographe. Tout simplement parce que vous ne pourrez plus dégainer votre smartphone, ni les modes automatiques ou semi automatiques. Bref dans le noir on est obligé de faire de la photo au sens noble du terme !

Alors face à quels problèmes vous allez-vous retrouver ?

  • Votre matériel. Dans le noir gérer celui-ci un gros défi et malheureusement il vous faudra être très bien équipé pour sortir quelque chose de propre. Si votre équipement ne supporte pas les montés en sensibilité (plus de 1600 iso), n’ouvre pas suffisamment, ne dispose pas de réglages manuels, oubliez de shooter dans ces conditions.
  • Le cadrage et la composition. Bah vous êtes dans le noir et pas la peine de regarder dans le viseur, vous ne verrez rien. Bref vous devrez composer à l’aveugle. Dans ce cas a part vous aider d’une lampe torche pour éclairer votre sujet le temps de viser il n’y a pas d’autres solutions que le classique « essai=échec ».
  • La mise au point. Pas de bras pas de chocolat, faute de lumière votre autofocus sera probablement out, il faudra faire le point à la main. Là encore pas de miracles, allumez vos veilleuses, éclairez votre sujet, ou faites le point à l’hyper focale (distance de mise au point qui maximise la profondeur de champs).
  • Le réglage du matériel. C’est con à dire mais actionner les différentes fonctions de votre matos si celui-ci n’est pas rétroéclairé bah c’est pas facile à l’aveugle. Bref apprenez à connaitre et manipuler votre équipement les yeux fermés.
  • Le réglage de l’exposition. Dans le noire la cellule de votre matériel sera elle aussi dans les choux. Elle vous donnera bien une indication mais à la fiabilité relative. Là encore… essayez, échouez jusqu’à la réussite.
  • La pollution lumineuse. À quelle saloperie ! À moins d’être loin de tout, vous serez forcement confronté à la pollution des lumières urbaines. Celle-ci en plus de colorer le ciel rend celui-ci moins visible. À part attendre que l’éclairage urbain soit coupé, ou s’isoler (via les cartes de pollution lumineuse), il n’y a pas de solutions.
  • La balance des blancs. De nuit, c’est un peu récurrent, votre appareil aura toujours tendance à rendre l’image plus chaude et rouge qu’elle ne devrait l’être.
  • Les flares, que ce soit la lune ou vos phares le problème est le même qu’en ville. Attention aux fortes sources de lumière !
  • La circulation. Faites très attention de nuit, les gens qui circulent ne vous voient qu’au dernier moment. Alors si vous shootez sur la route ou au bord, soyez très attentifs aux bruits et mouvements de phares, car vous avez l’avantage d’entendre et de voir à l’avance, contrairement aux personnes qui circulent. Au premier doute déplacez votre voiture et mettez-vous en sécurité. C’est la base mais parfois on est tellement concentré qu’on n’y pense pas.

Pour terminer sur le shoot en pleine nature voici quelques conseils :

