Essai d’une Maserati 3200 GT : un caractère bien Italien ?

Publié le par Alexis Bonhomme

Essai d’une Maserati 3200 GT : un caractère bien Italien ?

Vous savez tous, comme moi, qu’il existe des jours pas comme les autres. Cet essai en fait partie. Comment oser laisser prendre les rênes d’une élégante italienne à un jeune bambin fougueux de tout juste 23 printemps ? Il faut croire que tout est possible et je vais vous l’exposer en détails. Mettez votre meilleur costume trois pièces (ou robe de soirée, nous ne sommes pas sectaires) et montez avec moi, on essaye une Maserati 3200 GT !

En quelques mots : la Maserati 3200 GT 

Cette GT est la première auto de chez Maserati à être produite sous la nouvelle ère Ferrari qui débute à la fin des années 90. Elle renoue avec les temps anciens de par ses courbes arrondies. Par contre, c’est aussi, d’une certaine façon, la dernière Maserati de l’époque précédente. Son moteur est le dernier à être exclusif au trident et elle amène nombre de nouveautés. Laissez-moi vous les compter.

Extérieur : deux facettes pour un visage

Mais que peu donc bien cacher cette expression ? Qu’est-ce qui peut rendre si homogène cette Maserati 3200 GT ? Et bien tout simplement son design extérieur ! Nous sommes ici en présence d’une des rares autos au design si troublant mais qu’il procure un effet “wouahou” dès ses premières visions. Mais dans ce cas, pourquoi interpréter ce design comme troublant ? Pour la simple et bonne raison de l’écart notable entre l’élégance de son avant et l’extravagance de son postérieur. Vous avez là une des dernières pièces maîtresses du design de la fin des années 90.  

Ce design (signé Guigiaro) est reconnaissable puisqu’il arrondit les angles dans tous les sens du terme. Les lignes se tendent et s’arrondissent tandis que les phares se complexifient. Tout est fait pour oublier le design (aussi beau soit-il) de la décennie précédente… et les déclinaisons qu’offraient le trident sur la base de la Biturbo.

Maserati 3200 GT 00874- Maserati 3200 GT

Ma première impression à sa vue devant le local de son heureux propriétaire a été l’étonnement. Étant encore vierge de toute expérience dans le domaine du grand tourisme à l’italienne, cette face avant très lisse et pourtant si bien travaillée m’a étonné puisque pour moi la marque Maserati m’évoquait le sport.

Cela se ressent surtout avec les optiques dissociées qui sont du plus bel effet. La calandre, toute de chrome vêtu, arbore fièrement le trident propre à la marque. Un détail qui a du sens pour un Italien. La face avant présente également une large lèvre inférieure pour pouvoir fendre l’air. Et oui, à presque 300 km/h, la pénétration aérodynamique est essentielle (Cx : 0,34). Le capot moteur joue aussi un rôle puisqu’en plus d’être bosselé, il présente des entrées d’air  

Maserati 3200 GT 00823- Maserati 3200 GT

Cette pénétration dans l’air est également améliorée par la ligne générale de l’auto. La caisse est assez basse et les roues de 18 pouces remplissent largement les espaces qui leurs sont dédiés. Les portes sont grandes et la surface vitrée offerte se termine par une petite custode de chaque côté. 

Passons à l’arrière ou se situe une des pièces maîtresses de cette GT, ses feux dits “Boomerangs”. Non homologués aux USA, ces feux si particuliers ne se retrouvent que sur les Maserati 3200 GT européennes. Les quatre sorties d’échappements, serrées entre la jupe et la lame, annoncent fièrement la couleur.

Ce contraste apporté entre une face avant façon DB7 et cette face arrière façon concept car procure aux Maserati 3200 GT une gueule qu’on adore.

Intérieur : Jeanne Mas n’a qu’à bien se tenir !

Dans la majeure partie des cas, il est difficile d’associer une ambiance intérieure avec une ambiance extérieure. Et pourtant, Maserati l’a fait ! Conforme à ce qu’elle sait faire sur ses GT déjà produite, mais en passant par une case renouvellement qui la fait entrer dans une autre ère automobile, Maserati a donc produit un intérieur digne de la ligne de sa nouvelle auto.

