Depuis 2022, nous vous faisons revivre ce salon dédié aux deux roues et aux mobilités. Il est vrai que si les motos anciennes qui nous intéressent sont toujours un peu les mêmes, on ne boude pas notre plaisir de les voir mises en avant. Mais en fouillant bien, le Salon du 2 Roues 2025 a réservé quelques surprises et de jolies pépites, ainsi qu’une évolution dans sa structure.
Alors c’est parti pour une immersion dans ce Salon du 2 Roues 2025, qui, à l’instar d’Epoqu’Auto, fait la part belle aux clubs et reste à portée des passionnés. Et assurément, les visiteurs ne s’y sont pas trompés puisqu’ils ont été 161.000 (dont 64.736 pour la seule journée du samedi) à venir arpenter les allées, soit 7% de mieux qu’en 2024 !






Au sommaire :
Tour d’horizon
Le Salon du 2 Roues 2025, comme chaque année, n’est pas spécifique au anciennes, et il est toujours intéressant de voir évoluer le contexte global. Cette année, le contrôle technique n’est plus sur toutes les lèvres, ni les ZFE qui concernent pourtant les 2 roues. Et sincèrement, ce n’est pas plus mal et cela permet de se concentrer sur la passion.
Autre constat, les mobilités douces et les solutions électriques ne sont clairement plus un sujet marginal, coincé dans un espace dédié à la sortie du salon. Motos et vélos électriques se montrent sans complexe, tout comme le rétrofit électrique sur d’anciennes gloires du siècle dernier. Mais nous y reviendrons.





Enfin, le marketing est très orienté anciennes : il semblerait que pour vendre du neuf, beaucoup de stands jouent sur la fibre passion rétro, ou mettent en avant les logiques de filiation en terme de design… tiens, ça rappelle un salon parisien du début du mois ! Les simulateurs se font également plus nombreux, quelle que soit la marchandise à valoriser, moto, huiles, vélos et bien d’autres.
Outre ces constats, on retrouve pour ce Salon du 2 Roues 2025 ce qui fait son succès, avec les pistes d’essais en tout genre, la piste RFX MX Indoor, les expositions thématiques et les clubs, les concours, les anniversaires… Des activités sur lesquelles nous allons revenir, même s’il est difficile de faire un article pour chaque stand !






Quadras et au-delà ! Un espace dédié aux anciennes
Direction le hall 3 et l’espace dédié aux motos classiques au Salon du 2 Roues 2025. C’est là que les clubs présentent leurs modèles. Dédiés à une marque, une période ou un modèle, ils présentent les machines iconiques, rares voire rarissimes souvent avec une mise en scène : scène de vie d’antan reconstituée ou plus sobrement, association d’objets d’époque y compris les automobiles, hommage aux grandes figures liées au modèle ou à la marque, détails techniques voire jeux d’échelles de type mini/maxi, etc. Sans oublier le traditionnel stand d’Epoqu’Auto 2025, présentant notamment une superbe Salmson VAL3 de 1925.








La moto de A à Z
Tout est bon pour attirer l’œil du profane venu au Salon du 2 Roues 2025 découvrir l’histoire de la moto, mais aussi du passionné à la recherche de culture technique ou historique souvent par nécessité quand il restaure la moto des grand-parents retrouvée au fond d’une grange.
Pour accéder à cet espace, comme un arc de triomphe à l’entrée de la ville, il faut passer par une exposition originale, comme un dictionnaire de la moto : la moto de A à Z. A chaque lettre de l’alphabet est associée une marque et un exemple, ou plutôt un exemplaire, de moto, ancienne ou plus moderne. On s’aperçoit que seule la lettre X a fait l’objet de la présentation d’un modèle, trop récent pour News d’Anciennes, par défaut.






