La démarche photographique : La préparation

Publié le par Mark

La démarche photographique : La préparation

Pour faire suite au premier article, nous allons nous intéresser un peu plus en détail à la démarche photographique. Ne vous inquiétez pas, je vais essayer de faire simple sans rentrer dans les aspects techniques tels que l’usage d’un appareil photo. Après tout, ces articles sont destinés à tous, et tout le monde ne dispose pas d’un «vrai» appareil photo. Et puis je n’oublie pas mes origines, comme bon nombre d’entre vous j’ai démarré avec mon téléphone portable.

La démarche

Qu’est-ce que j’entends par démarche ? Bah c’est tout simplement le cheminement qui part de l’idée pour arriver à la production de l’image. Acquérir une démarche, c’est un peu le secret de la réussite, même si parfois le hasard pur peut donner de très bons résultats. Et non, le photographe n’est pas qu’un poète éthéré aux cheveux longs errant en quête de la belle image. Moins il y a de hasard en photo, mieux c’est, mais on y reviendra. Bref, reprenons la démarche. A mon sens, celle-ci se scinde en quatre étapes :

  • La préparation : qui détermine ce que l’on a veut faire et comment on va y arriver.
  • Le terrain : le moment l’on empoigne le sac de photographe où l’on va prendre la photo.
  • La post-production : la partie ou l’on produit à proprement parler l’image. Cette étape n’est pas nécessaire, car c’est votre appareil qui la fait pour vous dans la majeure partie des cas.
  • On pourrait rajouter l’impression qui reste la finalité d’une photographie, mais je n’aborderais pas ce point.

La préparation

Un bon conseil de ma part serait : bossez votre préparation. Pourquoi ? Parce qu’elle va vous permettre de gagner énormément de temps et de souplesse sur le terrain. Croyez-moi lorsque l’on sait que certaines lumières durent moins de cinq minutes, ne pas être prêt peut vous faire louper une perle. Avec l’expérience on est évidement plus affûté, et on peut se permettre d’être à « l’arrache ». Mais faut pas pousser mémé dans les orties.

Si je commence à regarder où je peux shooter alors que le soleil franchit l’horizon dans 10 minutes… bah sois je suis vraiment en forme, et c’est jouable, soit bien souvent je me loupe. Bref être prêt, c’est arriver serein sur le spot, et n’avoir plus qu’à composer, et attendre le bon moment. Autant dire que lorsqu’on a fait 1000km, et qu’on a qu’une seule fenêtre de tir pour un shooting, ce n’est pas du luxe.

La préparation, par quoi ça passe ?

  • Qu’est-ce que je veux faire et avec quoi ?
  • Quelle heure de la journée ?
  • Choisir et apprivoiser son spot
  • Choisir sa météo

Qu’est-ce que je veux faire et avec quoi ?

Avant de sortir, se questionner sur ce qu’on veut faire, n’est pas une mauvaise idée. Cela permet d’être plus direct, précis, et d’éviter de perdre du temps à tourner en rond une fois sur place. Bon il est évident qu’a cette étape d’un projet on ne détermine pas avec exactitude les photos que l’on va obtenir (quoique parfois ça m’est arrivé), mais on peut quand même dégager un thème et une ligne conductrice.

Et c’est de cette idée que va découler la suite de la démarche. Bref, au cours de cette étape on détermine :

  • Le modèle
  • Le type de spot
  • Le type de lumière

Une fois tous ces éléments définis, il ne reste plus qu’à passer aux phases suivantes de la préparation.

Le choix de l’heure

Comme évoqué plus haut, en photo on aime autant le confort que l’on fuit le hasard. Forcément la base, c’est la sélection du bon créneau horaire.
D’accord on a pas toujours le choix, surtout si l’on travaille avec des tiers. Mais lorsque l’on fait cavalier seul, ou que l’on est entouré de potes aussi barrés que nous, bah autant s’accorder ce luxe qui va apporter un gros plus aux images. Alors quelles sont les heures à ne pas manquer et quelles sont celles à fuir ?