Maserati 3200 GT 00891- Maserati 3200 GT

Le cuir rouge des sièges est omniprésent tandis que le cuir noir du tableau de bord n’est pas oppressant. Les assises sont exemplaires de confort et de maintien, aussi bien devant qu’à l’arrière. Et oui, la Maserati 3200 GT était la seule de son segment (les coupés GT de luxe) à disposer de deux vraies places arrière. Malheureusement, ce point fort ampute du volume au coffre. 

Concernant les équipements disponibles dans ce coupé, la fameuse horloge propre à la marque est bien présente. Elle repose sur une console centrale qui accueille les divers réglages de température et de ventilation. Un autoradio est même proposé ! Pourtant, avec ce qui se situe dans la baie moteur… 

Côté conducteur, le combiné d’instrumentation est très complet et lisible. Il est éclairé d’un vert pâle la nuit venant. Il est gradué jusqu’à des vitesses inavouables et sa typographie reflète le charme à l’italienne, discrète et élégante. Le conducteur n’a alors plus qu’à presser le frein et vérifier d’être en mode “parking” pour démarrer et rouler.

Moteur : L’excès du Bi-Turbo

Avant de démarrer, petite question simple. Que doit-on faire pour obtenir un rapport puissance/cylindrée de 115ch/L ? En général, on installe un turbocompresseur qui permet un gain facile de performance. Or savez-vous quel est l’inconvénient d’un turbocompresseur ? Plus il est gros, plus la puissance qu’il délivrera arrivera tardivement et brusquement. Ce principe n’est pas ce que l’on souhaite avoir sur une GT.

C’est pourquoi Maserati a greffé deux petits turbo IHI sur ce V8 de 3,2L et de 370ch à environ 6000tr/min. Ce montage est d’autant plus extravagant puisqu’il permet d’obtenir un couple digne d’un moteur diesel, 490Nm à 4500tr/min.  

Ce V8, disponible depuis le début des années 90 dans la gamme Maserati, est l’évolution stricte du V6 Maserati disponible dans les années 80, vous savez, celui des Biturbo… C’est également le dernier V8 100% Maserati proposé sur une auto de la marque, avant que les mécaniques ne soient issues d’autres marques du groupe Fiat, Ferrari d’abord, puis Alfa Romeo plus récemment.

L’ensemble est géré électroniquement et est configuré de telle sorte que cette Maserati 3200 GT ne supplante pas ses concurrentes directes de Maranello, les Ferrari 355 et 360. D’où une puissance de « seulement » 370ch mais un couple dantesque.  

Point important à prendre en compte, notre modèle du jour dispose de la boîte automatique à convertisseur. Très souple, elle permet de conduire cette Maserati de la meilleure des manières, au couple. Sur le papier, elle fait perdre en réactivité et en performances brute. C’est ce qu’on va voir sur la route.

Prise en main : comme un début de relation charnelle

Comme tout premier rendez-vous, la délicatesse est de mise. La découverte de sa (potentielle ?) moitié doit se faire par étapes, non sans un certain flegme, pour ne pas laisser paraître l’excitation du moment. Et dieu sait que je suis excité ! Son propriétaire m’explique quelques règles de base pour accéder à son volant et il a raison. On ne laisse pas n’importe qui danser avec une dame si convoitée.  

Ayant chu dans cette chambre rouge, il est grand temps de laisser s’exprimer cette Maserati 3200 GT. Le dernier moteur de cette marque devrait me faire de l’effet, je l’espère. Mon index tout hésitant s’approche du bouton de démarrage et soudainement vient s’appuyer dessus. Le démarreur s’enclenche et de superbes vocalises exotiques viennent flatter nos auditions. Cette mélodie, d’un ton rauque et élégant nous fait tous avoir un sourire benêt. Ce genre de sourire qui dit toute l’émotion du moment ! Comme dans une rencontre, l’intensité des échanges grandit au fil des sourires et regards échangés. Afin de continuer cette ascension émotionnelle, mettons-nous en route.  