Les plus anciennes
Passée cette arche, la visite chronologique se doit de partir vers les motos d’avant-guerre avec tant de marques disparues. Une exposition sur ce Salon du 2 Roues 2025 leur est consacrée, multimarques, tout comme les machines présentées par le Club Rétro Moto Cycles de l’Est, et autour, on retrouve des marques comme Dollar, Velocette, ou, plus locales, MGC (Marcel Guiguet et Compagnie), Follis…
Les MGC étaient des motos innovantes, sans cadre, dont la fabrication faisait la part belle à l’Alpax A-S 13 (alliage d’aluminium à 13 % de silicium) et aux aciers techniques. Les pièces, coulées d’un bloc ou usinées, sont extrêmement solides, légères, mais insoudables. Une marque très technique, donc, dont le créateur était originaire de Nord Isère, et qui a connu un succès limité, probablement du fait du prix des modèles, de 1929 à 1943.





Pour Follis, initialement fabricant de cycles, a produit des cyclomoteurs et des motos jusqu’à 250 cm3 grâce aux moteurs Gnome et Rhône, Sachs, Le Poulain ou encore Ydral, à une époque où le 2 roues était une alternative de mobilité à l’automobile trop chère pour beaucoup de familles.
Velocette, marque anglaise, fête les 120 ans de sa première moto, la Véloce, et c’est sa descendante de 1913 qui donnera son nom à la marque. Une marque disparue qui restera dans l’histoire de la même manière que Chenard et Walker dans l’automobile : quand celle-ci sera la première auto victorieuse des 24h du Mans, Freddie Frith sera en 1949, sur une Velocette 350 cm3, le vainqueur du 1er Grand Prix moto de l’histoire.






Les plus récentes des anciennes
Chez les « soeurs ennemies », la Kawasaki Eliminator qui a fêté ses 40 ans l’an dernier, assiste à l’anniversaire de la Yamaha V-Max qui passe la quarantaine cette année au Salon du 2 Roues 2025. La première a créé le style streetfighter avec la ZL 900, quand la seconde bascule directement dans le dragbike, le dragster homologué. Comme souvent sur ces véhicules à forte personnalité, à chacun de choisir son caractère, mais il faut avouer qu’elles ont l’une et l’autre une « sacrée gueule »!
Chez les japonaises du Salon du Roues 2025, Suzuki aussi célèbre les 40 ans d’une machine sportive exceptionnelle dont le nom en a fait rêver plus d’un : la 1100 GSX-R. Enfin, presque… La vrai quadragénaire est en fait la première Suzuki 750 GSX-R qui est arrivée en France ! Cette série marque l’arrivée sur la marché des motos hypersportives 4-temps dérivées de la compétition.






Chez Ducati, était présenté un prototype dont le moteur préfigurait le Pantah. Difficile de retrouver la signature de la marque dans ce modèle « R&D » qui prévoyait les différentes évolutions possibles avec un minimum de modification. Pour BMW, plus sobrement, les modèles emblématiques de la marque à l’hélice trônaient sur le stand à côté d’une machine signée par Randy Mamola.






Difficile de détailler par les mots tous les stands et tous les modèles, dont un aréopage est à retrouver dans la galerie finale de cet article, mais lors du Salon du 2 roues 2025, les « cyclos » sont encore bien mis en avant, mais les années passant, les mob cèdent peu à peu du terrain aux Peugeot 103 SP, Motobécane 51 Black, leurs séries dérivées, et bien sûr les modèles « kités » notamment par Polini. Les années 80 dans le coeur…
Encore un dernier détour, car il fallait oser : les Honda Monkeys dans tous leurs états jouent les singes sur un dumper Berliet T/25, aussi gros que ces motos sont lilliputiennes ! Difficile pour le visiteur du Salon du 2 roues 2025 de dire : « ah? je ne les ai pas vues ! »






Lyon Custom Factory : 9000 m² dédiés à la Kustom Kulture
On aime ou pas, mais la personnalisation des montures est un exercice qui a toujours fait partie de la culture bikers. Ce salon dans le Salon du 2 Roues 2025 en est à sa deuxième édition.
Les customs sont à la moto ce que la créature du Dr Frankenstein était à l’humanité. Est pour continuer ce parallèle, quand on lit le roman de Mary Shelley, on se rend compte que cette créature peut être aussi belle que brute, intrigante que délicate, et qu’elle ressemble souvent à son créateur, le Dr Frankenstein.