À ne pas manquer

  • La golden hour : environs une heure avant le coucher, et une heure après le lever de soleil. Vous l’aurez deviné c’est au cours de ce créneau que la lumière s’adoucie étalant les ombres au sol tout en prenant des teintes dorées. C’est le moment idéal pour commencer à sortir les gaules ou finir un shoot. Cela dit attention le contre-jour peut être complexe à gérer.
  • Les couchers / levers de soleil : Il n’y a pas vraiment de règles sur ce créneau. Mais d’expérience je dirais que cette période s’étale de plus ou moins dix minutes autour de l’instant où le soleil franchit l’horizon. C’est là qu’il faut être prêt, et perdre le moins de temps possible, car c’est dans ce court moment que le ciel offre ses plus belles couleurs. Pour ne rien manquer je vous conseillerais de shooter presque en continu sur cette période, et n’hésitez pas à placer quelques contre jours. Autre point, sachez que les nuances du lever de soleil sont plus froides que celles du coucher.
  • L’heure bleue : environs 40 minutes après le coucher et 40 minutes avant le lever de soleil. Ce créneau est intéressant car il fait nuit sans faire nuit. D’un point de vue photographique cela se traduit par un rendu bleu roi du ciel et des contrastes plus souples qu’en pleine nuit. Cette période permet aussi de shooter à main levée sans perdre en qualité visuelle. Alors si vous aimez les ambiances nocturnes n’hésitez pas.
  • La nuit : La nuit profonde est particulière et forte en caractère. Cela dit il faut au minimum un bon appareil photo réglable manuellement, une optique ouvrant fort et un pied. En contrepartie si la météo est claire et que la lune se fait discrète la nuit vous offrira de magnifiques ciels étoilés. Et franchement ça a de la gueule si c’est bien exécuté. La nuit noire vous permettra aussi d’obtenir des ambiances plus sinistres, bref un vrai terrain de jeu.

À fuir

  • La pleine journée : Ombres dures, jeux de lumière et contraste peu intéressants. La pleine journée sans la bonne météo est à fuir. Globalement il en ressort des photos plates. Donc, à moins de maîtriser le sujet et d’avoir le spot qui se marie à ce type de conditions, le rendu ne sera pas au rendez-vous. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il ne faut rien tenter, certaines situations se marient très bien avec ce type d’horaire.

Vous l’aurez compris, choisir son heure c’est choisir sa lumière et le type de rendu que l’on veut. En sélectionnant soigneusement votre créneau vous augmentez aussi vos chances de faire de belles prises. C’est une étape réellement importante de la démarche photographie, qui plus est facile à appréhender. Rien de plus évident que de se renseigner sur les horaires du soleil.

Choisir son spot

Choisir son spot, cette étape essentielle peut sembler simple et évidente au premier abord. En fait, pas forcément. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est une science m’enfin ce n’est pas loin de l’être. Un bon spot c’est quoi en fait ?

  • Un beau cadre qui viendra directement mettre en valeur la photo et le sujet.
  • Un décor suscitant de l’intérêt ou créant une forte atmosphère.
  • Un endroit qui nous permet de composer plusieurs images.
  • Un lieu bien exposé afin de capturer une belle lumière et de beaux contrastes (une orientation est ouest étant idéale).

Non la station de lavage ou le parking du supermarché local ne sont pas de bons spots

Quels sont les moyens de débusquer la perle ?