Les premiers contacts physiques font partie intégrante d’une rencontre consentie. Ici, les premiers mètres à son volant sont déjà révélateurs de ce qu’est cette Maserati 3200 GT. La douceur est de mise malgré une sensation intrigante. N’ayant guère besoin d’utiliser avec insistance les commandes pour me fondre dans la circulation, j’imagine déjà ce que cette Italienne pourrait me servir comme surprise.

Même sans trop accélérer, même sans trop en dévoiler, on ressent vite quelques signaux qui annoncent que la couleur. Ils sont très plaisants et l’on sait d’avance comment vont se passer les prochaines heures. Le mot dynamique prendra alors tout son sens. 

La découverte de cette « jeune d’expérience » se poursuit au son de ses vocalises envoutantes. La sortie de la ville se fait apercevoir et déjà un premier constat s’impose. L’expérience n’est pas un vain mot. En effet, du haut de son quart de siècle et non sans une prestance bourgeoise, elle sait vous faire prendre le temps d’apprécier la ville et ses méandres que compose ses rues et avenues. L’attente au feu tricolore n’est plus une perte de temps, chaque instant est consommé avec autant de plaisir que possible. Le rendez-vous est commencé depuis une trentaine de minutes et je suis déjà sous son emprise.  

Sa facilité de prise en main, la douceur des passages de rapports et le confort ferme des assises sont trois points principaux à noter pour le moment. Pour être tout à fait franc, je n’ai pas l’impression d’être à bord d’une italienne au sang chaud mais plus assis dans une berline de renom qui sait prendre soins de ses hôtes.  

En condition réelle : la fougue Italienne comme maître mot

À la vue de ce titre aguicheur, je prends le pari que vous avez tiré une moue. Et pour cause, comment passé d’une auto douce et calme à une auto pleine de vie et donc de ce fait fougueuse me direz-vous ?  

Eh bien, la recette est simple ! Comme pour une conquête charnelle, plus ce que nous avons en vue est bon sous tout rapport, plus nous serons ravis par la suite. Cette Maserati 3200 GT est d’une élégance pure et ne présage pas d’un comportement fougueux. Cependant, son côté Italien la rattrape et pour cause… les clichés ne sont pas vains. J’ai d’ailleurs l’occasion de mettre en jeu ce dicton alors ne nous privons pas et jouons !  

Quoi de plus simple dans une auto équipée d’une boîte automatique qu’effectuer un rétrogradage ? Rien en l’occurrence. Le pied droit s’enfonce, s’enfonce, et s’enfonce jusqu’à ce que s’effectue le « downshifting ». Soudainement, je comprends vite une chose : elle est féroce.

Le V8 bi-turbo Maserati donne de la voix sans pour autant affoler les occupants de vibrations néfastes, l’aiguille de compte-tours tourne sur son pivot, et l’homme sert ses poings autour de sa conquête. Il l’agrippe et ne la lâche plus.

Ayant rétrogradé de la cinquième à la seconde vitesse, je n’ai pas de mal à vous dire que la Maserati 3200 GT se transfigure directement. La poussée se fait forte et brute sans progressivité. Le caractère moteur est plein peu importe le régime. Les vitesses affichées s’affolent à mesure qu’on découvre ce qui se cache sous la robe. Le plein de sensations à l’Italienne c’est aussi ça !  

Au-delà d’un hypothétique qu’il faut avoir en tête mais qu’on ne rencontre pas, cette montée en régime se passe incroyablement bien. L’addiction ne tarde pas à se faire sentir qu’aussitôt les rapports redescendent. Concrètement, pour qui aime les autos de caractère cette Maserati 3200 GTest faite pour ça !

Anecdote drôle mais fortement enrichissante à ce sujet : vous avez devant vous (sûrement) la seule Italienne qui vous lâchera un râle sous pression à chaque lâché de gaz. Eh bien oui, il faut bien ça pour comprendre que l’on a affaire à un moteur bi-turbo. La mélodie du V8 se fait interrompre par un énorme « pschiiiiiit » inattendu mais fort distrayant pour qui aime la différence ! Un sentiment drôle et agréable me parcourt alors le corps. Vais-je recommencer ? Oh que oui !  