Si les modifications sont parfois subtiles, presques invisibles ciblant plutôt le moteur, certaines de ces machines au contraire en deviennent de véritables oeuvres d’art : peintures pailletées, designs ostentatoires, rat bikes, tout est bon pour être vu. Jusque parfois à des extrémités où la moto n’est plus pilotable sauf dans des shows où tout est prévu pour la sécurité des pilotes et des machines.
Des exemples de ces cas très particuliers sur le Salon du 2 Roues 2025 ? L’exposition chicanos, avec ses voitures low-riders et motos aux décorations artistiques jusqu’aux jantes spécifiques et formes et en diamètres, est l’une de ces extravagances. L’autre, ce sont les machines du club V-Max génération, dont certaines sont équipées de bouteilles de protoxyde d’azote et de compresseur, comme la Lazareth aux couleurs Gulf.





Une exposition au coeur du Salon du 2 Roues 2025 où le but est de s’en mettre plein les yeux pour oublier le contrôle technique 2 roues et les ZFE !
Machines et moteurs
Route et circuit, quand le bitume défile sous les roues
Dès l’entrée, sur la place des Lumières d’Eurexpo, le Salon du 2 Roues 2025 a reconstitué une grille dédiée aux motos de Grand-Prix, mettant en avant l’évolution des machines modernes, des années 70 à aujourd’hui. Une exposition à mettre en parallèle avec celle dédiée aux combinaisons portées par les pilotes de grand prix au fil des ans.
Une autre présentation sur le Salon du 2 Roues 2025 revenait sur les 80 ans du Grand-Prix 500 cm3, catégorie qui s’est imposée comme la catégorie reine de la discipline. De la Peugeot 500 bicylindre du début du 20ème siècle en passant par des machines essentiellement de la fin de ce premier siècle de sports mécaniques, pour finir avec une Yamaha 500 de 2002, les machines présentées sont celles qui ont couru au fil des grands-prix. Du fait de la Loi Evin, on notera que le cigarettier G**loises a cédé sa place à Sonoises… Il faut s’adapter !







Impossible de passer à côté des Godier-Genoud, des Yamaha TZ et autres Aspes. Tout comme de l’exposition dédiée aux montées historiques qui met en avant la variété des motos utilisées lors de ces exercices.






Un autre grand nom parmi les constructeurs moto était mis à l’honneur avec un stand immense : MV Agusta. La marque a 80 ans et ne compte plus ses titres, acquis notamment avec Giacommo Agostini au guidon tant en 350 qu’en 500 cm3. L’occasion de revoir les motos les plus emblématiques de cette marque italienne.







Cross, trail et trial : le tout-terrain est aussi de la partie
Pour ce Salon du 2 Roues 2025, les sports tout terrain occupaient une place importante dans les expositions. avec des cinquantenaires à la pelle… On citera notamment les Yamaha 500 XT ou la moins connue TY (Trial Yamaha), ou encore les RM 2-temps de Suzuki, issues des TM, elles-mêmes versions « domestiquées » des RH d’usine.
Côté français, les cinquantes bougies sont soufflées par la marque Portal, encore aujourd’hui détentrice d’un record depuis 1980 : un trio de Portal est en tête du championnat Inter (international) en 125, 250 et 500 cm3! Une marque, motorisée par Sach au début, puis CZ, Rotax et même Honda, aux multiples succès jusqu’au clap de fin en 1982.







L’Enduropale du Touquet, course emblématique remportée pour la 3ème année consécutive par le britannique Todd Kellet sur Yamaha, fête également son cinquantenaire et l’exposition du Salon du 2 Roues 2025 qui lui est dédiée met en avant quelques motos qui ont participé à la renommée de cet événement.