  • Le repérage physique : Si vous n’êtes pas trop loin de votre cible c’est la meilleure option. Sans chercher à prendre de clichés, je vous invite à vous rendre sur le lieu à différents moments afin de vous rendre compte de la réalité et de vos possibilités.
  • Les cartes : Si vous savez lire une carte alors cela peut être une façon de faire. En général les points d’intérêt sont notés dessus, et si celle-ci indique les reliefs cela peut être une bonne aide. Malheureusement avec une carte vous n’obtiendrez qu’un point et il vous sera impossible de savoir à quoi l’endroit ressemble réellement.
  • La vue satellite : Même principe que la carte, sauf que celle-ci donne plus d’indications sur le visuel et l’exposition d’un spot. Avec internet, la vue satellite s’impose comme l’une des meilleures options. Cela dit attention, pensez à vérifier la date d’édition de la vue. Et oui les spots évoluent surtout en ville.
  • La street view : Là c’est comme si vous vous promeniez sur place, tout en étant chez vous, c’est le top. Personnellement la street view est de loin mon outil principal pour checker un spot. Cela dit attention aux dates car comme pour les vues satellites les spots évoluent.
  • Le bouche à oreille : Classique et efficace. Parfois demander c’est bien aussi. À condition que la personne daigne vous répondre. Les photographes n’aiment pas livrer leurs spots (je trouve ça stupide), et c’est particulièrement vrai si vous recherchez des spots de type urbex.
  • Les guides : Ça tombe sous le sens vu qu’ils ont pour but de répertorier les endroits les plus intéressants d’une région. Cela dit ils ne garantissent ni le visuel ni l’accessibilité, un peu comme une carte quoi mais en mieux.
  • Internet : tout bêtement car la toile regorge d’informations.
  • Les cartes de pollution lumineuse : Très utiles pour faire des ciels étoilés, elles ne servent que dans ce but en fait. Bien souvent la lumière des agglomérations vient estomper l’intensité du ciel. Le but de ces cartes étant de chercher les zones les plus sombres afin de ne pas être parasité.

Une fois que vous avez choisi le spot, il ne vous reste pratiquement plus qu’à aller shooter. Cela dit, ce n’est pas parce qu’un spot est bon que vous allez parvenir à composer avec. Parfois il faut y retourner plusieurs fois pour apprendre à le gérer. Personnellement cela m’est arrivé au col de l’Iseran. Le lieu avait tout pour plaire, paysages grandioses, belle exposition, peu de fréquentation, et de nombreux points d’arrêts. Mais je n’arrivais pas à sortir de bons trucs les premières fois. Puis à force d’y aller, il est devenu mon arme absolue pour shooter une caisse.

Choisir sa météo

Dernier point et pas des moindres, la météo. Celle-ci vient directement en appui de la lumière et du spot, donc il ne faut pas la négliger. En revanche, s’il est possible de mettre le maximum de chance de son coté en suivant certains conseils, le rendu définitif reste un pur hasard. Car il est impossible de savoir ce que donnera le ciel au moment du shoot. Pour moi c’est l’étape de la démarche la plus intéressante. C’est le moment où l’on pronostique, ou l’on se fait surprendre, et ou la photo devient une activité vraiment vivante.

Quel temps choisir pour son heure et comment maximiser ses chances ?