Malheureusement, malgré toute ma bonne volonté et en dépit de mon envie indéniable d’emmancher, la campagne auboise n’est pas faite que de lignes droites. Je le comprends assez vite puisqu’un virage à droite me saute beaucoup plus vite au visage que je ne l’avais présagé. Malgré tout, il faut aussi connaître l’agilité que peut avoir une conquête, n’est-ce pas ? Nous sommes souvent agréablement surpris par ce qu’il se passe sous nos yeux tant elles peuvent être dociles et multi-tâches. 

La Maserati 3200 GT l’est, et ne déroge donc pas à la règle d’une bonne amante. En plus d’être à l’aise avec les vitesses excessives et les grands défilés rectilignes, elle sait se tordre en quatre pour réussir pleinement une enfilade de virages. Elle se place dignement sans faillir à sa dénomination « GT ». Je ne suis pas bousculé, le confort est toujours de mise et surtout, quelle banane ! Une experte je vous dit. 

Cependant, je rajouterais qu’elle est experte mais pas infaillible. En effet, n’importe quel gentleman ayant un pied droit lesté de plomb pourra se rendre compte d’une tendance offerte par cette Maserati 3200 GT : le manque de motricité en situations complexes. Je n’ai pas eu le cas dans ce court essai mais l’on sent bien qu’il ne faut pas la brusquer plus que la normale au risque de connaître les foudres de celle-ci. Mais bon, est-ce vraiment ce pour quoi elle a été construite ? J’en doute.

Maserati 3200 GT 01429 1- Maserati 3200 GT

Pour continuer sur une note positive, le reste du trajet alterne entre déroulé le long des champs et agilité sous les feuillages estivaux. La musicalité offerte par l’échappement ne me laisse encore une fois pas indifférent peu importe le rythme engagé. L’ouïe est flattée en toutes circonstances. 

Sans paraître gourmand, j’ai un réel besoin de « reviens-y » en écrivant ses lignes. Comme quoi, on peut être convaincu et attaché au cœur par nos chères Françaises et se permettre quelques frivolités d’adultes avec une belle Italienne. C’est aussi ça la liberté qu’offre l’automobile ! 

Conclusion : tout pour plaire ?  

Les clefs remises à son propriétaire, il est temps de faire un point rapide sur cette Maserati 3200 GT. Je dois tout d’abord souligner l’étonnante facilité de conduite et le sentiment de sécurité qu’elle procure. Ces deux points ne sont pas donnés à toutes les autos affichant une telle fiche technique. Elle fait comprendre que le terme GT n’est pas aposable sur n’importe qu’elle berline qui veut.  

Deuxième point important à souligner, et non des moindres, quelles vocalises ! Au-delà du plaisir réel de conduite, le doux chant du V8 permet d’évoquer la sensualité Italienne. Ni trop rauque, ni trop strident, ce moteur nous envoie son panache à n’importe quel régime.  

Pour finir, est-ce que je l’achèterais ? Probablement. Aimant le confort et les grandes distances, cette Maserati 3200 GT répondrait par un grand « oui » à mes exigences. Cependant, elle ne reste pas donnée, mais l’exclusivité et le raffinement ont un prix et quand on y réfléchit, celui-ci devient vite faible et abordable finalement… 

Concrètement, vous avez ici un superbe mélange entre l’extravagance des 80’s et le raffinement des 90’s. Brute mais si douce.  