On citera également la belle exposition qui fait sortir de l’ombre la marque espagnole Bultaco aux yeux du grand public. Son créateur, Paco Bulto avait pour credo que seule la compétition permettait de progresser. Et question compétition, la marque a écrit les lettres de noblesse des championnats de trial, avec 5 titres de champion du monde et plusieurs titres de champion de France avec Charles Coutard, de motocross avec Serge Bacou, 6 fois champion de France, et le propre fils du créateur Ignacio Bulto plusieurs fois champion d’Espagne… Le logo au pouce levé, on dirait aujourd’hui un « like », va finalement bien à la marque.
Dans le tout-terrain, le Salon du 2 Roues 2025 n’oublie pas les engins de speedway, sur ovales en terre ou glace. Comme des squelettes motorisés, ces machines sans frein ni amortisseur nécessitent un doigté particulier pour les inscrire en drift dans les virages de la piste. Une esthétique dont le caractère est encore rendu plus rageur sur la glace, avec la présence de clous de plusieurs centimètres !







Un Bel espace Rallye-Raids
Le Paris-Dakar, toutes époques, et l’Africa Eco Race présentaient des véhicules toujours intéressants, voire insolites comme la DS Astral n°145 de Roncin, Quentin et Darmendrail engagée au Dakar 1981, trônant à côté de la réplique de la Kawasaki de Fenouil et quelques autres motos historiques.





Une exposition thématique permettait de s’immerger un soir de bivouac dans les années 80 et le sable chatouillait doucement les narines, comme un appel du désert, entouré de tous ces engins adaptés, modifiés au début et véritables machines d’usine et proto par la suite.





Des moteurs et expos en tous genres
La Place des Lumières du Salon du 2 Roues 2025 présentait, outre la grille de motos de courses, une exposition originale sur les moteurs, où des mécaniques moto côtoyaient des « bouzins » empruntés à l’aviation et même l’aérospatiale. Plutôt impressionnant et intéressant de voir, là encore, l’évolution chronologique des mécaniques. Petit clin d’œil aux moteurs de Wolf Design, dont presque chaque pièce est imprimée en 3D, et notamment le Wankel, modifié en horloge.






Mais question expositions décalées du Salon du 2 Roues 2025, elles étaient plutôt le fait des plus petites cylindrées. Les cyclomoteurs et mobs comme on en a déjà parlé, les triplettes 2 Bonneville et leurs records plutôt salés, les mini-Yam qui ont tout des grandes. Il y avait aussi cette expo jet ski qui permet de constater l’évolution de la discipline…






Mais un large espace était dédié aux plus petits 2 roues à traction avant… Les bons vieux Solex ! Le Solex se décline autour de 4 thèmes, un peu à la façon des sagas cinématographiques que sont les Gendarmes ou la 7ème Compagnie : le Solex fait son cinéma, le Solex va au boulot, le Solex et les artistes et la Solex Mania.






On finira sur les machines volantes de Lazareth et la pyramide de l’expo Toutankhatpat qui mêle artistiquement égyptologie et moto. Deux expos minimalistes encadrées par une évolution des Harley Davidson ainsi qu’une série de motos marquantes de diverses époques, dont une réplique de la Honda CB750 Nighthawk de 1992 customisée de Norman Reedus – alias Daryl Dixon, tout droit issue de la série The Walking Dead.






Le Salon du 2 Roues 2025, ce ne sont pas que des anciennes !
Oui, c’est vrai qu’il y a tant de choses à voir parmi les motos du siècle dernier qu’on serait presque tenté de faire l’impasse sur les choses plus modernes. Pourtant, il y a quelques pépites, comme les Brough-Superior siglées Aston Martin ou la Quintessence de Midual.
Une grande place à l’électrification permettait de voir des design beaucoup plus novateurs qu’autour de la voiture électrique, mais aussi une palette de rétrofit ou de re-créations.
Petits coups de coeurs sur cette facette du Salon du 2 Roues 2025, d’une part pour cette production basée sur le Honda Cub Ez 90. L’original se prête plutôt bien à l’intégration des batteries avec son design futuriste entièrement carrossé. D’autre part, côté rétrofit, l’électrification des Solex, en conservant le moteur avant, est plutôt intéressante et correspond bien à la philosophie initiale du vélosolex. Et il faut avouer que le Ciao de Piaggio reste très proche de la version d’origine et que là encore, la définition de base de l’engin est plutôt respectée.