  • Habituez-vous au noir. Prenez le temps de sortir de votre voiture, de tout éteindre et de laisser la nature faire. Le corps étant une machine redoutable vous constaterez qu’au bout de quelques minutes vous y verrez plus clair et que vous serrez beaucoup plus à l’affût de votre environnement.
  • Réglez d’abord l’ouverture et le temps de pose. Pour le coup le manque de lumière facilite la tâche, ouvrez à fond et posez le plus longtemps possible, ajustez la sensibilité en fonction du résultat. Toutefois attention aux photos de ciel étoilés.
  • La règle du 500 pour les photos de ciels étoilés. La rotation de la terre étant ce qu’elle est, si vous posez trop longtemps les étoiles se transformeront en traits. Pour éviter le phénomène il existe la règle du 500 qui définit le temps d’obturation à ne pas dépasser : 500/ (focale x facteur de crop). Dans les faits, si vous shootez à 18mm avec un boitier standard cela donne 500/ (18 x 1,5) soit à la louche un temps de pose de 19 secondes maximum.
  • Shootez avec la lune mais gare au résultat. Notre cher satellite peut parfois être très utile de par la source lumineuse qu’il représente. Si vous voulez faire des étoiles arrangez-vous pour qu’il n’y ait pas de lune mais sinon faites-en sorte qu’elle soit là. Cela dit gare au contre Lune qui aura le même effet qu’un contrejour, et attention au rendu de la photo. Si vous shootez sous la pleine lune votre photo ressemblera à une photo diurne mais avec des couleurs nocturnes et c’est… bizarre.
  • Évitez d’allumer vos phares ou veilleuses si vous shootez de face. Ce n’est déjà pas ouf en ville alors dans le noir…. Là encore si vous êtes deux placez quelqu’un dans la voiture qui vous fera un petit appel de veilleuses.
  • Attention à la batterie. Les shoots de nuit en pleine nature sont très longs et peuvent facilement durer deux heures si ce n’est plus. Faites attention à la batterie de votre appareil et celle de votre voiture si vous jouez aux appels de phares, c’est d’autant plus vrai s’il fait froid. N’oubliez pas que vous n’aurez pas toujours de réseau, donc si vous tombez en rade :D. De même gardez toujours un peu de batterie sur votre téléphone en cas de soucis.

Conclusion :

Vous l’aurez remarqué la photo de nuit n’est pas forcément difficile dans sa logique. Il suffit simplement de s’adapter au manque de lumière en optant pour des réglages plus extrêmes que de jour.

En revanche, elle fera davantage appel à vos capacités de photographe de par le fait qu’elle vous obligera souvent à switcher sur le mode manuel et à ruser. Elle mettra aussi à rude épreuve votre patience, et vos nerfs du fait que la nuit vous oblige à prendre le temps d’échouer jusqu’a la réussite. Si de jour le résultat instantané est presque assuré en mode automatique, de nuit il sera plus un ennemi qu’autre chose.

Bref shooter de nuit c’est un peu comme conduire une ancienne, vous êtes sans filet, ça va moins vite, mais le résultat vaut carrément le coup aussi bien sur le plan créatif que de la satisfaction. Un shoot nocturne c’est pas banal alors quand il est réussi il y a de quoi être fier !

Mark

Passionné de photo et de sa BMW E30, Mark a rejoint News d'Anciennes courant 2016. Essais, road-trip, reportages, tout l'intéresse du moment qu'il peut sortir son appareil photo.

Commentaires

  1. MONNET Didier

    Merci pour ce nouveau tuto sur la photo : encore, encore, encore !
    Je pense que tout est dit et bien dit, car dans mon cas, c’est la pratique de l’astrophotographie qui m’a amené à la photo « classique ».
    Les clichés présentés ici sont vraiment magnifiques, surtout ceux en ville, et cela me donne envie de m’y mettre un peu plus !

    Répondre · · 17 avril 2020 à 16 h 37 min

  2. Politic disaster

    Merci pour ce tuto complet et les infos des réglages dans les commentaires des photos pour s’inspirer.
    Perso je conseille les objectifs à focale fixe, souvent plus lumineux.
    Je ne savais pas qu’il était préférable de supprimer la stabilisation optique sur trépied.

    Répondre · · 18 avril 2020 à 21 h 40 min

  3. Lannoo

    Très intéressant, on apprend toujours un tas de choses
    Je suis de niveau très très amateur et je ne savais pas non plus qu’il fallait supprimer le mode stabilisateur de l’appareil lorsqu’on utilise le trépied

    Répondre · · 17 mai 2020 à 17 h 36 min

  4. esteban

    Sympa cet article, merci !
    Bon je pense quand même que la Cox sous la voie lactée ça doit être un peu plus qu’une simple photo…

    Répondre · · 22 mai 2020 à 22 h 25 min

  5. mark

    Et pourtant c’est bien une simple photo avec des réglages spécifiques ;). En général la voie lactée laisse perplexe mais c’est un des basiques de la photo de nuit.

    Répondre · · 25 mai 2020 à 12 h 49 min

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