Les plusLes moins
Caractère moteurQuelques plastiques kitch ?
Élégance ItalienneBoîte automatique un peu lente
4 vraies places !Maniement du levier déroutant
Sonorité moteur
Comportement GT
image- Maserati 3200 GT

Conduire une Maserati 3200 GT

Si l’achat d’une Maserati 3200 GT reste correct financièrement parlant (selon l’état, la fourchette de prix va de 10k à 40k euros), l’usage intensif peut s’avérer compliqué. Ce n’est pas forcément le prix de l’entretien qui posera problème, même si c’est un coût à ne pas négliger. Par contre, la fiabilité est encore plus Maserati que Ferrari et les soucis peuvent arriver sans crier gare. C’est réellement une auto passion qui saura vous charmer chaque jour. Preuve que les problèmes sont aléatoires, nous avons parcourus une bonne centaine de kilomètres au volant de cette Maserati 3200 GT sans relever le moindre souci quel qu’il soit.

Côté conduite pure et malgré des commandes douces voir électroniques (accélérateur), il faudra s’armer de douceur. On reste face à un V8 Bi-Turbo… L’usage au quotidien reste possible, mais il faut être dans un jour avec et non pas dans un jour sans. C’est toutes ces choses-là qui font que l’on est accroc aux italiennes. Difficiles à entretenir et pourtant si démonstratives dans l’action. Nos péchés mignons en somme.

Un énorme merci à Henri-Pierre et Catherine pour cet essai.

Fiche techniqueMaserati 3200 GT
Années1998-2001
Mécanique
Architecture8 cylindres en V
Cylindrée3217 cm³
AlimentationInjection électronique
Soupapes32
Puissance Max370 ch à 6250 trs/min
Couple Max491 Nm à 4500 trs/min
Boîte de VitesseAutomatique
Transmission2 roues motrices, propulsion
Châssis
Position MoteurLongitudinal avant
FreinageDisques Ventilés AV et AR
VoiesAV 1525 / AR 1538
Empattement2660 mm
Dimensions L x l x h4510 x 1822 x 1310 mm
Poids (relevé)1590 kg
Performances
Vmax Mesurée280 km/h
0 à 100 km/h5,8s
400m d.a14,0s
1000m d.a24,8s
Poids/Puissance4,29 kg/ch
Conso Mixte± 16 l/100 km
Conso Sportive± 25 l/100 km
Prix± 35 000€*

Cote : Collector Car Value

Alexis Bonhomme

Alexis est un passionné de photo et d'automobiles bourguignon. Il a rejoint l'équipe de News d'Anciennes en Juin 2018.

Commentaires

  1. Gougnard

    tres belle presentation merci Alexis

    Répondre · · 3 octobre 2022 à 19 h 10 min

  2. Antoine Lannoo

    Cela fait quelques années qu’elle est dans le duo automobile qui me fait de l oeil. Je pense qu elle va rapidement venir remplacer une voiture dans le garage. Sa beauté me rend gaga….
    Mais j aimerai en essayer une avant de faire de la place dans mon garage

    Répondre · · 5 octobre 2022 à 1 h 47 min

    1. Caquot

      Je vends la mienne
      Sublime état 43000km

      Répondre · · 6 octobre 2022 à 14 h 02 min

      1. vincent valerio

        Bonsoir Caquot
        Je viens de lire l article
        Suis en recherche d une 3200
        Est elle vendue ?
        Merci du retour
        Vincent

        Répondre · · 22 janvier 2023 à 17 h 02 min

        1. Bertrand Herr

          Bonjour Vincent,

          Je viens de lire l’article élogieux d’Alexis BONHOMME sur la Maserati 3200GT ainsi que votre message qui concerne votre recherche d’une 3200GT. Nous vendons la nôtre de 2001 qui est dans un super état avec 17740 kms ! Si cela vous intéresse, vous pouvez me contacter sur le forum maseratitude.com, MAZ3200GT67 pour plus d’informations. (photos prises hier après-midi).

          A vous lire ou vous entendre.

          MAZ3200GT67

          Répondre · · 13 février 2023 à 7 h 35 min

  3. Cedfred

    Très bel article, merci !
    Maintenant il faudrait comparer avec une manuelle… un peu plus sauvage et grisante !
    C’est une voiture qui remonte le moral… d’ailleurs, il paraitrait que la sécu va bientôt la rembourser 😉

    Répondre · · 13 octobre 2022 à 20 h 08 min

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