Au Salon du 2 Roues 2025, Elf exposait une Alpine A424, hypercar engagée au WEC, entourée de motos d’époque à l’historique marquant, comme la Elf R, pilotée entre autres par Hubert Auriol, entièrement carénée, la Elf E de 1983 déshabillée pour l’occasion ou la TZ 750 D de 1977, réplique de la OW31 sur laquelle Coluche a fait tomber quelques records.
Une vente aux enchères organisée par Only Enchères et le Commissaire priseur Maître Cheveu d’Or, permet à tous de venir s’offrir l’une des 300 motos présentées, modernes ou anciennes, après les avoir détaillées à l’arrêt sur les espaces de présentation. Difficile de trouver 2 machines identiques sur 2 ou 3 roues !






Shows et démos : ça roule !
Le Tout-Terrain
Comme lors des éditions précédentes, pour ceux qui veulent tester de nouvelles montures ou de nouvelles sensations sur piste de terre, mais sans compétition, une piste trail là aussi variée permet à tous de rider pour mieux appréhender les motos mises à disposition. Quant à Mash, Royal Enfield et Moto Morini, ils avaient réservé un coin de bitume pour leurs essais.
Idem, on retrouve un hall complet dédié au RFX MX Indoor de Lyon. Des mètres cubes de terre amenés là pour permettre à tous de venir se mesurer sur un circuit varié, étudié pour tous les niveaux de pilotage. L’occasion de « s’envoyer en l’air » sur cette piste éphémère.






Chauds Shows
Mais à côté des dragsters et du trial, et en l’absence des Intrépides, des shows a fait forte sensation : ceux de Supermotard et de Stunt. N’ayant pu suivre la performance de Sarah Lezito, celle de Leandro et sa soeur Louna était assez exceptionnelle. Du haut de ses 15 ans, c’était impressionnant de la voir maîtriser une machine de 200 kg comme un vulgaire BMX !






Ces shows étaient du Salon du 2 Roues 2025 aussi l’occasion de rappeler aux motards l’importance de l’équipement avec des cascades bien orchestrées : même en été, le combo Jean/T-shirt/sneakers mettra à mal une jolie peau tannée par le soleil si elle n’est pas mieux protégée… Dans le meilleur des cas !
Des shows non motorisés indoor, vélos et skate-board notamment, venaient aussi ponctuer les animations tout au long des 4 jours du Salon du 2 Roues 2025.




Compétitions
Maintenant traditionnel sur le Salon du 2 Roues 2025, le concours Top-Clef se fait affronter 36 candidats répartis en 9 équipes de 4 participants autour de Honda CRF 125. Calages moteurs, tensions de chaînes, et tous les actes mécaniques sur le moteur et la partie cycle sont scrutés par les examinateurs : les apprentis doivent savoir tout faire !
Nouveauté, et dans le même esprit, le Maillon Fort permet à chacun de se mesurer aux meilleurs techniciens vélo avec le montage de A à Z et le réglage d’un VTT Santa Cruz. Là encore, le savoir-faire et la passion sont mis en lumière dans cette épreuve.







Conclusion
Bien qu’il soit difficile de résumer en quelques lignes un salon aussi intense que ce Salon du 2 Roues 2025, on ne peut qu’avoir envie d’y revenir, que l’on soit ou non motard. L’ambiance, les shows, les machines présentées, tout est mis en œuvre pour que le visiteur se sente chez lui.
Mais comme lors de chaque édition, le Salon du 2 Roues 2025 a été victime de son succès avec une fréquentation intense dès le premier jour d’ouverture, en semaine, et plutôt dédié aux professionnels.
Donc, à l’année prochaine pour essayer de vous faire profiter d’autres points de vues sur ce monde unique qu’est la moto et plus globalement, celui du 2 roues, motorisé ou non.
Et on finit par une bonne grosse galerie…












































































































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