  • Le ciel nuageux pour toute heure. Pourquoi les nuages ? Parce qu’ils vont vous aider à composer et à remplir une partie de votre cadre. Ils vont aussi adoucir et diffuser la lumière. Cela dit, il n’y a pas grand intérêt à shooter sous une couverture partielle mais suffisante pour masquer les rayons du soleil. Pour les prédire, rien de plus simple, il suffit de regarder la météo.
  • La brume/brouillard pour toute heure : Difficile à prédire elle a est pourtant un atout majeur. Les ciels brumeux vont apporter énormément de douceur à l’image. Le brouillard peut aussi être employé pour donner un rendu mystérieux ou sinistre. D’expérience on retrouve souvent un temps brumeux lorsque :
    • L’humidité est très élevée (95%)
    • Il y a peu de vent
    • Température proche du point de rosée
    • Forte évaporation, typiquement soleil et remontée thermique après une averse
    • Les remontées nuageuses en altitude
  • Les orages pour toute heure : Ambiance menaçante, contrastes et ciels de fous, les orages sont de précieux alliés. Par contre attention ! Ils restent dangereux et imprévisibles alors ne faites pas n’importe quoi. Et n’oubliez pas que le but est de les avoir en décors sans être en dessous, et la se placer devient vraiment difficile. Comment faire en cas d’orage ?
    • Impérativement être prêt. Un orage se déplace et se décompose très vite. À moins d’être proche de votre spot sachez qu’aux premiers éclairs vous avez perdu d’avance. Il faut donc se tenir prêt et pouvoir dégainer le plus vite possible.
    • Donner rendez-vous. L’idéal est d’observer les masses nuageuses dans le ciel et de déterminer leur trajectoire afin de définir un spot de rendez-vous. Là encore il faut être ultra rapide et déjà dehors.
    • Checker les sites spécialisés. Keraunos, Météociel entre autre. Ceux-ci en plus de donner la probabilité d’orage sur un secteur, indiquent les impacts de foudre sur une échelle temporelle. Grâce à cette information on peut savoir s’il y a un orage, son niveau d’intensité, sa localisation, et comment il se déplace. Il ne reste plus qu’à lui donner rendez-vous.
  • La pluie à toute heure : Et oui, elle peut nous aider. En mouillant les surfaces qu’elle atteint la pluie fait ressortir de nombreuses textures. Elle peut aussi nous permettre de jouer avec les reflets dans les flaques d’eau. Bien évidement elle offre une ambiance particulière. Comme les nuages, rien de bien compliqué pour l’anticiper.
  • Le ciel dégagé pour la nuit : Aussi bien en journée qu’en soirée, je ne recommande pas ce type de ciel (sauf dans certains cas). Les lumières ne sont pas très intéressantes et brutales. En revanche de nuit lorsqu’il faut photographier la voute céleste, le ciel dégagé est impératif. Dans ce cas-là il doit aussi être doublé d’une lune discrète. Pour avoir cette info il suffit de regarder au-dessus de votre tête, ou de vous référer aux calendriers lunaires.
  • La neige à toute heure : La neige a cette capacité d’uniformiser le décor, de centrer l’attention sur le sujet et non les couleurs. Elle n’est donc pas à exclure en photographie d’autant qu’elle peut offrir de très belles ambiances. Pour la trouver, rien de plus simple. Visez l’altitude ou les saisons froides et attendez les bulletins météo.

Alors attention, autant choisir un horaire ne nécessite pas énormément de flexibilité, autant se plier aux caprices de la météo… c’est une autre paire de manches. Il est évident que l’on n’a pas forcément le luxe de déambuler aux aléas de dame nature. Parfois certains projets sont réservés de longue date, alors dans ces cas-là il faudra compter sur la chance ou bien choisir sa saison pour maximiser les probabilités de bonnes conditions.

Les chelems photographiques ou l’aboutissement d’une bonne préparation

Maintenant que vous en savez un peu plus sur les bonnes conditions et leur obtention passons aux saints des saints : les chelems. Cette notion n’existe pas vraiment de manière officielle. Ce que je vais vous en dire est purement personnel.

Pour moi un chelem photographique est un regroupement de conditions favorables au même moment, spot, lumière, météo, sujet etc… Plus les éléments favorables sont nombreux, plus le chelem est grand et plus c’est potentiellement beau. Bref, préparer un chelem revient à planifier son projet pour d’être au bon endroit au bon moment. Autant vous dire qu’il faut de l’expérience, du flair et de la chance lorsqu’on se lance dans ce type de préparation. Mais le résultat est gratifiant et le coté pari très amusant.

  • Le petit chelem : Pour moi il consiste juste à regrouper deux éléments (pour obtenir des couleurs et des lumières explosives par exemple). Un des buts serait d’allier couverture nuageuse et coucher/lever de soleil. Facile à faire ? Pas tant que ça. D’une il faut des nuages et de deux il faut que ceux-ci ne masquent pas l’horizon. Si c’est le cas le soleil se couchera/lèvera dans une lumière grisâtre sans intérêt. Bref pour de beaux couchers/levers de jour pensez systématiquement qu’au niveau de l’horizon (ou proche) le soleil doit avoir une fenêtre pour éclairer les nuages. Un autre exemple serait tout simplement spot modèle.
  • Le grand chelem : À mon sens c’est un événement très rare, qui en plus de la chance, nécessite de coordonner toutes ses connaissances de planificateur et de jouer de patience. Le grand Chelem c’est quoi ? Bah par exemple, c’est quand vous regroupez coucher/lever de soleil explosif, orage, brume, pluie et spot de luxe au même moment. En tant que photographe cela ne m’est arrivé qu’une fois et c’était un gros pari. D’ailleurs temps que j’y suis-je vais vous le raconter.

Malaucène 2018, ce soir-là j’avais prévu de faire un coucher de soleil sur le Ventoux avec pour sujet mon 320. Spot de luxe pour le meilleur moment de la journée, vous commencez à cerner la logique. D’autant que la météo annonçait quelques nuages. Sauf qu’a 50 minute de la fin de journée le ciel a commencé à devenir orageux. C’est à ce moment-là que je me suis posé la question de l’utilité de grimper au sommet. La couverture nuageuse était épaisse et la lumière grisâtre. Bref, je me suis dit : « Mon con si tu n’y vas pas et que dans 50 minutes ça se dégage tu vas t’en mordre les couilles, alors sois patient et grimpe ! ». Finalement guidé par mon intuition (faut dire que le temps évolue très vite en altitude donc rien n’est impossible) je suis monté.

Au début c’était nul. Puis les premiers grondements sont arrivés. Et avec eux la belle lumière orageuse. Dans ma tête c’était « bien joué mon gros ! » même si je ne faisais pas le malin là-haut avec la foudre. À 20 minutes du coucher de soleil, la pluie est arrivée rafraîchissant l’atmosphère, un joyeux bordel. À 10 minutes l’orage avait suffisamment bougé pour dégager l’horizon. À ce moment-là le ciel était incroyable, et j’avais la pluie pour texturer le sol et l’auto. À 5 minutes de la fin, le vent avait fait remonter la brume de la vallée. Cette fois l’affaire était bouclée et j’avais clairement ma photo de l’année. Tout ça pour dire que si je n’avais pas préparé ma prise je n’aurais probablement pas pu être là-haut à cet instant précis. Et même si cela avait été le cas je n’aurais pas eu la même dextérité si je n’avais pas fait de reconnaissance antérieure.

Conclusion

Préparer une séance n’est pas un acte nécessaire en soi. Au contraire, c’est long parfois galère et ça ne garantit pas le résultat. Puis bon nombre de photos ne nécessitent pas d’être planifiées de la sorte. Est-ce que j’ai besoin d’avoir ce que la nature offre de plus beau pour shooter du détail ou dans un sous-sol, un salon etc ? Non c’est évident.

Mais si vous êtes en extérieur croyez-moi, avoir préparé votre prise fera une sacrée différence. Et plus vous préparerez/anticiperez moins cette étape sera longue. Pour certains endroits que je connais très bien, je n’ai plus qu’à regarder le ciel ma montre et trancher si photo ou pas.

Mark

Passionné de photo et de sa BMW E30, Mark a rejoint News d'Anciennes courant 2016. Essais, road-trip, reportages, tout l'intéresse du moment qu'il peut sortir son appareil photo.

Commentaires

  1. Pascalou Buggy

    Bravo et merci pour cet excellent reportage et tutoriel photographique.

    Répondre · · 5 août 2019 à 18 h 06 min

  2. pguy78

    Merci pour cette série de reportage, on a jamais fini d’apprendre dans la vie

    Répondre · · 9 août 2019 à 7 h 56 min

  3. ted

    vous n’ avez pas parler des saisons: un soleil d’ hivers n’ a pas du tout la meme luminosité qu’ un soleil d’ été

    Répondre · · 12 août 2019 à 21 h 11 min

    1. Mark

      Alors j’ai légèrement évoqué les saisons. Cela dit par contrainte d’espace (tout le monde n’a pas la même faculté de lecture) il faut bien faire des compromis. Et même si j’y ai pensé pendant la rédaction, j’ai préféré ne pas en rajouter davantage à ce déjà long article. Vous avez tout à fait raison les lumières d’hiver n’ont rien à voir avec les lumières estivales, de même, les couchers/levers de soleil ne s’étalent pas sur la même durée, ou encore les paysages, les couleurs etc.

      Répondre · · 13 août 2019 à 18 h 27 min

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